Urgent Communiqué public et mise à jour du Tribunal International de Droit Coutumier Haute cour de justice
Sous la tutelle du Tribunal International de droit coutumier contre les Crimes de l’Eglise et de l’Etat (ITCCS)
Samedi, 29 mars 2014 , 8h00 GMT
Ci-joint :
- Le procès du Pape François, des Jésuites et des Anglicans débute le 7 avril avec une présentation à l’ouverture par le bureau du procureur- Le Tribunal met en place des moyens de sécurité plus stricts après que le Vatican ait envoyé une équipe de perturbateurs à Bruxelles pour une « opération spéciale ».
- Une Agence d’Information Publique est mise en place afin de dévoiler publiquement les preuves dont dispose le procureur durant le procès. Le premier rapport de l’agence est le suivant :
- Les restes des enfants et les enregistrements doivent être détruits : ordre de l’archevêque de Canterbury Justin Welby agissant sur ordre de la Reine Elisabeth. Les charniers d’enfants issus des trafics d’êtres humains, sont identifiés au Canada, en Hollande, aux Etats-Unis et sont reliés au Neuvième Cercle, un culte sacrificiel.
Le secrétariat du Tribunal a indiqué publiquement le communiqué suivant :
Jorge Bergoglio (pseudonyme, le Pape
François) Adolfo Pachon (Supérieur Général Jésuite) et Justin Welby
(Archevêque de Canterbury) se tiendront au procès In abstancia le
lundi 7 avrilaprès avoirrefusé de nier le chef d’accusation dans le
procès du Tribunal International de droit coutumier, haute cour de
Justice à Bruxelles.
Le Bureau du Procureur débutera
l’ouverture du procès contre les trois inculpés ce jour- là et
présentera les preuves qui les relient aux trafics d’enfants, à la
torture et aux assassinats d’enfants et à la dissimulation de ces
crimes.
Le Tribunal a retardé le procès d’une
semaine, par rapport à la date prévue préalablement au 31 mars, après
avoir reçu la confirmation qu’une équipe envoyée par le Vatican ait été
engagée afin de perturber et détruire le travail du Tribunal. Cette
équipe est constituée d’agents payés et dénommée « La Sainte Alliance »
l’agence d’espionnage des Jésuites chargée des assassinats pour réduire
au silence tous les opposants de la papauté.
En conséquence le Tribunal a mis en
place de nouvelles mesures de sécurité pour ses membres et tout
particulièrement son porte parole le Révérend Kevin Annett, son
secrétaire de Terrain à L’ITCCS. La cession d’audience initiale du
Tribunal s’effectuera à huis-clos et se tiendra dans un autre lieu tenu
secret. Cependant, les preuves concernant les poursuites judiciaires qui
seront présentées par le Tribunal seront rendu publiques durant le
procès par une Agence d’Information Publique nouvellement nommée à cet
effet, et qui est rattachée au Bureau du Procureur en Chef.
Le premier communiqué de l’agence est le suivant : www.itccs.org
ICLCJ Communiqué du 29 mars 2014
Bruxelles
Bruxelles
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Agence d’information Publique du
Bureau du Procureur en Chef - Tribunal de Droit Coutumier Haute cour de
Justice Bulletin N° 1 : Samedi 29 mars 2014
Le Bureau du Chef du Procureur (OCP) a
constitué les preuves contre les premiers inculpés BERGOGLIO, PACHON, et
WELBY et a documenté le dossier préliminaire avec le Tribunal. Nos
débats débuteront au Tribunal lundi 7 avril 2014 à 10h.
L’OCP a trouvé un nombre considérable de
preuves qui relient formellement les inculpés avec les opérations
protégeant les réseaux de trafics d’enfants au niveau mondial, incluant
de façon routinière l’enlèvement systématique, le viol, la torture, et
l’assassinat rituel par des sacrifices de nouveaux- nés et de jeunes
enfants jusqu’à l’âge de 14 ans. L’Anneau dans le document est connu
comme le NEUVIEME CERCLE impliquant directement les inculpés et les
précédents papes JEAN PAUL II et BENOIT XVI, qui est la manifestation de
ce réseau. LE CERCLE opère selon le statut du droit Canon et désigné
comme « LE PRIVILEGE DU MAGISTRAT » qui est enregistré et scellé au sein
des archives de la bibliothèque du Vatican. Une copie des statuts
obtenue est incluse dans les preuves détenues par L’OCP. LE NEUVIEME
CERCLE est une forme mondiale et ancienne de plusieurs siècles, agissant
dans les cathédrales Romaines Catholiques à Montréal, New York, Rome,
Londres et des douzaines d’autres lieux de culte, et également dans des
domaines forestiers protégés en Amérique, au Canada, en France et en
Hollande. Cela inclut l’utilisation de façon régulière des enfants issus
d’orphelinats catholiques, d’agences d’adoptions, des hôpitaux, et des
écoles.
