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Wednesday, March 26, 2014

Français: Lettre ouverte à Barrack Obama par Kevin Annett

Une lettre ouverte à Barack Obama : 
si vous aimez l’Amérique et ses enfants, n’allez pas à Rome

Par le révérend Kevin Annett, M.A., M. Div. – Nominé au Prix Nobel de la Paix en 2013 et 2014

Le 24 mars 2014

Cher Monsieur le Président,

Comme vous, je suis le père de deux filles, et donc personne n’a besoin de me convaincre que vous aimez sans réserve Malia et Sasha, et que vous donneriez votre vie pour les protéger de toute personne ou de tout pouvoir qui pourrait leur vouloir du mal. Cet amour pour nos enfants est ancré en nous parce que le caractère Sacré de chaque enfant est une condition Divine qui est supérieure à toute loi terrestre, à toute autorité, comme Jésus lui-même nous l’a rappelé.

Et donc en tant que parent, je suis profondément troublé par votre décision de vous rendre au Vatican le 27 mars et dialoguer avec une institution qui est impliquée non seulement dans la torture systématique et le trafic d’enfants, mais aussi dans l’assistance et la dissimulation de ce crime en violation de la souveraineté et des lois des Etats-Unis d’Amérique.

Etant donné que vous avez publiquement prêté serment devant Dieu de protéger le peuple américain et sa Constitution de tous les ennemis étrangers, et de ne pas protéger ces ennemis ; ce qui échappe à ma compréhension, c’est que vos négociations avec le Pape François ne peuvent rien faire d’autre que rendre légitime en aidant et encourageant un pouvoir qui est défini selon certaines caractéristiques comme une organisation terroriste selon les lois de la sécurité intérieure des Etats-Unis.

S’il vous plaît comprenez que ce n’est pas une question de religion, mais de justice. Aucune organisation ou représentant qui fait du trafic d’enfants, ou qui protège ceux qui le font, n’est à l’abri de poursuites. Et beaucoup de catholiques sont épouvantés par la loi canonique toujours en vigueur connue sous le nom de Crimen Sollicitatonas, qui exige du clergé catholique qu’il aide les violeurs d’enfants de leur église en dissimulant leurs crimes, en réduisant les petites victimes au silence, et en faisant entrave au cours de la justice par le silence face à la police. Malgré toutes ses intentions réformatrices affichées, l’actuel Pape Jorge Bergoglio n’a pas seulement refusé d’abroger cette loi scélérate, mais l’a en fait renforcée : un crime avéré selon la loi internationale et une indication certaine d’un complot criminel de grande ampleur.

Comme j’ai toute confiance dans l’efficacité de la CIA, Monsieur le Président, je suis sûr qu’elle vous a mis au courant des preuves grandissantes qui relient le Pape François à la disparition et au trafic d’enfants de prisonniers politiques en Argentine au cours des « Sales Guerres » dans ce pays. Le Pape a en fait été appelé à comparaître devant le Tribunal de Droit coutumier de Bruxelles pour répondre de ces chefs d’accusation, juste quelques jours après la date de votre rencontre.

Je ne prétendrais pas arbitrer ni juger de l’énorme charge qui vous incombe dans cette fonction, ni des pressions et influences auxquelles vous êtes soumis, ni avec lesquelles vous êtes aux prises. Un de vos compatriotes de l’Illinois, Abraham Lincoln, remarquait que ce n’est que par la prière et les conseils du ciel que son enveloppe mortelle a été capable de supporter le poids écrasant que représentait la mort de tant d’Américains pendant la Guerre de Sécession. Mais Monsieur le Président, beaucoup de jeunes Américains meurent toujours, sauf qu’ils n’ont pas d’armes pour se défendre contre les terroristes parrainés par les ecclésiastiques qui les violent et ruinent leurs vies durant, et les réduisent à un esclavage intérieur qui n’est pas moins odieux que les chaînes relativement légales et institutionnelles qui emprisonnaient votre propre peuple.
Abraham Lincoln a jadis été interrogé par un groupe de prêtres Baptistes sur sa croyance en Dieu. Il leur a répondu : « Pour moi, messieurs et gentlemen, ma religion est de me sentir bien quand je fais le bien ; et de me sentir mal quand je fais le mal. »

Monsieur le Président, je vous demande de penser à vos enfants, et à tous les enfants, et de vous demander si vous vous sentez bien avec ce que le Vatican a fait et continue à faire avec sa politique consistant à faciliter les viols d’envergure sur des enfants en Amérique et dans le monde entier ; par le rôle direct qu’il a joué dans la mort d’un nombre inconnu d’enfants dans les orphelinats Catholiques, des écoles, et des ateliers de confection ; et par son mépris affiché des lois criminelles de protection de l’enfance que vous avez juré de faire respecter et de défendre comme vous le feriez pour vos propres enfants.

