Publié par Moti Nissani, Veteran Today le 16 Mai
2015
Résumé : tout le monde
est d’accord sur le fait que le complot Gladio-Europe était une campagne de
terreur menée par le Syndicat du crime, faussement attribuée à des terroristes
d’extrême-gauche. En conséquence cela induit que le terrorisme actuel soit
également l’œuvre d’un parrainage financier attribué à tort à des Musulmans
radicaux et à d’autres. A l’appui de cette hypothèse, le présent article montre
19 caractéristiques générales constituant le terrorisme actuel. Pour faire
court, cet article se penche exclusivement sur les hommes de mains les plus
puissants de l’Organisation, dudit syndicat : le gouvernement américain,
et sur leurs opérations dans un seul pays – les Etats-Unis. Il illustre chaque élément par un seul acte de
terrorisme domestique – les explosions du
Marathon de Boston d’avril 2013. En les rassemblant, ces 19
caractéristiques (1) fournissent le cadre théorique du faux terrorisme (2),
facilitent l’identification des évènements passés et futurs de faux terrorisme
(3), font la lumière sur ce genre d’incidents (4), apportant la preuve
quasi-définitive de l’ubiquité du terrorisme d’état aux Etats-Unis et, en plus
(5) confirment les soupçons que les explosions de Boston ont été orchestrées
par le Syndicat du crime (par le biais principalement de ses avant-postes à
Washington D.C.).
« La
tragédie des enquêtes historiques : la confirmation d’hypothèses
diaboliques par des faits atroces. » Anonyme
« La seule
façon pour vous protéger est de connaître la réponse à la question :
« Quel est l’objectif ultime que recherchent les familles les plus
puissantes qui dirigent en fait les pays et les marchés ? » - Jim Sinclair
« Les
gouvernements sont bien plus dangereux que les autres composantes de la
société. » - Nicolas Machiavel
Prologue
Hier, 15 mai 2015, Dzhokhar Tsarnaev a été condamné
à mort. Cette tragédie m’amène à republier un article que j’ai écrit sur le
sujet il y a deux ans. Depuis lors, davantage de preuves ont émergé de
l’innocence de Dzhokhar. J’estime toutefois qu’il est important de montrer
qu’il était déjà évident en 2013 que Dzhokhar avait été victime d’un coup
monté. Donc, mis à part le prologue et le nouveau titre, cette publication est
identique à l’original.
Mais, direz-vous, est-il concevable qu’aux
Etats-Unis d’Amérique, des innocents fassent l’objet d’un coup monté, soient
emprisonnés et injustement condamnés à mort ? Les exemples qui suivent
suggèrent que la réponse à cette question est un OUI retentissant :
- de nombreux
lanceurs d’alerte américains – hommes et femmes – qui ont risqué leurs
carrières et leurs vies pour informer le public des crimes de leur gouvernement
contre le peuple américain et la Constitution – ont été incarcérés, torturés,
condamnés à la clandestinité, ou tués.
- Le Projet
Innocence présente une estimation très prudente : « Nous ne le
saurons jamais exactement, mais les quelques études qui ont été réalisées
estiment qu’entre 2,3 et 5% de tous les
détenus incarcérés aux Etats-Unis sont innocents (pour votre gouverne, si
rien qu’1% de tous les détenus sont innocents, cela signifierait qu’il y a plus
de 20 000 innocents en prison). » Ceci n’est pas une erreur, mais une
caractéristique intrinsèque et délibérée du système.
- Entre 2001 et
2010, 7,2 millions d’Américains ont été inculpés de « crime », en
possession de marijuana. Ce genre d’arrestations n’a rien à voir avec la
liberté et le bien-être des Américains, et au contraire, correspond aux profits
de l’industrie privée des prisons, au financement des opérations de la CIA et
d’autres services gouvernementaux qui gèrent le trafic de drogue, et constitue
un prétexte pour incarcérer les gens probablement dans l’objectif de lancer une
révolution et habituer les gens à la vie dans « Ce Monde Parfait ».
- En 1936, Richard Hauptmann, un
germano-américain, fut exécuté pour avoir commis le « crime du
siècle » soi-disant. Au grand embarras des historiens, Hauptmann
« refusa une proposition de dernière minute afin de commuer l’exécution en
prison à vie, en échange d’une confession. » Hauptmann n’avait aucun
mobile de tuer le bébé Lindbergh, alors que le Gouvernement Invisible avait la
capacité et le mobile : le grand-père et homonyme de ce bébé rougeaud
était, de 1907 à 1917, l’Ennemi N°1 des Banquiers. En 1917, par exemple, le
Représentant Charles August Lindbergh
avait eu la témérité d’essayer de faire récuser les membres du Conseil
d’administration de la Réserve Fédérale, y compris le tout-puissant Paul
Warburg (frère du chef des services secrets de l’empereur d’Allemagne Guillaume
II, NdT.)
- En 1915, Joe Hill, un fervent
chanteur/compositeur, militant syndical et combattant inlassable pour la
justice, fut victime d’un coup monté et assassiné par son gouvernement pour un
crime qu’il n’avait pas commis. Hill expliqua les mobiles des banquiers :
« le soussigné Joe Hill, pensaient-ils, un vagabond sans amis, un Suédois,
et pire que tout, un membre de l’IWW*, n’avait de toute façon pas le droit de
vivre, et a donc été choisi comme bouc émissaire » - En 1927, les
militants syndicaux et pacifistes Nicola
Sacco et Bartolomeo Vanzetti ont fait l’objet d’un coup monté et furent
exécutés. Quiconque fait un minimum de recherches peut découvrir des milliers
d’exemples de ce genre, tous montrant que le système judiciaire américain –
même à l’époque où les Américains jouissaient d’un minimum de liberté – a
toujours été un instrument du Gouvernement Invisible de l’Amérique. Je vous
prie de garder ce fait incontestable à l’esprit lorsque vous lirez le récit qui
suit.
*IWW pour Industrial Workers of the World, dont les
adhérents étaient appelés les Wobblies, est un syndicat international fondé aux
Etats-Unis en 1905, connu pour avoir promu une forme de démocratie en
entreprise et une forme d’autogestion.
Introduction
Un mois après les explosions du marathon de Boston
en avril 2013, qui avaient été officiellement classées comme des attentats
terroristes tuant trois personnes et en blessant des douzaines d’autres,
Richard Cottrell, un expert de Gladio-Europe, écrivait :
« Des années 1960 jusqu’aux années 1980, les
armées secrètes Gladio de l’OTAN avec leurs complices du crime organisé et les
organisations d’extrême-droite, menèrent ce qui a été appelé la
« stratégie de la tension » … Cette stratégie était destinée à
convaincre les Européens de l’existence d’un « ennemi de
l’intérieur » - des cellules dormantes communistes dont le but était de
renverser le système en place.
« Aujourd’hui, ce sont les fanatiques
musulmans qui sont à l’ordre du jour. Chaque nouvelle atrocité resserre les
chaînes pour amener les Américains à la réduction des libertés civiles qui leur
sont garanties par la Constitution.
« On vous aura prévenu ».
Des journalistes tels que Richard Cottrell, Gordon
Duff, James Fetzer, Stephen Lendman ou Kevin Barrett, insistent sur le fait que
la soi-disant « guerre contre le terrorisme » n’est en fait qu’une
continuité de Gladio. Ici j’aimerais apporter ma contribution en considérant la
conspiration Gladio-Etats-Unis comme un tout.
Gladio se poursuit aujourd’hui dans des douzaines
de pays, mais, comme le temps est limité, la présentation qui suit se
concentrera sur le bastion-clé des projets machiavéliques des banquiers – les
Etats-Unis d’Amérique. La discussion se limitera au terrorisme domestique, même
s’il ne représente qu’une simple fraction d’une faction du terrorisme qui
atteint le monde entier. Finalement chacune des 19 caractéristiques saillantes
du terrorisme d’état seront illustrées par un exemple récent officiellement
qualifié d’acte de terrorisme – les explosions du marathon de Boston d’avril
2013.
Lu Iingzi, une citoyenne chinoise de 22 ans et
étudiante en statistiques à l’université de Boston, était une des trois
victimes de la tragédie de Boston. Les deux autres victimes étaient Martin
Richards, un Américain âgé de 8 ans et Krystle Campbell, un gérant de
restaurant de 29 ans.
Cet attentat tragique a eu lieu le 15 avril 2013,
près de la ligne d’arrivée du marathon de Boston. Le gouvernement affirme que
trois personnes ont été tuées et 264 ont été blessées. Le gouvernement a
d’abord attribué les explosions à un citoyen saoudien, mais après une réunion
impromptue entre l’ambassadeur saoudien aux Etats-Unis, le président, le
secrétaire d’état américains, et après que l’épouse du président ait rendu
visite au suspect à l’hôpital, les poursuites à son encontre ont été
abandonnées et il a été expulsé à la hâte. Le gouvernement s’est ensuite
attaché à attribuer ces deux explosions absurdes à deux frères d’origine
tchétchène résidant à Boston. Le 18 avril, le frère aîné Tamerlan Tsarnaev
était capturé et tué. Un jour plus tard, son frère cadet, Dzhokhar Tsarnaev fut
capturé et blessé, mais, au moment où j’écris ces lignes, le gouvernement
affirme qu’il se remet bien des blessures graves qu’il a subies.
Tout au long de cet article, le lecteur devrait
garder à l’esprit une caractéristique élémentaire des sciences naturelles. En
génétique et en astronomie, par exemple, vous avez toujours deux conceptions
antagonistes de la réalité. Le matériel héréditaire réside-t-il dans les
protéines ou l’ADN ? La terre est-elle plate ou ronde ? Pour résoudre
ces questions, vous raisonnez, vous observez et vous faites des expériences.
En progressant, vous vous demandez : cette
voie de la logique, du raisonnement, de l’observation et de l’expérimentation
est-elle plus cohérente avec la conception traditionnelle ou avec une conception
différente ? Avec le temps vous atteignez un niveau où vous devez écarter
la conception traditionnelle et adopter la conception alternative
(psychologiquement, ce processus est une tâche atroce ; voir le lien ici
et ici).
