Par Alberto Rivera
Ces informations émanent
d’Alberto Rivera, un ancien prêtre jésuite, après sa conversion au
Protestantisme. Elles proviennent d’un livre publié aux éditions Chick
Publications, intitulé « The Prophet » BP 662, Chino 91708 Californie (USA). Depuis sa
publication, et, après plusieurs tentatives infructueuses pour l’assassiner, il
est mort subitement d’une intoxication alimentaire. Son témoignage ne devrait
pas tomber dans l’oubli. Le Dr. Rivera continue à nous parler …
« Ce que je vais vous raconter est ce que j’ai
appris lors d’enseignements reçus au Vatican alors que j’étais un prêtre
jésuite, après avoir juré d’en garder le secret. Un cardinal jésuite nommé
Augustin Bea nous a montré combien les Catholiques romains voulaient récupérer
Jérusalem à la fin du troisième siècle en désespoir de cause. En raison de son
histoire religieuse et de sa position stratégique, la Ville Sainte était
considérée comme un trésor inestimable. Une stratégie avait donc été élaborée
pour faire de Jérusalem une cité catholique romaine.
«Les enfants d’Ismaël étaient une grande ressource
en main-d’œuvre inexploitée capable d’accomplir ce travail. Les pauvres Arabes
furent victimes de l’un des plans les plus habiles jamais conçus par le pouvoir
des ténèbres. Les premiers chrétiens allèrent partout porter la parole de
l’évangile et fondaient de petites églises, mais ils se heurtèrent à plus forts
qu’eux. Les Juifs aussi bien que le gouvernement romain persécutaient les
premiers croyants du Christ pour mettre fin à leur expansion. Mais les Juifs se
rebellèrent contre Rome, et en 70 après JC., les armées romaines sous le
commandement de Titus écrasèrent Jérusalem et détruisirent le grand Temple juif
qui était le cœur de la foi juive … en accomplissement de la prophétie du
Christ dans Matthieu 24 :2.
“La Destruction du Temple de Jérusalem” par Nicolas Poussin (1637)
« A l’endroit de ce lieu saint où se dressait le Temple,
se trouve actuellement la Mosquée du Dôme du Rocher, le deuxième lieu saint de
l’Islam (après la Mecque). Le vent des changements radicaux se préparaient. La
corruption, l’apathie, la cupidité, la cruauté et la perversion rongeaient
l’Empire Romain, qui était proche de l’effondrement. La persécution des
Chrétiens (appelés martyrs) s’avérait inutile car ils continuaient à sacrifier
leurs vies pour l’évangile du Christ.
« La seule manière dont Satan pouvait saper la
confiance dans le Christ, était de créer une religion « chrétienne »
factice pour détruire l’œuvre de Dieu. La solution résidait à Rome. Leur
religion provenait de l’ancienne Babylone et tout ce dont elle avait besoin
était un nouvel aspect. Cela ne s’est
pas fait du jour au lendemain, mais cela commença par les écrits des
« premiers Pères fondateurs de l’église ».
« C’était par leurs écrits que la nouvelle
religion serait encadrée. La statue de Jupiter à Rome fut alors désignée Saint
Pierre, et la statue de Vénus fut changée en celle de la Vierge Marie. Le site
choisi pour son siège était l’une des sept collines appelée
« Vaticanus », le lieu du serpent divinatoire où se dressait le
temple satanique de Janus.
« La grande religion falsifiée serait le
Catholicisme Romain appelé « un Mystère ! Babylone la Grande, la Mère
des répugnantes prostituées de la Terre » (Apocalypse 17:5). Elle fut élaborée
pour arrêter l’évangélisation, massacrer les fidèles au Christ, créer des
religions, provoquer des guerres et rendre les nations ivres du vin de sa
fornication comme nous allons le voir.