L’OCP a documenté une opération de ce
genre dans l’ancienne Eglise d’Angleterre - Jésuite, L’ ECOLE PENSIONNAT
INDIENNE DE MOHAWK à Brantford, Ontario au Canada. Le viol régulier, la
torture, et l’assassinat rituel d’enfants aborigènes sont associés à la
confédération de Mohawk depuis l’ouverture des locaux en 1832 et cela
continue à ce jour, dans les caves voutées des sous-sols. Ces faits ont
été constitués par les preuves médico-légales d’un charnier, proche de
l’école, des témoins oculaires, des preuves parapsychologiques et la
documentation des archives secrètes de l’Eglise Anglicane à Londres,
Ontario. (Les soi-disant « G12 » la collecte du Diocèse Anglican de
Huron sous l’évêque Bob Bennett).
L’ancien chercheur de l’église anglicane
LEONA MOSES a aussi confirmé ces faits personnellement à Kevin Annett
et l’ainé des Mohawk Cheryl Squire dans un entretien privé en octobre
2011. (Voir les preuves dans le dossier 0022513-001, génocide au Canada
sur www .itccs.org et les liens YouTube ci-joints)
Le premier inculpé WELBY, agissant en
tant qu’archevêque de Canterbury sous la direction criminelle reconnue
coupable ELISABETH WINDSOR (pseudonyme « Reine d’Angleterre ») a ordonné
la destruction de ses archives ainsi que de tous les restes
médico-légaux des enfants assassinés, en janvier 2012 dans un entretien
privé avec le primat Fred Hiltz à Toronto. L’ordre de WELBY a pris effet
immédiatement d’une part, par l’implication directe d’ELISABETH WINDSOR
directement concernée par l’enlèvement et la mort d’enfants aborigènes
au Canada, et de la participation régulière de la famille royale membre
du NEUVIEME CERCLE aux rituels dans l’école de MOHAWK à Brantford.
Ces rituels sont attestés par des
témoins oculaires par le compte rendu d’un ancien résident de l’école
Mohawk et également par un enquêteur de la police accrédité, spécialisé
en parapsychologie, dans une déclaration écrite sous serment, laquelle
est un élément matériel inclus dans le dossier de l’OCP. Ces deux
sources confirment avoir vu neuf personnes habillées en robes de
cérémonie rouge assemblées à l’autel dans les soubassements des
catacombes de l’aile ouest de l’école aborigène Mohawk. Une fillette
âgée de 5 ou 6 ans était attachée et bâillonnée sur l’autel, et violée à
plusieurs reprises par tous les participants, pour être tuée, éventrée,
et ensuite démembrée avec un couteau de cérémonie et son sang consommé
par les neufs. Les restes du corps sont alors brulés et enterrés en
secret dans les bois à proximité immédiate du bâtiment de l’aile ouest
de l’école.
En octobre 2011, des fouilles ont été
entreprises par les anciens de Mohawk sur le terrain dans le même site
voisin de l’école, on y a découvert les boutons des uniformes scolaires
de filles, des vêtements brulés, et des ossements qui ont été
sectionnés. Par la suite, deux de ces ossements et les fragments ont été
identifiés positivement, comme appartenant à une fillette par
l’examinateur Greg Olson et l’archéologue Kris Nahrgang de l’Ontario et
également par l’anatomopathologiste médico-légal Donald Ortner de
l’Institut Smithsonien de Washington D.C. (Ortner est décédé de causes
non divulguées juste après).
Les premiers inculpés, WELBY, BERGOGLIO,
et PACHON ont tous conspiré pour mettre en œuvre une campagne visant à
dissimuler ou détruire ces preuves d’entrave à la justice, et pour
discréditer publiquement le travail de l’ITCCS et Kevin Annett après que
ces preuves soient rendues publiques en octobre 2011. Ces campagnes de
désinformations continuent à ce jour, principalement par des moyens
gouvernementaux contrôlés par les média, ce qui inclut la dénommée
chaîne de télévision « du peuple aborigène » (APTN) et directement en
réduisant au silence des anciens Mohawk et les témoins oculaires de
Brantford.
L’implication des Jésuites dans les
rites du NEUVIEME CERCLE dans l’école de Mohawk est confirmée par une
correspondance du principal de l’établissement et remonte jusqu’en 1922.
Des Rituels de sacrifices Jésuite similaires impliquant de jeunes
enfants et des nouveaux-nés dans des écoles indiennes Catholiques du
Dakota du sud, et Omak – Washington sont attestés par des témoins
oculaires dont Clarita Vargas dans une déclaration consignée dans notre
dossier. D’autres preuves de ce dossier seront rendues publiques dans
les prochains Bulletins d’information de l’agence.
Communiqué de l’agence d’information publique du Bureau du Procureur en Chef, le Samedi 29 mars 2014 – Bruxelles Belgique
Service français de traduction. https://www.youtube.com/watch?v=wGITRe1sJtQ
Endorsement of Mohawk school excavation by tribal elders, bones from dig
https://www.youtube.com/watch?v=G04DuSJhBhw
Buttons from dig and eyewitness :
https://www.youtube.com/watch?v=xw5DwVlaspY
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