C’est ce que vous aimeriez sans doute faire en
prenant connaissance des arguments et des preuves présentés dans ce long
article. Passé un certain niveau, le respect de soi et la logique devraient
vous guider (si vous n’y êtes pas encore) vers deux conclusions atroces :
- Presque toutes
les opérations terroristes ayant fait l’objet d’une grande publicité au
XXIème siècle sont organisées par le gouvernement
- Les explosions de Boston en particulier sont un exemple incontestable du terrorisme organisé.
1. Les
avertissements et prises en compte d’un acte de terrorisme imminent sont
ignorés
Les actes terroristes demandent une préparation
méticuleuse. Souvent, des gens qui ne sont pas au courant des véritables
instigateurs le remarquent et préviennent le gouvernement. Comme on peut s’y
attendre dans l’hypothèse Gladio-Etats-Unis (mais pas dans le cas de son rival
« Djihadiste »), de tels avertissements sont invariablement
ignorés : Al Capone tiendrait-il compte d’un avertissement selon lequel
quelqu’un prévoirait de tuer un de ses lieutenants si ce quelqu’un était Al
Capone lui-même ?
Nous vivons actuellement dans un pays où des
lanceurs d’alerte pacifiques et idéalistes sont incarcérés, torturés, et tenu
pour fous ; un pays où par exemple une idéaliste mourante de 73 ans Lynne
Stewart est emprisonnée et enchaînée sur son lit d’hôpital parce qu’elle a osé
fournir une défense juridique inspirée à un prédicateur musulman aveugle
faussement accusé ; un pays où une blague imprudente peut vous valoir la
colère de la Tcheka.
Dans ce pays, il y a des dizaines de milliers de
citoyens ordinaires respectueux de la loi qui peuvent ou non nourrir des avis
dissidents mais qui, sans avoir les moyens d’accéder à un juge ou un jury, sans
procès, sans explications, sans avertissement préalable, se retrouvent dans des
aéroports américains et s’entendent dire que leur nom figure sur une liste
secrète, arbitraire et typiquement orwellienne d’interdits de vol. La liste
comprend des terroristes tels que Mikey Hicks, un garçon de 8 ans du New Jersey
qui prenait souvent l’avion et qui « était rarement monté à bord d’un
avion sans appréhension parce qu’il porte un homonyme d’une personne
suspecte. »
Des dizaines de millions d’autres sont harcelés de
façon impitoyable, irradiés, physiquement maltraités et humiliés avant de
monter à bord d’un avion. Si ces passagers ont un nom à consonance arabe, ou si ce sont des hommes, femmes ou
enfants qui montrent leur désaccord avec ces abus du gouvernement, c’est
d’autant plus le cas. Tous ces harcèlements, sachez-le, se produisent souvent
sur la base des preuves les plus ténues, ou sans preuves du tout.
Donc vous devriez voir les escadrons de la mort
(c.à.d. le FBI) jaillir avec leurs gilets pare-balles s’ils sont informés par
des sources fiables que quelqu’un se prépare à faire sauter un avion ou deux.
Et pourtant, il est rare qu’ils réagissent.
A Boston, les avertissements concernant Tamerlan
Tsarnaev sont arrivés rapidement et massivement, y compris deux rappels de la
part des Russes :
« Selon des officiels américains, ils ont été
avertis à deux reprises par la Russie qu’ils avaient été liés à des militants
caucasiens. En 2011, des officiels de la sécurité russe demandèrent aux
Etats-Unis d’enquêter sur les activités de Tamerlan. Le FBI avait mené une
brève enquête de routine et refermé le dossier, ce qui avait incité les
officiels de la sécurité russe à renouveler leur demande quatre mois plus tard
en septembre 2011. Tamerlan était en fait surveillé par les services secrets
russes à chacune de ses visites dans la Fédération de Russie. »
La théocratie saoudienne, et même la CIA, avaient
également lancé des avertissements. La dictature saoudienne pratiquait ce
qu’elle prêchait et avait « refusé un visa d’entrée à l’aîné des frères
Tsarnaev en décembre 2011, alors qu’il comptait faire un pèlerinage à La
Mecque. »
Janet Napolitano a refusé de répondre aux questions
concernant l’expulsion d’un citoyen saoudien après les attentats à la bombe de
Boston (18 avril 2013)
Par voie de conséquence, toute la famille était sous
surveillance :
« A peu près 18 mois avant les explosions de
Boston, la CIA ajouta la mère des deux suspects à une base de données de
suspects après que les autorités russes aient eu confirmation qu’elle et son
fils aîné étaient des militants religieux. »
La photo et la légende ci-jointes de Napolitano ont
été reprises par les grands médias :
« Etait-elle au courant ? Janet
Napolitano … est à la tête du Département de la Sécurité, ministère de l’intérieur (Homeland Security),
le service qui a apparemment reçu une lettre détaillée de la part du Royaume
saoudien à propos de Tsarnaev. »
Malgré les avertissements, les apprentis
« terroristes » de Boston étaient apparemment exemptés des
harcèlements réservés au reste d’entre nous. Feu Tamerlan Tsarnaev, en
particulier, était un musulman, un adepte des arts martiaux, un non-citoyen, et
l’objet de multiples avertissements, et de façon générale, un individu
hautement suspect, si nous prenons plusieurs gouvernements au pied de la
lettre. Pourtant, à la différence de nous tous, ce déclencheur potentiel des
cocotte-minute de Boston n’a jamais été inquiété. On l’a autorisé à quitter les
Etats-Unis en avion, à assister à une conférence militante en Russie parrainée
par la CIA, et à revenir en Amérique – sans poser de questions.
J’ai passé en revue les deux excuses pour cette
apparente faille de sécurité.
La première est « l’excuse éculée et toujours
répétée de ne pas avoir réussi à faire le lien entre les indices ».
La deuxième a été émise par le bras droit en
chef :
« Eh bien, le FBI les a surveillés, mais le
FBI ne peut arrêter quelqu’un sur la base d’une simple rumeur, c’est notre
système judiciaire qui veut cela. »
Cette dernière excuse est encore pire que la
première, étant donné que notre Constitution a été renversée en 2001. Notre
système interdit la torture, et pourtant les employés du FBI pratiquent la
torture tous les jours, à grande échelle et partout, y compris à l’encontre de
millions de détenus américains. Notre système promet la liberté de parole,
pourtant il contrôle les principales sources d’information de la population,
essaie de s’emparer des derniers forums de libre expression qui restent (les
universités et internet), et torture ou exécute ceux qui utilisent la liberté
de parole pour contribuer à sauver le monde de l’esclavage et de la destruction
de l’environnement. En théorie, notre système interdit la corruption, le vol,
la brutalité policière – et pourtant tout cela et bien d’autres choses se
passent en plein jour.
Je laisserai au lecteur le soin de décider si ce
genre d’inaction face à des avertissements réitérés est plus cohérent avec la
version des évènements fournie par le gouvernement ou avec sa version
alternative emballée en « papier alu ».
2.
L’organisation fait preuve d’une efficacité suspecte éclatante dans
l’identification et l’arrestation des terroristes.
Le Syndicat sait invariablement qui sont les
auteurs des actes de terrorisme en l’espace de quelques jours et fait preuve
d’une réussite stupéfiante dans leur capture ou leur assassinat.
Ce palmarès impeccable défie l’entendement. Pour le
constater, mettez-vous en retrait, et réfléchissez un peu : si vous étiez
assez pervers pour envisager le meurtre, disons, d’un garçon américain, du
gérant d’un restaurant américain et d’une statisticienne chinoise, et si vous
vouliez blesser plusieurs centaines d’Américains et des étrangers, vous ne
pourriez pas le faire sans vous faire prendre quelques jours après ?
N’est-ce pas une hypothèse habituelle des romans policiers et des meilleures
équipes de police qu’il faille parfois des mois ou des années pour trouver le
coupable ? Sherlock Holmes aurait-il déjà résolu un crime en trois
jours ?
Ce record avec tous les superlatifs va également à
l’encontre du palmarès général des arrestations :
- Lorsqu’il
s’agit d’identifier les assassins des amis de l’humanité ; les
banquiers oublient systématiquement de constater qu’un crime a été commis,
échouent à identifier les criminels, ou se trompent sur leur identité.
Nous mettrons de côté ici l’inefficacité des banquiers à remarquer leurs
propres crimes financiers gigantesques (cela, par exemple), ou les énormes
opérations de blanchiment d’argent de la drogue, qui détournent notre
attention de la mort de gens qu’ils considèrent comme embarrassant mais
influents. A ce jour, les banquiers n’ont toujours pas expliqué les décès
prématurés de nombreux grévistes syndiqués et de citoyens noirs ; de
l’antifasciste, influent et unique Major-General
Smedley Butler à l’âge de 58 ans, de l’ennemi de la Réserve Fédérale
(c'est-à-dire celui des Rothschild, Rockefeller, et autres familles
associées) le Représentant Charles
August Lindbergh Sr, à 65 ans ; de son petit-fils Charles August Lindbergh Jr (le
« crime du siècle ») âgé de 20 mois ; de l’ennemi de la
Réserve Fédérale et puissant Représentant Louis Mac Fadden à 60 ans (la troisième tentative non résolue
a finalement réussi) ; l’opposant à la néo-colonisation de l’Irak et
Ranger de l’armée et ex-footballeur Pat
Tillman à 24 ans ; de l’accusatrice des banquiers en herbe Deborah Jeane Palfrey à 52
ans ; du journaliste de « Dark Alliance » Gary Webb à 49 ans ; du
journaliste d’investigation financière Mark Pittman à 52 ans ; du journaliste, Némésis des
généraux du Pentagone et de la CIA, Michael
Hastings à 33 ans ; de la Némésis de David Rockefeller, le
producteur Aaron Russo à 64
ans ; du chef syndicaliste Walter
Reuther, à 62 ans (à la suite d’au moins deux autres tentatives non
résolues) ; du journaliste et candidat-sénateur John Fitzgerald Kennedy Jr à 38 ans ; du militant contre
la pauvreté et la guerre Martin
Luther King à 39 ans ; du Sénateur pacifique Paul Wellstone à 58 ans, du chanteur de folk pacifiste Phil Ochs à 35 ans (après
deux tentatives précédentes non résolues) ; du chanteur pacifiste
jamaïcain Bob Marley à 36 ans –
et de milliers d’autres meurtres non résolus de nos héros. Et ce n’est pas
parce que les escadrons de la mort (du FBI, de la CIA, de la DIA et leurs
douzaines de consœurs) ont été surpris par ces décès. Au contraire, la
plupart de ces victimes étaient surveillées et possédaient un fichier bien
rempli auprès de ces administrations avant leur mort prématurée.