« Les trois principales religions ont une chose
en commun – chacune d’elles possèdent un lieu saint où se recueillir et
chercher un guide. Le Catholicisme romain considère le Vatican comme la Cité
Sainte. Les Juifs se réfèrent au Mur des Lamentations à Jérusalem et les
Musulmans considèrent La Mecque comme leur Ville Sainte. Chaque culte croit
qu’il bénéficie de certaines bénédictions pour le restant de sa vie en visitant
leur lieu sacré. Au départ, les pèlerins arabes apportaient des offrandes à la
« Maison de Dieu », et les gardiens de la Kaaba honoraient tous ceux
qui venaient. Certains apportaient leurs idoles et, sans aucune intention
d’offenser ces gens, plaçaient leurs idoles dans le sanctuaire. On disait que
les Juifs considéraient la Kaaba avec vénération comme un tabernacle secondaire
du Seigneur, avant qu’il ne soit pollué par les idoles.
La Kaaba, à La Mecque. Image de :webislam.com
« Lors d’un affrontement tribal à propos d’un
puits (Zamzam) le trésor de la Kaaba et les offrandes des pèlerins furent
enfouis dans le puits et recouverts de sable – c’est ainsi qu’il disparut. De
nombreuses années plus tard, Abd Al-Muttalib reçut des visions lui révélant
l’endroit du puits et de ses trésors. Il devint un héros de La Mecque et allait
devenir le grand-père de Mahomet. Avant cette époque, Augustin (Augustin
d’Hippone, né en 354 à Souk Ahras dans l’actuelle Algérie, mort en 430 à
Hippone, actuelle Annaba en Algérie) devint évêque de l’Afrique du Nord et
réussit à convertir les Arabes au Catholicisme romain, par tribus entières.
C’est parmi ces Arabes convertis au Catholicisme que se développa l’idée de
rechercher un prophète arabe.
« Le père de Mahomet était mort de maladie et dans
des villes comme La Mecque les fils de grandes familles arabes étaient envoyés
dans le désert pour être allaités, sevrés puis de passer une partie de leur
enfance dans les tribus bédouines pour être éduqués et échapper aux tentations
de la ville.
« Après la mort de sa mère et de son grand-père,
Mahomet fut confié à son oncle lorsqu’un moine catholique romain apprit son
identité et lui dit : « Prenez le fils de votre frère et retournez
dans son pays et protégez-le des Juifs, car par dieu, s’ils le voient et le trouvent,
je suis sûr qu’ils lui feront du mal. De grandes choses sont à venir pour le
fils de votre frère ».
« Le moine catholique romain avait attisé les
flammes des futures persécutions de Juifs de la part des fidèles de Mahomet. Le
Vatican voulait désespérément mettre la main sur Jérusalem en raison de son
importance religieuse, mais n’y arrivait pas à cause des Juifs.
« Un autre problème existait aussi, du fait des
véritables Chrétiens d’Afrique du Nord qui prêchaient l’évangile. Le
Catholicisme romain gagnait en puissance, mais ne tolérait aucune opposition.
D’une manière ou d’une autre, le Vatican devait créer une arme sournoise pour
éliminer aussi bien les Juifs que les véritables fidèles chrétiens qui
refusaient d’accepter le Catholicisme romain. En observant l’Afrique du Nord,
ils voyaient la multitude d’Arabes comme source de main-d’œuvre pour accomplir
leur sale boulot. Certains Arabes étaient devenus des Catholiques romains et
pouvaient donc servir d’informateurs aux dirigeants de Rome. D’autres furent
utilisés dans un réseau d’espionnage secret pour mettre en œuvre le plan directeur
de Rome pour contrôler la multitude d’Arabes qui rejetaient le Catholicisme.
Lorsque « Saint-Augustin »
entra en scène, il savait ce qui se tramait. Ses monastères servaient de
bases pour rechercher et détruire les manuscrits de la Bible aux mains des
véritables Chrétiens.
« Le Vatican voulait créer un messie pour les
Arabes, quelqu’un qui pourrait devenir un grand dirigeant, un homme avec du
charisme qu’ils pourraient former, pour finalement unir tous les Arabes non
catholiques derrière lui, en créant une armée puissante qui pourrait finalement
prendre Jérusalem au nom du pape. Dans son cours au Vatican, le Cardinal Bea
nous fit le récit suivant :
« Une dame arabe fortunée qui était une fidèle du
pape joua un rôle énorme dans ce drame. C’était une veuve appelée Khadijah.