En 1846, Henry Thoreau, qui a contribué à sauver l’âme de l’Amérique, a écrit ces mots immortels depuis la prison du Massachussetts où il était incarcéré pour avoir refusé de financer une guerre injuste : « La connaissance de ce qui est juste ne peut plus être séparée de l’action qui en résulte qu’un homme vivant ne peut retenir sa propre respiration. »

Monsieur le Président, vous savez ce qui est juste et ce qui est mauvais ; aucune église ni aucun pape ne peut vous l’enseigner. Et il est mauvais pour l’Amérique de financer une organisation criminelle comme le Vatican, et parallèlement, être dans l’illégalité par rapport à la Loi Internationale notamment par les Ordonnances de Nuremberg qui rendent tous les dirigeants responsables de leurs actes selon la loi.

En tant que Président, Monsieur, vous n’avez pas le pouvoir de contraindre vos compatriotes américains à aider ni encourager des régimes criminels qui mutilent et détruisent des enfants innocents. Pourtant par le biais d’un ‘concordat financier’ entre l’Amérique et le Vatican, cela permet l’utilisation de l’argent des contribuables justement à cet effet. Et vos actions notamment de rendre une visite cordiale au dirigeant exécutif de ce régime ouvertement criminel dans la Cité du Vatican vont se réduire à ce que vous savez être simplement une imposture et un mensonge, et enverront au monde un message que le viol et le trafic d’enfants institutionnalisés sont acceptables aux yeux de l’Amérique.

Nous sommes en temps de guerre, une fois de plus. Des bruits de bottes menaçantes se font entendre en Ukraine, et peut-être est-il politiquement opportun pour vous de rencontrer le Pape François maintenant et d’avoir un autre allié dans cette dernière des guerres froides avec la Russie. Mais cela ne profite à personne de rallier le monde entier en se prostituant avec son âme éternelle, Monsieur le Président, le feriez-vous pour une alliance politique de circonstance ?

Barack, la vie innombrable d’enfants à naître est entre vos mains en ce moment même. Ne négociez pas avec ceux qui vont les détruire. N’allez pas à Rome. Envoyez un message qui va retentir comme une Deuxième Proclamation d’Indépendance aux oreilles de tous les enfants terrorisés et de leurs familles, et qui proclamera au Vatican que l’époque du meurtre d’innocents parrainé par l’église est définitivement révolue.

En conclusion, Monsieur le Président, permettez-moi de vous offrir mes prières, à vous, à votre épouse et vos filles, ainsi que ce souvenir d’une décision moins cruciale mais tout aussi ardue que j’ai dû prendre à propos de qui et pour quoi j’allais servir en tant qu’homme de moralité. Peut-être cela vous aidera-t-il ?

En 1994, en tant que prêtre en fonction dans l’Eglise Unifiée du Canada, on m’a demandé de participer à la dissimulation de la torture, du viol et du massacre de milliers d’enfants indigènes dans les « écoles » dirigées par mon employeur, aussi bien que par les Catholiques et les Anglicans. J’ai refusé, et par conséquent j’ai perdu ma famille, mon travail et mes moyens de subsistance. Mais grâce à mon action et sa terrible douleur personnelle, nous avons tous remporté une victoire morale qui a sauvé les vies de beaucoup d’enfants depuis, car la vérité sur ce génocide canadien a permis à une nouvelle génération de se remettre d’un autre crime contre l’humanité parrainé par le Vatican.

Faire ce qui est juste concernant le Vatican peut vous en coûter beaucoup, Monsieur le Président, mais cela garantirait la vie, la liberté et le bonheur de milliers d’innocents qui chanteraient pour toujours vos louanges et celles de l’Amérique qui s’est engagée du bon côté de l’humanité. Qui chercherait une la meilleure occasion de remporter une telle victoire du droit, simplement en faisant ce qu’il sait être juste ?

Ayez foi en Dieu, Monsieur le Président, et ne croyez pas en vos collègues dirigeants ou à leurs mensonges. Que les bénédictions du Christ soient sur nous tous à présent, et sur nos enfants, qui vous regardent.

Kevin Annett

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See the evidence of Genocide in Canada and other crimes at www.hiddennolonger.com and at the website of The International Tribunal into Crimes of Church and State at www.itccs.org, and at www.iclcj.com, the site for the Common Law court network.

An International, multi-lingual ITCCS site can be found at:
The complete Common Law Court proceedings of Genocide in Canada are found at:


Service de traduction Français : Patrick rev. Isabelle

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