B. Les
banquiers redoutent les révolutionnaires désintéressés comme Thomas Payne, Che Guevara ou Malcolm X,les obligeant à se cacher ou à demander l’asile dans un pays
non encore parasité. Bien que ces idéalistes, à la grande différence des terroristes dûment labellisés, ne représentent
que des menaces mineures pour le règne
des banquiers, et bien que les banquiers attendent impatiemment de voir
leur sang versé, beaucoup de ces révolutionnaires
réussissent à disparaître sans laisser de traces ou à s’échapper vers un pays
d’où le Syndicat du crime est absent.
Une affaire récente publiée dans les journaux
illustre ce point : Assata Shakur,
membre de l’Armée de Libération noire, figure sur la liste des personnes
les plus recherchées par les banquiers. Elle avait fait l’objet d’un coup monté
en 1973, a
été condamnée à la prison en 1977, s’en est échappée et a disparu en 1979,
avant de rejoindre Cuba en 1984 où elle vit toujours (ainsi que 70 autres
fugitifs américains). Même si les banquiers ont offert 2 millions de $ sans
valeur pour les remettre au judas qui la trahirait, Assata « affiche sa
liberté », continue de militer, et incite les partisans et les groupes à
se mobiliser contre les Etats-Unis par tous les moyens nécessaires. Les banquiers
ont beau bouillir de colère et avoir la bave aux lèvres, ils ont été incapables
de mettre leurs doigts poisseux sur elle.
- Troisièmement,
et encore plus évidents, sont les crimes de droit commun. Eux aussi, par
contraste avec les prétendus actes terroristes, restent souvent non
résolus.
A Boston, il n’a fallu que quatre jours ou moins
pour attribuer les explosions à un citoyen saoudien, revenir dessus, et arriver
à une nouvelle identification positive, puis tuer un des nouveaux suspects
(Tamerlan Tsarnaev) le blesser par balle et l’égorger et tenter d’assassiner
l’autre (Dzhokhar Tsarnaev).
3. Pas de
projet de fuite
Un autre indice est relatif aux terroristes
eux-mêmes. Parce que le terrorisme est une activité particulièrement risquée,
un terroriste fait tout pour éviter d’être pris, naturellement. Avant de
commettre des meurtres mal ciblés, il aurait eu un plan préalable de fuite. Le
monde est vaste et, comme nous venons de le voir, il est possible de
disparaître sans laisser de trace. Il se cacherait pendant une année ou deux,
s’assurerait que la voie est libre, changerait d’apparence, commencerait une
nouvelle vie – ou préparerait son prochain coup.
Nous ne parlons pas ici de la théorie de la
relativité, mais du bon sens le plus élémentaire : il élabore un plan de
fuite, pose les bombes et s’enfuit – de préférence bien avant qu’elles
n’explosent. Et pourtant, les terroristes les plus notoires ne le font jamais.
Ces pauvres bougres se tuent eux-mêmes, se font prendre, et en général ne se
comportent pas comme le bon sens le suggère.
A Boston non plus, les « terroristes »
n’ont pas essayé de fuir, jusqu’à ce qu’à leur grande surprise ils soient
choqués de constater qu’on les recherchait pour meurtre. En fait, le plus jeune
frère, qui était pourtant assez intelligent pour obtenir une bourse de
l’Université du Massachussetts, était apparemment trop bête pour tout
abandonner et s’enfuir. Au cours des trois jours entre l’explosion et sa
capture il est apparu détendu, épuisé, a fait la fête et suivi les cours.
4. Pas de
déguisements
Dans le but d’éviter l’arrestation et le châtiment,
il est notoire que les criminels et les révolutionnaires prennent fréquemment
une identité ou une apparence très différente de la leur. Si vous alliez
préparer des assassinats, ne souhaiteriez-vous pas minimiser les chances d’être
rattrapé, tabassé, subir le supplice de la baignoire, croupir dans une cellule
isolée pendant des années, gavé de médicaments psychotropes, et contraint à une
servilité dégradante ?
Sherlock Holmes, par exemple, était un maître du
déguisement. Même le bon Dr. Watson n’était pas capable de reconnaître son
partenaire cocaïnomane lorsque Holmes recourait à ses déguisements par les
habits, la démarche, l’allure, la voix, la perruque ou la teinture des cheveux.
Tiens en parlant de Boston, les terroristes à l’origine du Tea Party n’ont-ils
pas ressenti le besoin de dissimuler leurs identités, bien avant l’ère des
caméras de surveillance, des ordinateurs, et du flic à chaque coin de
rue ?
Juste au cas où vous penseriez que les déguisements
appartiennent à la littérature romanesque ou ne sont que des reliques du passé,
laissez-moi vous citer quelques exemples contemporains. Alors que j’écrivais
ces lignes, je suis tombé sur l’histoire d’un agent d’un escadron de la mort
(de la CIA en l’occurrence) qui essayait de recruter un officier des services
de renseignement russes. Par une de ces étranges conventions de notre sinistre
monde, cet agent, précédemment diplomate à Moscou, ne risquait que
l’humiliation, l’expulsion et la réaffectation, pas sa carrière ou sa vie.
Pourtant il était pourvu de tout l’arsenal du parfait espion avec perruques et
lunettes.
Au contraire, les « terroristes » de
Gladio-Etats-Unis se soucient rarement de modifier leur apparence physique.
Nous devons donc en conclure que tous les terroristes sélectionnés par le
Syndicat sont suicidaires, stupides – ou des boucs émissaires.
A Boston, en particulier, les deux frères n’ont
fait aucun effort pour se déguiser, avant, pendant ou après les explosions.
5. Manipuler la
scène de crime et les preuves
Les auteurs de chaque incident particulier de la
Conspiration de Gladio-Etats-Unis contrôlent la scène de crime et les preuves,
et sont donc bien placés pour qu’elles correspondent au schéma prédéterminé du
scénario fictif.
Ce point est si évident, que l’exemple de Boston
devrait suffire. L’autopsie de Tamerlan a été faite par des agents du Syndicat,
permettant ainsi au gouvernement, à l’organisation d’arriver aux conclusions
qui correspondaient le mieux à leurs intérêts.
6. Réaction
quasi-militaire disproportionnée à la terreur autoproclamée
Une fois que les marionnettes des banquiers
qualifient une tragédie de « terrorisme », la réaction physique sur
le terrain est hors de proportion avec l’importance de l’incident et les
risques encourus par le public. Par conséquent, il faut en déduire que le but
d’un tel déploiement de force n’est pas de protéger le public ou de capturer
des criminels. L’objectif, consiste plutôt à réduire le nombre de témoins
oculaires sur ce qui se passe, manipuler la scène de crime, et fournir un
prétexte pour contourner le Deuxième Amendement (lequel amendement et un des
rares garde-fous restants qui nous sépare de l’emprise du pouvoir fasciste),
amener les Américains à se terrer devant une telle démonstration de force
brutale, leur faire oublier que personne n’est à l’abri, et les habituer à la
brutalité et au hooliganisme, et forcer « les gens à se tourner vers
l’état pour demander davantage de sécurité. »
Paul Craig Roberts :
« Cette réaction concernant Boston, je veux
dire qu’il était absurde de déployer 10 000 hommes et des chars pour
retrouver un jeune homme de 19 ans. De bloquer toute une zone urbaine, une de
nos villes principales, parce qu’ils cherchaient un jeune gars ? »
John
Whitehead :
« Pour ceux qui comme moi ont étudié
l’émergence d’états policiers, la vision d’une ville contrainte à la loi
martiale –leurs citoyens en résidence
surveillée (les officiels utilisaient la phrase d’Orwell d’ « abrité sur
place » pour décrire l’interdiction de sortir de chez soi), des
hélicoptères militarisés équipés de caméras thermiques bourdonnant dans le
ciel, des chars et des véhicules blindés dans les rues, des tireurs d’élite sur
les toits, et des équipes d’intervention en uniforme faisant des perquisitions
de domiciles … à la recherche de deux jeunes et improbables poseurs de bombes –
nous laisse une impression de malaise grandissant.
« Sachez que ce ne sont plus seulement des
indices avant-coureurs d’un état policier qui gagne sans cesse du terrain.
L’état policier est là … En fait, nous les avons laissé faire, que nous en
sommes réduits, transformés en esclaves à la merci d’un gouvernement qui se
soucie comme d’une guigne de nos libertés et de notre bonheur. »
7. Empêcher les
« terroristes » d’avoir l’occasion de se défendre de manière
pertinente
Dans les cas de « terrorisme » de haut
niveau (« haut niveau » non pas à cause du caractère exceptionnel des
crimes commis mais parce qu’ils ont été estampillés comme tels par le Syndicat
et qu’il a utilisé les médias pour susciter dans l’audience, un paroxysme de
peur, de confusion et de colère). Ceux qui sont à la télévision se rappellent
vaguement les jours où les accusés avaient parfois la possibilité de se
défendre. Avec Gladio-Etats-Unis, étant donné que l’accusé est typiquement
« un pigeon », le Syndicat se retrouve devant un dilemme
désagréable : soit de perdre la face en piétinant ce qui reste des règles
judiciaires ou de risquer d’être embarrassé en laissant « le pigeon »
raconter sa version de l’histoire. La solution : vous le réduisez au
silence, afin que sa version ne soit jamais connue. Vous l’empêchez d’exercer
sa liberté de parole ; vous l’incarcérez définitivement sans
jugement ; vous le torturez et l’humiliez et le droguez ; puis vous
« classez » le jugement lui-même ; vous lui déniez un procès
civil ou de passer devant un jury au Tribunal – ou n’importe quel procès. Si rien ne marche, il vous reste les
recettes éprouvées des techniques de suicide ou de meurtre.