Elle fit don de ses richesses à l’église et se retira dans un couvent, mais on
la chargea d’une mission. Elle devait trouver un jeune homme brillant qui
pouvait servir au Vatican à créer une nouvelle religion et devenir le messie
pour les enfants d’Ismaël. Khadijah avait un cousin appelé Waraquah, qui était
également un très fidèle Catholique romain et le Vatican lui confia le rôle
crucial d’être le conseiller de Mahomet. Il exerçait une énorme influence sur
Mahomet.
« Des professeurs furent envoyés pour donner au
jeune Mahomet une formation intensive. Mahomet étudia les travaux de Saint
Augustin qui le préparèrent à son « grand appel ». Le Vatican avait
fait diffuser par de nombreux Catholiques arabes dans toute l’Afrique du Nord
l’annonce qu’un grand homme issu de leur peuple allait être l’élu de leur Dieu.
« Alors que Mahomet poursuivait sa préparation,
on lui dit que ses ennemis étaient les Juifs et que les seuls vrais Chrétiens
étaient les Catholiques romains. On lui enseigna que les autres qui
s’appelaient eux-mêmes Chrétiens étaient en fait d’habiles imposteurs et
devaient être exterminés. Beaucoup de Musulmans le croient toujours.
« Mahomet commença à recevoir « des
révélations divines » et le cousin catholique de son épouse, Waraquah,
l’aidait à les interpréter. Le Coran provient de là. Au cours de la cinquième
année de la mission de Mahomet, ses fidèles furent l’objet de persécutions
parce qu’ils refusaient d’adorer les idoles de la Kaaba.
« Mahomet demanda à certains d’entre eux de fuir
en Abyssinie où le Négus, le roi Catholique romain les accueillerait parce que
les enseignements de Mahomet sur la Vierge Marie étaient très proches de la
doctrine Catholique romaine. Ces Musulmans bénéficièrent de la protection des
rois catholiques en raison des révélations de Mahomet.
« Ensuite Mahomet conquit La Mecque et la Kaaba
fut débarrassée de ses idoles. L’histoire montre qu’avant l’existence de
l’Islam, les Sabéens en Arabie vénéraient le dieu-Lune qui était marié au
dieu-Soleil. Ils donnèrent naissance à trois déesses qui étaient vénérées à
travers tout le monde arabe sous le nom de « Filles d’Allah ». Une
idole déterrée à Hazor en Palestine dans les années 1950 montre Allah assis sur
un trône avec un croissant de lune sur sa poitrine.
« Mahomet affirma avoir eu une vision d’Allah et
on lui dit: « Tu es l’envoyé d’Allah ». C’est ainsi qu’il commença sa
carrière de prophète et qu’il reçut de nombreux messages. Au moment de la mort
de Mahomet, la religion de l’Islam était en pleine expansion. Les tribus
nomades unissaient leurs forces au nom d’Allah et de son prophète, Mahomet.
« Certains des écrits de Mahomet furent intégrés
dans le Coran, d’autres ne furent jamais publiés. Ils sont maintenant aux mains
des saints docteurs (Ayatollahs) de la foi islamique. »
« Lorsque le Cardinal Bea nous prodiguait ses
enseignements au Vatican, il nous affirma que ces écrits étaient conservés
précieusement parce qu’ils contiennent des informations qui relient le Vatican
à la création de l’Islam. Les deux côtés ont tant d’informations les uns sur
les autres, que s’ils étaient connus, cela créerait un tel scandale que ce
serait un désastre pour les deux religions.
« Dans leur livre « saint », le Coran,
le Christ n’est considéré que comme un prophète. Si le pape était son
représentant sur Terre, alors il devrait également être un prophète de Dieu.
Cela a conduit les fidèles de Mahomet à craindre et respecter le pape comme un
autre « saint homme ».
« Le pape agissait rapidement et publia des
bulles papales donnant aux généraux arabes la permission (le droit) d’envahir et
de conquérir les pays d’Afrique du Nord. Le Vatican contribua à financer la
constitution de ces armées islamiques gigantesques en échange de trois
faveurs :
- Eliminer
les Juifs et les Chrétiens (les vrais croyants, qu’ils appelaient les
infidèles !).
- Protéger
les moines Augustins et les Catholiques romains.
- Conquérir
Jérusalem pour « Sa Sainteté » au Vatican.
« Avec le temps, le pouvoir de l’Islam devint
énorme – les Juifs et les vrais Chrétiens se faisaient massacrer, et Jérusalem
tomba entre leurs mains. Durant cette période les Catholiques romains ne
subirent pas d’attaques, pas plus que leurs sanctuaires, mais lorsque le pape
demanda qu’on lui livre Jérusalem, il fut surpris par leur refus ! Les
généraux de l’armée d’arabes avaient à leur actif tant de succès militaires
qu’ils ne se laissaient pas intimider par le pape – rien ne pouvait faire
obstacle à leurs propres plans.
« Sous la direction de Waraquah, Mahomet écrivit
qu’Abraham avait offert Ismaël en sacrifice. La Bible dit que c’est Isaac qui
devait être sacrifié, mais Mahomet enleva le nom d’Isaac pour le remplacer par
celui d’Ismaël. En conséquence de cet épisode et de la vision de Mahomet, les
fidèles Musulmans élevèrent une mosquée sur le site du Temple des Juifs détruit
en l’an 70, le Dôme du Rocher, en mémoire d’Ismaël. Cela fit de Jérusalem le
deuxième lieu saint de la foi Islamique. Comment pouvaient-ils céder un
sanctuaire aussi sacré au pape sans provoquer une révolte ?
« Le pape réalisa que ce qu’ils avaient créé
avait échappé à leur contrôle lorsqu’ils se mirent à traiter « Sa
Sainteté » d’infidèle. Les généraux arabes musulmans étaient déterminés à
conquérir le monde au nom d’Allah et se retournèrent vers l’Europe. Les
ambassadeurs islamiques approchèrent le pape et lui demandèrent des bulles
papales les autorisant à envahir les pays européens.
« Le Vatican fut outragé ; la guerre
s’annonçait inévitable. Le pouvoir temporel et le contrôle du monde étaient
considérés comme le droit fondamental du pape. Il n’envisageait certainement
pas de les partager avec ceux qu’il considérait comme des païens.
« Le pape leva ses armées et appela aux « Croisades » qui étaient des
tentatives pour empêcher les enfants d’Ismaël d’envahir l’Europe catholique.
Les croisades durèrent des siècles et Jérusalem échappa à la mainmise du pape.
« La Turquie tomba et l’Espagne et le Portugal
furent envahis par les forces Islamiques. Au Portugal, ils ont appelé un
village de montagne « Fatima » en l’honneur de la fille de Mahomet,
sans songer que ce lieu deviendrait célèbre dans le monde entier.
« Des années plus tard, lorsque les armées
musulmanes furent positionnées sur les îles de Sardaigne et de Corse pour
envahir l’Italie, il y eut un sérieux problème. Les généraux arabes islamiques
réalisèrent qu’ils étaient trop loin de leurs bases. Il était temps de mener
des négociations de paix. Un des négociateurs était François d’Assise.
« Il en résulta que les Musulmans furent
autorisés à occuper la Turquie dans le monde « chrétien » et les
Catholiques à occuper le Liban dans le monde arabe. Il fut également convenu
que les Musulmans pourraient construire des mosquées dans les pays catholiques
sans intervention aussi longtemps que le Catholicisme pouvait s’épanouir dans
les pays arabes.