En bref, vous déniez à vos jobards le droit de se
défendre, et déniez au public le droit d’entendre leur version des faits.
Depuis le tout début, cela indique la culpabilité du Syndicat. Si l’accusé
était coupable, ne serait-il pas dans l’intérêt du Syndicat de laisser son
témoignage réfuter des millions de « théoriciens de la
conspiration ? » Si les rapports officiels sur Ben Laden n’étaient
pas un conte de fée, ne serait-il pas dans l’intérêt du Syndicat d’obtenir des
aveux ou de le faire condamner par un jury au Tribunal avec les siens au lieu
de faire semblant de le tuer et de jeter son corps à la mer ? Le paradoxe,
l’Etat d’Israël n’a-t-il pas fourni un maximum de publicité au procès d’Adolf
Eichmann, lui permettant de se défendre du mieux qu’il pouvait ? Lorsque
l’accusé est coupable, le Syndicat n’a rien à redouter et beaucoup à gagner
dans un procès équitable. Lorsque l’accusé est innocent, un procès équitable ne
peut que causer une migraine indésirable (bien que bénigne).
Boston rentre parfaitement dans ce schéma.
Tamerlan a probablement été capturé vivant,
déshabillé inutilement, exécuté – et réduit au silence pour toujours.
Les hommes de main du Syndicat du crime ont
probablement essayé de tuer également le plus jeune frère désarmé, mais il a
miraculeusement survécu. Selon un membre de l’escadron de la mort (SWAT) qui a
assisté à la scène, on a tranché la gorge de Dzhokhar, ce qui a fait dire au
responsable israélien (juste une autre coïncidence évidemment) de l’hôpital où
il a été torturé que Dzhokhar « ne pourrait peut-être jamais plus
parler ». C’est vrai, une personne muette peut toujours encore se
défendre, mais pas aussi facilement ni aussi bien. (Quelques semaines plus
tard, contre tous les pronostics, Dzhokhar avait apparemment retrouvé la
parole).
Après son arrestation, ce jeune homme de 19 ans
avait :
« subi un interrogatoire illégal
(inconstitutionnel) de 16 heures par une équipe d’investigation musclée du
FBI … tout cela pendant qu’il était hospitalisé dans un état sérieux, sous
sédatifs et enchaîné à son lit, bien que l’on ait refusé tout net d’accéder à
ses demandes multiples de voir un avocat. »
En parlant de l’exécution de Tamerlan, de la
tentative de meurtre de son autre fils, Dzhokhar, et de l’exécution par une
balle à l’arrière de la tête de l’ami de Tamerlan, Todashev (même l’ACLU
cooptée s’est sentie obligée de « vérifier le cas »), la mère
accablée de chagrin de Tamerlan et Dzhokhar a posé la question que chaque
Américain, et certainement chaque journaliste couvrant l’affaire, aurait dû se
poser :
« Voilà un
autre garçon qui y a laissé la vie. Pourquoi tuent-ils ces enfants sans qu’il
n’y ait ni procès ni enquête ? »
Il existe d’autres manières de dénier à des gens
innocents leur droit de se défendre. Certes, le Syndicat avait assez d’argent
pour mettre 9000 flics sur le terrain ainsi qu’un nombre non précisé de
« soldats des forces spéciales en vacation », mais les médias de
Rockefeller nous annoncent :
« Des restrictions budgétaires pourraient
retarder le procès du « Poseur de Bombes de Boston » : Ceux
chargés de la défense du suspect de l’attentat à la bombe du Marathon de Boston
pourraient être « gravement affectés » par les restrictions
budgétaires fédérales, occasionnant des retards supplémentaires dans la tenue
de son éventuel procès, selon des officiels des tribunaux fédéraux. » Et
il ne s’agit pas de coupes budgétaires généralisées, vous comprenez : «
Bien que le ministère public et le procureur instruisant l’affaire soient des
employés fédéraux, seuls les avocats de la défense seront touchés par les
retards. »
Pour autant que je puisse le dire, ceci ne serait
pas une plaisanterie. Si ce genre de requête incongrue a bien été faite,
l’explication la plus probable est la suivante : ils avaient besoin du
retard pour être sûrs – en rendant fou ou en détruisant la mémoire de Dzhokhar
avec la drogue et la torture, en lui faisant un lavage de cerveau, en le
menaçant de prison ou de la mort d’un membre de la famille, ou simplement en le
« suicidant » - afin qu’il n’ait jamais la chance de raconter sa
version des faits.
Et qu’en est-il des multiples aveux bizarres,
passés et présents, de Dzhokhar, me direz-vous ? Dans l’hypothèse peu
probable que de tels aveux aient jamais existé, y croire n’est qu’un autre
exemple de l’aphorisme de Bertrand Russel « il n’existe pas d’absurdité
assez flagrante qui ne puisse être crédible à la grande majorité par une action
gouvernementale adéquate ». Comme Arthur Koestler l’a montré dans son
Darkness at Noon (« L’obscurité à midi », paru en France sous le
titre Le Zéro et l’Infini, NdT.), et comme tout interrogateur professionnel le
sait, sous la torture sans limite, on peut faire avouer n’importe quoi à
n’importe qui. Traquez Evelyn Rothschild avec 9000 béni-oui-oui lourdement
armés, tranchez-lui la gorge, et soumettez-le à un interrogatoire de 16 heures
agrémenté de torture physique et mentale. Dans ce cas, je peux vous assurer que
ledit Rothschild ne reconnaîtra pas seulement qu’il a été à l’origine d’un
chaos mondial, de millions de morts, de millions de gens mourants de faim, du
cataclysme environnemental, mais aussi d’avoir assassiné Mayer Amschel
Rothschild, le fondateur de la dynastie qui est mort bien avant la naissance
d’Evelyn (et dont la façon draconienne
d’élever ses enfants emprisonne ses malheureux descendants jusqu’à ce jour).
Le cas de Dzhokhar est encore récent, mais il y a
tout lieu de penser que cet adolescent – qui a déjà été jugé et reconnu
coupable devant le tribunal de l’opinion contrôlé
par les banquiers – n’aura jamais une chance se défendre contre ses accusateurs
machiavéliques, pendant qu’il est toujours sain de corps et d’esprit.
8. Présumé
coupable
Il existe une règle de base en matière de justice
pénale : vous êtes présumé innocent jusqu’à ce que vous soyez reconnu
coupable. Il est de notoriété publique que tous les policiers, procureurs et
juges sont faillibles, que beaucoup sont corrompus, et que d’innombrables
innocents ont passé des décennies derrière les barreaux. Et pourtant, quand il
s’agit de terrorisme monté en épingle, les politiciens à la solde du
conglomérat privé et des médias présument de la culpabilité dans un concert
d’unanimité hystérique.
A Boston,
« Le principe dominant voudrait qu’on accorde
à Dzhokhar Tsarnaev la présomption d’innocence jusqu’à ce que sa culpabilité
soit prouvée. Comme de nombreux cas l’ont montré – depuis l’agresseur à
l’anthrax accusé (mais disculpé) Stephen Hatfill jusqu’au poseur de bombe des
Jeux Olympiques d’Atlanta accusé (mais disculpé) Richard Jewell, en passant par
des douzaines voire des centaines de détenus de Guantanamo accusés d’être
« les pires d’entre les pires » mais qui n’étaient coupables de rien
– les individus qui apparaissent comme coupables sur la base d’accusations
gouvernementales et de procès par médias interposés sont souvent complètement
innocents. Des preuves présentées par les médias ne sauraient remplacer un
véritable procès et une procédure juridique contradictoire.
9. Diaboliser les suspects
La police et les médias à la solde des Rockefeller
s’empressent d’accuser les auteurs présumés du terrorisme factice, en
sélectionnant des photos qui leur donnent un air négligé et grossier.
Deux exemples parmi d’autres suffiront à illustrer
ce point évident dans l’affaire de Boston.
- Les médias
sous contrôle (répétant ce que disait la police) ont d’abord accusé les
deux frères d’être des criminels de droit commun et d’avoir braqué un
magasin de proximité, ne retirant cette histoire que sur l’insistance d’un
brave (ou naïf) directeur de communication de la chaîne de magasins qui
s’était donné la peine de regarder la vidéo de surveillance du braquage.
- La police
et les médias essayaient également d’impliquer les deux frères et Todashev
dans un précédent meurtre atroce et sans relation avec eux, un exemple
extrême de l’une des tactiques favorites des Rockefeller : la
provocation au scandale (pour reprendre la phrase d’Upton Sinclair de
1919).
10. La frénésie
médiatique
Une fois qu’un incident a été estampillé
TERRORISTE, il bénéficie d’une couverture médiatique massive, incessante et
hystérique par les médias des banquiers, totalement hors de proportion avec ce
qui s’est réellement passé.
Cette généralisation est trop évidente pour être
documentée. Même dans les pays étrangers, le terrorisme aux Etats-Unis fait
l’objet d’une couverture désagréable comme si des vies américaines étaient plus
importantes que les vies des citoyens de ces pays. Pour vous en convaincre,
lors du prochain acte de « terrorisme », allumez votre TV (si vous n’avez
pas encore atteint le point de la mettre à la poubelle), lisez les gros titres
d’un grand journal en descendant la rue (mais s’il vous plaît ne l’achetez
pas), ou écoutez la radio de votre voisin dans l’appartement du dessus. Ou
mieux encore, restez complètement à l’écart de tout ce bazar : des
conversations avec des amis et des parents perspicaces suffiront amplement.