« Le Cardinal Bea nous raconta dans ses cours au
Vatican, qu’aussi bien les Musulmans que les Catholiques romains se mirent
d’accord pour bloquer et anéantir les efforts de leur ennemi commun, les
missionnaires chrétiens croyant en la Bible. Grâce à ces concordats, Satan
empêcha les enfants d’Ismaël de connaître les Ecrits de Mahomet et la vérité.
« On maintint un léger contrôle sur les Musulmans
par les Ayatollah et les prêtres, les religieuses et les moines Islamiques. Le
Vatican orchestra également une campagne de haine entre les Arabes musulmans et
les Juifs. Auparavant, les deux coexistaient paisiblement.
« La communauté islamique considère le
missionnaire croyant en la Bible comme un diable apportant le poison aux enfants
d’Allah. Cela explique que des années de travail des missionnaires chrétiens n’aient
eu que peu de résultats dans ces pays.
« Le plan suivant consistait à contrôler l’Islam.
En 1910, le Portugal devenait socialiste. Des difficultés arrivèrent un peu
partout et l’Eglise Catholique faisait face à un sérieux problème de foi. Un
nombre croissant de personnes s’opposaient à l’église.
« Les Jésuites voulaient convertir la Russie au
catholicisme, et le lieu de l’apparition à Fatima (au Portugal) pouvait jouer
un rôle important pour rapprocher l’Islam de la Mère l’Eglise.
« En 1917, la Vierge apparut à Fatima. « La Mère de Dieu »
était un succès phénoménal, submergeant les foules. En conséquence, les
Socialistes portugais subirent une défaite historique.
« Les Catholiques romains du monde entier commencèrent à prier pour la
conversion de la Russie et les Jésuites inventèrent les Novenas (Neuvaines)
consacrées à Fatima qu’ils pouvaient représenter dans toute l’Afrique du Nord,
en signe de bonnes relations avec le monde arabo-musulman. Les Arabes pensaient
qu’ils rendaient ainsi hommage à la fille de Mahomet, ce qui est précisément ce
que les Jésuites voulaient leur faire croire.
« En conséquence de l’apparition de la vierge à Fatima, le pape Pie
XII ordonna à son armée nazie de détruire la Russie et la religion chrétienne orthodoxe
pour convertir la Russie à la religion catholique romaine ». Quelques
décennies plus tard, après qu’il ait perdu la Deuxième Guerre Mondiale, Pie XII
étonna le monde avec sa pseudo vision de la danse du soleil pour maintenir
Fatima dans l’actualité liturgique. C’était du grand spectacle religieux et le
monde goba cette histoire.
« Sans surprise, le pape Pie XII fut le seul à avoir cette vision. En
conséquence, ce groupe de fidèles était devenu une armée bleue mondiale,
totalisant des millions de Catholiques romains fidèles prêts à mourir pour la Vierge
bénie.
« Mais attendez nous n’avons
encore rien vu. Les Jésuites ont prévu de faire apparaître la Vierge Marie
quatre ou cinq fois en Chine, en Russie, et une apparition principale aux
Etats-Unis.
« Qu’est-ce que cela à voir avec
l‘Islam ? Remarquez la déclaration de l’évêque Sheen : « Les
apparitions de Notre Dame à Fatima marquèrent un tournant dans l’histoire des
350 millions de Musulmans du monde. Après la mort de sa fille, Mahomet écrivit
« qu’elle était la plus sainte de toutes les femmes du Paradis, avec
Marie. »
« Il pensait que la Vierge Marie
avait choisi de se faire connaître comme Notre Dame de Fatima comme un signe et
un vœu que les Musulmans qui croient en la naissance virginale du Christ, en
viendraient à croire en Sa divinité.
« L’évêque Sheen souligna que les
statues de la vierge des pèlerins de Notre Dame de Fatima étaient acceptées
avec enthousiasme par les Musulmans en Afrique, en Inde et ailleurs, et que de
nombreux Musulmans se rapprochaient de l’Eglise Catholique romaine. »
Article from: http://www.davidicke.com/content/view/744/48/. From “The Prophet”:
http://www.choosinglife.net/Islam.htm (website disabled)
Source:Red Ice Creations
Via: OmniThought~
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