11. Les médias
privés font une représentation déformée de tous les actes terroristes,
s’entendent pour étouffer toutes les voix dissidentes et considèrent les
déclarations officielles comme parole d’évangile.
Cette généralisation est une autre manière de dire
que le journalisme d’investigation en Amérique n’est plus qu’un souvenir et que
les médias ne sont plus que des porte-paroles du Syndicat. Même si des
historiens et des économistes indépendants ont documenté des milliers de
mensonges gouvernementaux, de désinformations, et d’approximations,
et même si chaque acte de « terrorisme » est enveloppé d’un
tissu de mensonges et de contrevérités indiscutables, les médias continuent à
se comporter comme si la dernière déclaration en date du gouvernement était la
pure vérité.
De fait, les principaux médias Américains servent
de courroie de transmission entre le Syndicat du crime et le peuple, communiquant
une propagande grossière, des mensonges, des demi-vérités et des
divertissements. Nous n’avons plus de journalistes (à l’exception de nombreux
bloggeurs remarquables sur internet), mais seulement des garçons de course.
(Selon un rapport circulant au Kremlin, le 1er
avril 2013, la Maison Blanche a affirmé que le 31 mars le soleil avait refusé
de briller. Comme on pouvait s’y attendre à la lecture de ce triste récit, tous
les médias ont relayé le message – et plus de 90% des citoyens y ont cru.)
Comme nous l’avons vu dans la deuxième partie de
cet essai en six parties, « la presstitution » était déjà
envahissante en 1919. Les conclusions de Sinclair ont été documentées de
manière répétée (probablement avant même qu’il n’écrive son livre) et mises à
jour, le plus remarquablement sans doute par Michael Parenti et Ben Bagdikian.
J’ai moi aussi eu le plaisir douteux d’écrire des critiques savantes sur la
couverture médiatique de l’effet de serre et la Guerre Froide, et contraint
d’arriver aux mêmes conclusions.
Lors de mes recherches concernant les explosions de
Boston, j’ai n’ai recueilli que quelques faits isolés dans les médias privés. A
peu près tout ce que contient cette présente publication, y compris l’amas
considérable de faits indiscutables et de brillantes déductions, y compris tous
les efforts pour relier les éléments entre eux, proviennent de sources
alternatives.
Ou prenez Stella Tremblay, membre de la Chambre des
Représentants du New Hampshire, qui prétendait que le Gouvernement Fédéral
avait planifié les explosions de Boston. Jim Fetzer cite la demande naïve que
Tremblay a adressée aux médias :
« Pourquoi laissez-vous à une députée stupide
le soin de poser les questions alors que c’est le travail des journalistes ?
Etes-vous à ce point aveugle que vous ne souhaitiez pas poser de questions à
votre gouvernement ? »
En effet, la seule réaction des médias et ses
collègues à cette représentante courageuse du corps législatif a été un silence
assourdissant. Dans les rares occasions où on la citait, c’était pour «la
mettre au pilori et la rabaisser».
Mark Twain observait avec solennité (et son
auditoire pensait qu’il plaisantait !) :
« C’est par la bonté divine que nous ont été
octroyés trois éléments précieux et incroyables : la liberté d’expression,
la liberté de conscience, et la prudence de ne jamais en pratiquer
aucune. »
Stella a découvert le prix de son imprudence. A la
mi-juin elle a vendu sa maison. Le 19 juin 2013, « elle a envoyé un
courriel aux 424 membres de la Chambre des députés pour réitérer ses
affirmations et suggérer un accroissement des enquêtes sur les attentats
d’avril. » Le 20 juin, elle démissionnait. Le pire, je pense, est à venir.
12. Réduire les
témoins au silence
Il est inévitable dans les cas de terrorisme sous
faux pavillon, que des individus – en plus des pigeons eux-mêmes – soient
réduits au silence. Après tout, la plupart des agents du MI6, du Mossad ou du
FBI agissent avec l’idée corrompue que ce qu’ils font est pour le bien. Lorsque
des gens de ce genre découvrent qu’ils se sont fait avoir, ils se retrouvent
devant un choix cornélien : garder le silence et obtenir un sursis
temporaire ou permanent d’exécution, ou bien dire la vérité, voir leur
témoignage bloqué par les médias du Syndicat du crime et être exécutés. Il est
à porter au crédit de l’humanité qu’il y ait eu quelques personnes prêtes à
sacrifier leurs vies pour la vérité, la liberté, la justice, la paix, le
bien-être et la survie à long terme de l’humanité. Par conséquent, la plupart
des attentats de Gladio-Etats-Unis sont accompagnés de blessés, de témoins
morts prématurément, qui sont au courant.
Pour le moment, dans l’affaire de Boston qui a
trois mois, le nombre de victimes est modeste :
Un candidat à un tribunal de justice
postrévolutionnaire : Robert Mueller était le directeur en fonction du FBI
lors du déroulement de l’épisode Gladio de Boston
- Le 22 mai
2013, à Orlando, en Floride, la police avait interrogé une connaissance de
Tamerlan, Ibragim Todashev et l’avait exécuté ; il avait dit à un ami
qu’ils allaient le tuer, mais même cet homme désarmé ne pouvait prévoir
qu’on allait lui tirer dessus « SEPT fois au cours de
l’interrogatoire – y compris une fois à l’arrière du crâne. »
Quel est donc le crime qu’avait commis
Todashev ?
« Il ne croyait pas que les Tsarnaev avaient
fait cela. Il avait dit qu’ils avaient été victimes d’un coup monté. C’étaient
ses mots exacts. »
Parfois cela prend du temps pour que les étrangers
voient l’Amérique telle qu’elle est devenue : « J’ai quelques
questions pour les Américains », dit Zaurbek Sadakhanov, un avocat qui
travaillait avec la famille Todashev ainsi qu’avec celle de M. Tsarnaev et son
frère Dzhokhar, l’autre suspect des attentats à la bombe de Boston :
« Pourquoi (Ibragim) a-t-il été interrogé pour
la troisième fois sans la présence d’un avocat ? Pourquoi l’interrogatoire
d’Ibragim n’a-t-il pas été enregistré en audio ou vidéo étant donné qu’il a été
interrogé sans la présence d’un avocat ? Pourquoi a-t-il fallu lui tirer
dessus à sept reprises, alors que cinq policiers étaient équipés de pistolets
paralysants … Nous ne saurons jamais si Ibragim Todashev et Tamerlan Tsarnaev
étaient des criminels parce que l’enquête s’est terminée par leur décès. Si
c’est ce qui se passe dans la démocratie américaine, je suis absolument opposé
à l’exportation de cette démocratie en Russie. »
David Martin fournit un excellent résumé de
l’assassinat de Todashev.
B. Il serait difficile de réduire directement au
silence la mère au franc-parler de Tamerlan et Dzhokhar, étant donné le deuil outrageant
qu’elle a subi et le fait qu’elle était en Russie lors de la tragédie, mais il
y a des manières indirectes de museler presque tout le monde. Ce fut par
hasard, voyez-vous, qu’en mai 2013 « la sœur de Dzhokhar et Tamerlan
Tsarnaev se retrouva sous le coup d’une accusations pour trafic de drogue dans
le New Jersey ». Une autre coïncidence ? A-t-elle été arrêtée afin
que Dzhokhar, qui est apparemment un adolescent au cœur en or, fasse de faux aveux
pour qu’elle soit relâchée ? Ou la cible était-elle la mère qui se
retrouvait devant le « choix de Sophie » : la vie de sa fille ou
celle de son fils ?
C. Trois jours après l’attentat à la bombe, un
officier de l’académie de police, Sean Collier, fut victime d’un tir fatal. Comme dans
l’assassinat de JFK, dit Russ Baker, c’est le « meurtre d’un officier de
police qui dopa les poursuites policières, et ceci, une fois que le
suspect fut appréhendé, persuada le public qu’ils tenaient leur homme … le
meurtre d’un officier de police n’avait pas beaucoup de sens dans le contexte
de « l’évènement principal », mais il suffit à donner une poussée
d’adrénaline aux poursuites judiciaires. Ce n’est que plus tard que des détails
cruciaux du scénario ont été modifiés, alors que personne n’y prêtait plus
attention … Dans le cas de l’officier Collier, si nous regardons de près,
nous pouvons nous apercevoir que le scénario a été réécrit après que la plupart
des gens aient cessé d’y porter leur attention. Les premières informations
donnaient l’impression que Collier avait eu une quelconque relation avec ses
tueurs.
D. Et
le chapitre du scénario officiel, dans ce monde aux miroirs déformants qu’est
le nôtre, devient de plus en plus étrange. Un des premiers policiers à arriver
sur la scène du crime où Sean Collier a été mystérieusement tué en service,
Richard Donohue, était lui-même un ami proche de Collier.
« Quelques heures plus tard, il allait être
grièvement blessé dans l’échange de coups de feu de Watertown avec les frères
Tsarnaev. » Russ Baker remarqua à propos de cette coïncidence :
« Quelle coïncidence ? De tous les policiers qui auraient pu être
blessés à Watertown, le seul à l’avoir été est Donohue. »
« Et ce n’est pas fini … Nous avons appris
plus tard que Donohue n’avait pas été atteint par les Tsarnaev mais par une
balle perdue. (Ici il semble que nous rejouons, point par point, l’assassinat
de Pat Tillman). Mieux, un des premiers témoins de la scène où l’officier
Collier a été abattu fut lui-même victime d’une étrange fusillade, de la part
de collègues policiers.
« Donohue a survécu, et selon le Boston Globe
du 19 mai, il ne dit rien sur cette nuit- là parce qu’il … ne peut pas »
« L’officier Richard ‘Dic’ Donohue de la MBTA
ne se rappelle quasiment rien de la nuit où il a été blessé par balles au cours
de la fusillade chaotique qui a eu lieu dans le quartier habituellement
tranquille de Watertown street, ou du meurtre de son ami proche, l’officier du
MIT Sean Collier, quelques heures plus tôt à Cambridge. »
- Le 17 mai
2013, deux membres de l’unité d’élite antiterroriste du FBI
« tombèrent » de leur hélicoptère au cours d’un exercice
d’entraînement. Le lecteur perspicace ne sera pas surpris d’apprendre que
ces deux hommes appartenaient à l’équipe qui « était impliquée dans
l’arrestation de Dzhokhar Tsarnaev. »
Ce dernier épisode d’une chute dans la mer depuis
un aéronef appelle quatre commentaires
brefs :
J’ai été impliqué dans des exercices similaires, et
je n’ai entendu parler que d’un seul incident de ce genre concernant une seule
personne. Donc je peux vous assurer que dans le cas de professionnels, ces
accidents sont hautement improbables.
Un petit conseil amical pour les membres survivants
de cette unité antiterroriste : si vous avez de la chance, le meurtre de
deux de vos collègues, est destiné à vous convaincre que le silence est votre
meilleure garantie de survie. Même si vous ne dites rien, du point de vue du
Syndicat du crime, vous êtes une arme en liberté et chargée. Ils ont un permis
de tuer, et ils pourraient bien en faire usage un jour. Si j’étais à votre
place, j’utiliserais ma formation pour disparaître sans laisser de traces. Il
vaut mieux vivre dans un village retiré en Amazonie que de s’écraser d’un
hélicoptère, à mon avis. Puis, lorsque la révolution sera en marche, soyez sûr
de pouvoir nous rejoindre : nous aurons un grand besoin de gens comme
vous.
La CIA – par l’intermédiaire de leurs agents
argentins par exemple – a fait chuter des gens d’une « hauteur
significative » (comme l’a formulé le FBI) dans des eaux troubles pendant
des années. Dans la version Argentine de la fin des années 1970, les victimes
étaient souvent enchaînées entre elles et dénudées (les déshabiller humilie les
victimes et satisfait les tendances perverses de certains banquiers et de leurs
acolytes). Il reste à voir si c’était le cas des deux membres de cette équipe.
Le nombre de témoins décédés (4) excède le nombre
des victimes (3) des explosions de Boston.
Si la plupart de vos amis et relations (comme c’est
le cas de la plupart des miens), cher lecteur, sont des critiques endoctrinés
invétérés de la conspiration, racontez-leur la fable de l’empereur nu, puis
confrontez-les au « mystère de la disparition des témoins du Marathon de
Boston » et demandez-leur : Quelle est la première hypothèse qui
viendrait à l’esprit de Sherlock Holmes ? Ou encore mieux : comment
un enfant de huit ans qui n’a jamais été exposé à la TV aborderait-il ce
mystère ?
13. Les
conséquences des incidents terroristes : des attaques en règle contre les
libertés
Chaque acte de terrorisme présumé est suivi par des
attaques coordonnées à la vitesse de l’éclair, apparemment planifiées à
l’avance par l’intermédiaire de la police sous les ordres des banquiers, des
présidents et législateurs à tous niveaux, des maires et par-dessus tout des
médias – sur la Constitution et tout ce qu’elle représente, y compris le droit
à la légitime défense contre des bandits en uniforme. Cette trahison
consécutive au terrorisme lancinant, fait émerger une évidence : la
Constitution est précisément la cible de cette guerre artificielle contre le
terrorisme.
Quelques heures à peine après la tragédie de
Boston, par exemple, il y a eu des appels bien médiatisés de la part de
marionnettes publiques et de citoyens naïfs, à plus de caméras de surveillance
dans nos villes, plus de drones dans nos cieux, et moins d’armes et de
munitions pour nous défendre contre un gouvernement de plus en plus corrompu,
brutal, arbitraire et illégitime.
Pour retrouver un seul adolescent de 19 ans,
blessé, effrayé, sans arme et probablement innocent, le Syndicat du crime a
promulgué la loi martiale dans une ville entière (en fait, ils ont utilisé
l’euphémisme mensonger, comme ils le font toujours, « d’assignation à
domicile ») et, en contrevenant au 4ème amendement de la
Constitution, ils ont procédé à des perquisitions systématiques arme au
poing.
14. Le secret,
le secret partout et pas une once de transparence
Un voile partiel du secret entoure chaque acte de
terrorisme, menant inexorablement à la question clef : que
cachent-ils ? La réponse la plus probable étant : leur complicité
avec le terrorisme.
Voici un florilège de Boston :
« Les autorités disent que le médecin légiste
a déterminé la cause de la mort du suspect des attentats à la bombe de Boston,
Tamerlan Tsarnaev, mais l’information demeurera confidentielle jusqu’à ce que
la dépouille soit mise à disposition et qu’un certificat de décès soit
établi. »
Deux semaines après l’exécution d’Ibrahim Todashev
lors d’un « interrogatoire », les exécuteurs (le FBI) ont refusé de
révéler officiellement ce qui avait provoqué la fusillade ou si Todashev avait
une arme sur lui (comme si le FBI menait des interrogatoires avec des hommes
armés) et « ont déclaré qu’ils ne révéleraient pas d’autres informations
sur la fusillade. Un porte-parole du FBI à Washington D.C. n’a pas répondu aux
demandes d’explications » (de la part des grands médias sous contrôle).
Dave Lindorff se rappelle de ses tentatives pour
obtenir des informations concernant la société de sécurité privée, fortement
suspectée qui était présente sur le marathon de Boston – il s’est trouvé face à
un mur. Quelqu’un les a engagé, mais personne n’était disposé à lui dire par
qui ni pourquoi.
15. Il est bien
connu que de nombreux attentats “terroristes” ont été facilités et planifiées
par le gouvernement lui-même – afin de piéger des terroristes semble-t-il
« Il existe un historique très documenté où le
gouvernement utilise des pièges pour faciliter les attentats terroristes. Le
New York Times a rapporté plusieurs « complots terroristes
mortels » qui ont été
« facilités » par le FBI, dont les agents opérant sous couverture et
dont les informateurs se sont fait passer pour des terroristes … Cela implique
pour monter ces opérations l’usage de faux missiles, de faux explosifs C4, de
ceintures explosives désamorcées, et de bombes chimiques inertes fournis à des
suspects naïfs. »
Cela laisse à penser, au moins que le Syndicat du
crime est étroitement associé au terrorisme, ce qui, pour le moins, devrait
éveiller les soupçons. Au pire, cela suggérerai que le terrorisme est librement
conçu par le syndicat lui-même.
Concernant
Boston, pour le moment, il n’y a que des preuves indirectes du piège.
« Virtuellement, chaque attentat terroriste aux
Etats-Unis depuis le 11 septembre porte la marque du FBI, et les attentats à la
bombe de Boston ne font pas exception. »
Si l’analyse générale fournie par cet article est
pertinente, des preuves plus directes du soutien du gouvernement aux attentats
de Boston devraient finalement sortir.
16. Lors de
nombreux actes terroristes parrainés par les banquiers, un « entraînement»
parallèle de la police ou de l’armée avait été planifié, qui ressemblait
furieusement à l’acte terroriste lui-même.
Ce parallèle est évidemment plus cohérent avec un
complot d’inspiration gouvernemental qu’avec un complot anti-gouvernemental.
Il y a des raisons de croire qu’il s’applique
également aux explosions de Boston.
« Des forces de l’ordre américaines ont
organisé un entrainement antiterroriste exactement au même endroit et à la même
heure où s’est produit le véritables attentat. Des caméras de surveillance ont
montré des personnels des forces de l’ordre américains avec des sacs à dos
noirs sur la scène de crime plus tôt, mais ils se sont dispersés ensuite, une
minute ou deux avant que l’explosion n’ait lieu. »
Selon les récits des témoins oculaires :
« Au village des athlètes il y avait des
hommes sur le toit qui surveillaient le village au départ. Il y avait des chiens
qui reniflaient à la recherche d’explosifs, et on nous a dit dans une annonce
au mégaphone que nous ne devions pas nous en inquiéter et qu’il ne s’agissait
que d’un entraînement. Et peut être n’était-ce qu’un entraînement, mais je n’ai
jamais rien vu de pareil – lors des marathons auxquel j’ai assisté. Cela m’a
inquiété, vous savez, que la seule course à laquelle j’ai assisté de toute ma
vie où il y avait des chiens à la recherche d’explosifs, soit également la
seule où il y a eu des explosions. »
Deux semaines après avoir écrit les lignes
ci-dessus, un autre entraînement étrange a fait surface. Bien avant le marathon
de Boston de 2013, le gouvernement avait prévu un « important exercice de
police » pour les 8 et 9 juin 2013. Cet exercice « financé par un don
de 200 000 $ par le ministère de l’intérieur (Homeland Security) avait
pour thème « un groupe terroriste qui se prépare à tuer et blesser un
grand nombre de personnes aux alentours de Boston » abandonnant derrière
eux des « sacs à dos remplis d’explosifs ». « Le complot de base
était celui-ci : (de faux terroristes) … placeraient de faux engins
explosifs ». « Des mois de planification minutieuse avaient été
investis dans cet entraînement ». « Des représentants d’une douzaine
de services s’étaient réunis durant des mois pour définir le scénario. Ils se
comportaient presque comme des producteurs de cinéma, recrutant des étudiants
de l’Université Northeastern et de l’académie de police de Boston pour jouer
les scènes, le rôle de terroristes et de témoins. » Il était pratique pour
les têtes pensantes de Gladio-Etats-Unis, que dans cet entraînement, très peu
voire aucun des participants ne savaient ce qui se passait réellement.
« Les participants en effet, ne connaissaient pas le scénario ».
« L’exercice planifié présentait d’étranges similitudes avec les enquêtes
de la police ayant conduit à la capture des poseurs de bombes présumés du
Marathon de Boston ». « Mais deux mois avant que l’exercice ne se
déroule, la ville a été frappée par un attentat terroriste réel exécuté d’une
façon absolument identique. »
Tous ces secrets, ce parallèle saisissant,
l’ignorance des exécutants du plan général, sont parfaitement compatibles avec
l’hypothèse Gladio – et sont de façon absolue, indéniable, inexplicable et
inconciliable avec l’hypothèse alternative d’un attentat terroriste musulman.
17. Des liens
douteux entre des terroristes présumés et les escadrons de la mort du
gouvernement (c.à.d. la CIA, FBI, DIA, DHS, TSA, MI6, Mossad)
Dans de nombreux cas de faux terrorisme (remontant
de façon lointaine aux assassinats de J.F. Kennedy Sr et John Lennon, ainsi
qu’à la tentative d’assassinat sur Ronald Reagan (par le fils d’un proche
associé du clan Bush), les auteurs présumés sont liés à des escadrons de la
mort officiels (FBI, CIA).
A Boston, nous observons au moins trois connexions
de ce genre.
- Jusqu’en
1999, l’oncle de Tamerlan et Dzhokhar était marié à la fille d’un haut
responsable des opérations de la CIA (en fait, son père était, comme le
remarque F. William Engdahl, l’homme qui avait recruté Oussama Ben Laden
et d’autres extrémistes, tchétchènes et d’autres, pour affaiblir le
gouvernement séculaire et civilisé en comparaison, qui dirigeait
l’Afghanistan au début des années 1980). De plus, l’oncle avait travaillé
pour des sociétés ayant des liens avec Halliburton et dirigeait un
établissement qui avait tout d’une société-écran de la CIA. En outre,
ledit oncle avait habité pendant un an dans la maison de ce dirigeant de
la CIA, même pendant que sa société fournissait de l’aide aux terroristes
islamiques en Tchétchénie (pour s’efforcer de déstabiliser la Russie), son
adresse officielle était le domicile du beau-père de l’oncle.
W. Engdahl pose
la question :
« Est-ce une pure
« coïncidence » que l’oncle de deux jeunes hommes accusés des
attentats à la bombe de Boston était lié par mariage à la personne de la CIA
qui était responsable des réseaux qui sont devenus plus tard Al Qaida dans
toute l’Asie centrale, y compris la Tchétchénie où se trouvaient les racines des
frères Tsarnaev ? »
- La femme
de Tamerlan est la « petite-fille de Richard Warren Russell, membre
des Skull and Bones et entrepreneur dans l’industrie énergétique. »
Les Skull and Bones, est une fraternité secrète
d’étudiants de l’Université de Yale (faculté de droit) étroitement liée au
Syndicat du crime.
Selon Anthony C. Sutton, l’ordre des Skull and
Bones « est puissant, incroyablement fort », et comprend
« d’ancienne familles patriciennes » comme les Taft, les Sloane, les
Harriman et les Rockefeller omniprésents. D’autres lignées et individus
soutenant l’idéologie fasciste, et dorénavant leur emprise sur l’Amérique
comprennent William Buckley (un dirigeant de la CIA et ensuite un fervent
promoteur de propagande à la solde des Rockefeller), le collaborateur nazi
Preston, ses fils Jonathan et George H., son petit-fils George W. Bush et le
Secrétaire d’Etat John Kerry.
- Selon un
grand journal russe, Tamerlan aurait pu être un agent des services de
renseignement américains. En 2012, par exemple, « il a participé à un
séminaire parrainé par les Etats-Unis dans le Caucase, dont le but était
de déstabiliser les régions du sud de la Russie. » Mahdi Darius
Nazemroaya remarque :
« Tous les petits détails qui ont émergé sur
lui montrent qu’il avait eu des contacts avec les autorités américaines et
qu’il était suspecté d’espionnage en Russie. »
18. On ignore
les soutiens financiers
Les versions officielles ignorent souvent le fait
que de nombreuses opérations terroristes exigent de l’argent. On nous dit toujours
qui sont les auteurs, mais on fait l’impasse sur leurs investisseurs. Cela nous
laisse souvent l’impression qu’on nous dissimule quelque chose.
A Boston, « il reste à trouver la réponse à la
question de savoir où les deux frères, dont aucun n’avait de richesse, ont pu
se procurer l’argent pour s’offrir des vêtements à la mode ou, dans le cas de
Tamerlan (qui avec son épouse et sa petite fille, selon les informations
disponibles, vivait jusqu’ici de l’aide sociale), pour s’acheter la dernière
berline Mercedes-Benz. »
19. Le complot
Gladio-Etats-Unis est plein de contractions, d’incohérences, de mensonges,
de rétractations, et de faits douteux.
« Les gouvernements occidentaux, les services
de renseignement et les grands médias ont fait la preuve qu’ils étaient des
sources d’informations indignes de confiance au sujet des « attentats
terroristes » présumés ou « des complots terroristes avortés ».
« Dans les jours qui ont suivi les attentats à
la bombe de Boston, d’énormes contradictions
sont apparues dans les comptes-rendus officiels fournis par
l’administration Obama, le FBI et les autres services de l’état quant à la
manière dont cet attentat s’est déroulé. »
Lorsqu’on en arrive à ce genre de faits bizarres,
il faut s’en remettre aux chiffres. Des critiques invétérés de la thèse du
complot pourraient peut être expliquer quelques-uns des épisodes peu
ragoûtants, mais seraient-ils capables d’expliquer les arguments de A à M
suivants ?
- Les frères
Tsarnaev sont nés en Tchétchénie pour s’installer ensuite aux Etats-Unis.
La Tchétchénie, une république de la Fédération de Russie, peuplée
principalement de musulmans, les Tchétchènes, a plus souffert que les
ethnies Russes, des atrocités inexprimables lors du règne de Staline. Ils
avaient également fait l’objet de discriminations par le gouvernement
soviétique et les citoyens russes ordinaires. Le Syndicat des banques se
repaît habituellement de ce genre de mécontentements justifiés de la même
manière que des sangsues de la vallée de Katmandou se repaissent de sang
humain. Comme en Afghanistan et ailleurs, dans le cadre de ses tentatives
de déstabilisation pour faire éclater la Russie – peut-être le seul défi
nucléaire significatif pour les banquiers – et celles pour déstabiliser le
monde entier (y compris les Etats-Unis), le Syndicat du crime, par le
biais des escadrons de la mort de la CIA et du MI6 ; a orchestré et
soutenu le mouvement sécessionniste en Tchétchénie. Une partie de ce
soutien consistait à l’organisation d’escadrons de la mort créés de toutes
pièces, encourageant et facilitant des attentats terroristes en
Tchétchénie et dans d’autres parties de la Russie.
Comme Alexandre Soljenitsyne avant sa première
visite aux Etats-Unis et plus tard lors de son soutien tragique, mal informé
sur la guerre du Vietnam, les militants tchétchènes naïfs considéraient à tort
la CIA et les Etats-Unis comme leurs bienfaiteurs alliés ; donc, cela
défie l’entendement qu’ils aient voulu commettre un acte terroriste contre
l’Amérique. Avant de recevoir le scénario officiel, le fasciste de bonne
réputation Rudy Giuliani, par exemple, avait à juste titre fait observer que
les extrémistes tchétchènes ne voulaient terroriser que la Russie et ne
nourrissaient aucune animosité envers les Etats-Unis. Abondant dans ce sens, en
2013, parmi les mercenaires étrangers chargés d’organiser le génocide, le
chaos, le fanatisme et les fractures religieuses en Syrie, Gordon Duff remarqua
la présence de « mercenaires tchétchènes travaillant avec la CIA et Al
Qaida. »
De même, « Wayne Madsen et d’autres
journalistes ont prouvé que les « groupes terroristes tchétchènes »
liés au frère aîné Tsarnaev, par le biais de ses maîtres de la CIA … étaient en
fait des groupes terroristes pro-américains dirigés par le gouvernement américain
contre le gouvernement russe. »
Et pourtant, on veut nous faire croire que deux
Tchétchènes, dont l’un avait assisté à une « conférence » parrainée
par la CIA en Russie, haïraient suffisamment les Etats-Unis pour risquer la
mort afin de tuer une femme chinoise, un petit garçon américain et un gérant de
restaurant américain, et de blesser un grand nombre d’autres innocents
américains et étrangers, de plus, tout
cela au cours d’un évènement sportif international dont les trois premiers
prix, dans les catégories hommes et femmes, ont récompensé des Kenyans et des
Ethiopiens.
- Dans un
travail d’enquête minutieux, Dave Lindorff a mis à l’épreuve une question
simple : à quoi ressembleraient les bretelles d’un sac à dos rempli
de clous et d’explosifs ? La réponse : certainement pas au sac à
dos de Dzhokhar Tsarnaev ! Cette simple expérience scientifique –
comparer un sac à dos d’un poids comparable en explosifs à une photo du
sac à dos de Dzhokhar – a permis à Lindorff de conclure que peu importe ce
que Dzhokhar « portait, ce n’était certainement pas un cylindre de 13
ou même de 9 kilos. » La même chose est valable pour le sac à dos de
Tamerlan Tsarnaev.
- Lindorff
remarque que les sacs à dos des deux frères semblaient gris, mais que les
sacs à dos abimés dont le FBI dit qu’ils leur appartenaient étaient noirs.
- « Pendant
ce temps, il y avait des gens sur place près de la ligne d’arrivée qui
portaient des sacs à dos qui étaient aussi bien noirs et assez grands et
suffisamment remplis pour contenir les cocotte-minute. Ces hommes ont été
observés et photographiés portant des casquettes de base-ball et des
chemises comportant le logo d’une tête de mort blanche d’une société de
mercenaires vacataires basée à Houston, Texas, appelée Craft International
Security (qu’aucun service gouvernemental n’admettra avoir
engagée) ».
Il s’avère que cette société de mercenaires privés
entretient « d’étroites relations incestueuses avec la CIA ». Les
sacs à dos de ces mercenaires privés correspondent parfaitement aux sacs qui
ont renfermé les explosifs d’après le FBI.
- Le FBI
avait d’abord feint d’ignorer l’identité des deux suspects des attentats
de Boston, Tamerlan et Dzhokhar Tsarnaev, en demandant au public qui ne se
doutait de rien, de l’aider à « identifier » et
« retrouver » les suspects, mais plus tard, ils ont fait marche
arrière, à la suite des révélations que le frère aîné – et en fait toute
sa famille – était sous surveillance permanente. »
- Le FBI a
délibérément menti aussi, sur les circonstances ayant conduit à
l’arrestation des suspects. Par exemple, le FBI a faussement accusé les
deux frères d’avoir dévalisé une supérette. Et, comme si cela ne suffisait
pas, le FBI a évoqué le spectre d’une fusillade effrénée avec ces
desperados, affirmant qu’ils avaient tué un policier. Comme nous l’avons
constaté, il s’est avéré que le malheureux policier avait été tué par un
autre policier (ils appellent cela une balle perdue, en jouant sur les
mots pour retarder la révélation qu’un policier aurait pu recevoir l’ordre
d’en tuer un autre).
- « Contredisant
les affirmations de la part des autorités que Dzhokhar Tsarnaev avait
renversé son propre frère, un témoin oculaire de l’incident affirme que la
police a roulé plusieurs fois sur Tsarnaev avec un 4x4 avant de le cribler
de balles. »
- Comme nous
l’avons vu, les « forces de l’ordre américaines conduisaient un
exercice exactement au même endroit et au même moment où se déroulaient
les véritables actes terroristes. » Naturellement, le gouvernement a
d’abord nié l’existence de cet entraînement.
- « Les
officiels prétendaient que Dzhokhar Tsarnaev n’était pas armé alors qu’il
s’était réfugié dans un bateau à Watertown (une banlieue de
Boston) ». Cette nouvelle version contredit le compte-rendu du Chef
de la Police de Boston sur la fusillade de plusieurs heures avec Tsarnaev,
un reportage du New York Times indiquant qu’un fusil M4 avait été trouvé
dans le bateau où il s’était réfugié et l’affirmation que Tsarnaev se
serait blessé avec son arme à bord » - étant donné qu’il n’avait pas
d’arme, il ne pouvait s’être infligé les blessures par balle. » Et
soit dit en passant, il est probable que sa gorge et ses cordes vocales
aient été tranchées par un couteau, pas par une arme à feu.
- Et puis il
y a l’exécution de l’ami de Tamerlan, Ibragim Todashev, au cours de son
interrogatoire par l’escadron de la mort (FBI) (voir plus-haut).
D’abord, l’équipe d’interrogateurs a prétendu que Todashev « s’était
jeté sur l’agent avec un couteau pendant qu’on l’interrogeait à son
domicile. » L’escadron de la mort s’est rétracté plus tard en
concédant qu’Ibragim n’était pas armé.
- Ou prenez
la question de savoir qui est à blâmer. Comme nous l’avons vu, selon la
police, le premier suspect était un jeune Saoudien ayant des liens
familiaux avec Al-Qaida. L’enquête sur ce suspect fut soudainement
abandonnée, après « que l’ambassadeur saoudien ait tenu une réunion
imprévue avec Barack Obama et une autre avec le Secrétaire d’Etat John
Kerry, et après que l’épouse d’Obama ait rendu visite à ce mystérieux
saoudien à l’hôpital. Cet homme a été expulsé en toute hâte pour
« activités terroristes ».
Cette expulsion n’a aucun sens. Pourquoi l’expulser
aussi rapidement, en se privant des informations que cet homme aurait apportées
pour faire la lumière sur le dossier ? Auparavant nous avons importé des
« terroristes » dans le Camp de Détention de la Baie de Guantanamo,
et maintenant nous expulsons un suspect potentiel avant même d’être sûr de ses
liens avec les attentats de Boston ? Se pourrait-il que cet expulsé ait
été le suspect désigné mais que nos amis dictateurs de Riyad aient expliqué
clairement que les boucs émissaires saoudiens du 11 septembre suffisaient, et
qu’ils ne permettraient plus au Syndicat du crime d’impliquer un ou plusieurs
citoyens saoudiens dans les propres actes terroristes du Syndicat ? Se
pourrait-il que la méfiance des dirigeants saoudiens ait forcé le Syndicat du
crime à revoir son scénario au dernier moment et que le Syndicat se soit
rabattu sur les frères Tsarnaev (il s’est avéré que les Tsarnaev fréquentaient
la même mosquée que l’expulsé saoudien) ? Si effectivement ils ont dû
improviser, cela expliquerait les incohérences plus nombreuses que d’habitude
de la version officielle.
- Nous avons
constaté auparavant, en discutant sur le dossier troublant concernant la
mort de l’officier de police Collier, de la blessure et de l’amnésie de
l’officier de police Donohue, que la police avait menti – et qu’elle avait
été obligée de faire un communiqué pour se rétracter – sur les
circonstances de la mort de Collier et des blessures graves de Donohue.
- L’élue
régionale Stella Tremblay (Républicaine d’Auburn) a affirmé qu’elle savait
que le gouvernement fédéral était
derrière ces attentats parce que
Jeff Bauman, une victime des attentats qui a aidé à identifier les
suspects, n’était pas « en train de crier agonisant » après
avoir eu ses deux jambes amputées par l’explosion.
A l’appui de cette affirmation, Jim Fetzer a fourni
des preuves suggérant « que la perte des deux jambes de Bauman sous les
genoux semble avoir été truquée ». A la suite d’un tel traumatisme, il
aurait dû y avoir du sang partout, mais on n’a rien constaté de tel. La victime
aurait dû être inconsciente, mais elle restée consciente tout le temps.
« Lorsqu’on le pousse trop vite dans une chaise roulante, une prothèse
(attachée à l’os saillant) tombe et ils sont obligés de s’arrêter et de la lui
remettre. »
Les mots de
conclusion
Cette publication a sans doute négligé certains
indices révélateurs de ce faux terrorisme et en a mal interprété et mal évalué
d’autres. Ce qu’il faut en retenir, cependant ce ne sont pas les erreurs
factuelles, les omissions et les points de vue, mais le fait incontestable que
le terrorisme conçu par les autorités se conforme à un schéma type général.
C’est ce schéma type et non la foule des détails, qui plaide sans conteste pour
l’implication du Syndicat du crime.
Permettez-moi de l’indiquer plus énergiquement. Nos
19 critères distinctifs, considérés ensemble, ne permettent que deux et
seulement deux interprétations. La première, est que nous vivons dans un monde
étrange et chamboulé dans lequel les preuves et la logique ne s’appliquent
plus. La seconde est qu’il s’agit de terrorisme d’origine gouvernementale.
Après avoir passé en revue les preuves disponibles
de la tragédie de Boston, le Professeur James Petras a écrit :
« L’hypothèse la plus probable est que le FBI
ait facilité les attentats à la bombe afin de raviver les élans latents de la
« guerre contre le terrorisme » imposée à un public américain las de
la guerre et économiquement affaibli. »
Les 19 signes ci-dessus, oserai-je dire,
transforment cette probabilité en une quasi-certitude.
Le temps et la force émotionnelle ne me permettent
pas de démontrer que la plupart de ces critères s’appliquent à tout acte de
terrorisme, au moins depuis le 11 septembre. Le lecteur peut vérifier par
lui-même en appliquant les 19 critères ci-dessus désignés Gladio-Etats-Unis à
tout incident passé. Mieux, il pourra même en vérifier la pertinence en
l’appliquant au prochain acte de terrorisme très largement médiatisé.
Vous pourriez demander : ce terrorisme va-t-il
continuer ? Ma réponse est : le soleil va-t-il se lever
demain ? Est-ce que les banquiers internationaux vont vous voler des
dizaines de milliers de dollars dans les années à venir ? Est-ce que les
banquiers, par l’intermédiaire du gouvernement et des médias à leur pieds, vont
continuer à mentir sur l’inflation, le chômage, les prix de l’or, le budget des
guerres impérialistes, les casus belli – et tout le reste ? Vont-ils continuer
à traiter leurs propres soldats, policiers, et assassins professionnels,
blessés ou morts, avec indifférence et dédain ? Vont-ils continuer à
appeler la guerre contre la classe moyenne américaine et les misérables :
« accords de libre échange » ? Vont-ils continuer à
« libérer » des pays en éliminant une partie significative de leur
population, en les remettant aux mains de maniaques génocidaires, en provoquant
sans cesse les causes croissantes de défauts et de malformations à la
naissance, et en poussant aux conflits religieux et ethniques ? Vont-ils
continuer à assassiner d’influents dissidents américains ? Vont-ils continuer à
réécrire le passé, corrompre le présent et voler l’avenir de nos
petits-enfants ? Bien sûr qu’ils le feront – jusqu’à ce que nous les
éloignions du pouvoir en les évinçant par la force.
Oui, ils vont nous terroriser, nous parasiter comme
des sangsues et nous mettre une fois de plus sur la paille, encore et encore.
Et comme nous, leurs sujets soumis comme des zombies, les laissons faire, ils
vont continuer à activer leur campagne de terreur et leurs plans – jusqu’à ce
qu’il ne reste rien de la liberté, de la pensée critique et holistique, de la
justice, de la paix, de la compassion, de la spiritualité et des convenances
sociales. Et comme les schémas de comportements qu’ils appliquent ont été
fournis par Orwell et Hitler, il y a tout lieu de croire que le terrorisme
qu’ils vont déclencher contre nous ne durera pas seulement jusqu’à ce qu’ils
nous réduisent en esclavage, mais bien après : jusqu’à ce qu’en fait la
Pachamama* à la crème fouettée s’effondre et entraîne avec elle l’humanité et
les banquiers philistins qui règnent sur elle.
*Pachamama : sorte de « burger »
bio.
Traduction Française Patrick T rev Isabelle
Moti Nissani -
La biographie universitaire de Moti Nissani peut
être consultée ici :
http://www.is.wayne.edu/MNISSANI/CV99.HTM
Veteran Today.
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