Keshe en direct sur les menaces de mort et la
science –
Project Camelot, le 16 mars 2014
FULL INTERVIEW
Project Camelot, le 16 mars 2014
FULL INTERVIEW
Keshe En direct Concernant les menaces de mort et la science
Project Camelot, le 16 mars 2014
Transcrit par: Jasmine Martin
Rising Life Media Services
Le 17 mars 2014
Rising Life Media Services
Le 17 mars 2014
This transcript was done in parallel by our translators
Debra Bachus, Steve Engratt and Behi.
Both were delivered on the same day and we thank
Kerry Cassidy for all her excellent collaboration.
Citations
« La maturité de l’homme viendra quand l’homme comprendra comment
changer la matière. »
« Le tout consiste à en extirper la cupidité. L’or n’a aucune valeur
en dehors des frontières de cette planète. J’ai coutume de dire : combien
de millions de dollars pouvez-vous vendre à un aliène dans l’espace ? »
« Servir l’humanité et être un serviteur de l’humanité sera la
fierté et la joie de l’homme. »
Kerry
Cassidy: C’est Kerry Cassidy de Project Camelot et
nous enregistrons cette conversation.
J’encourage tous les auditeurs à en faire de même.
Nous parlons à M.T.
Keshe. Il est iranien, ingénieur physicien spécialiste atomique de métier, et
il a travaillé en Belgique et maintenant en Italie sur l’énergie libre et nous
allons parler de tout cela. Sa vie est en danger, donc ceci est une émission très
importante. Je veux que les gens sachent que ses documents sont disponibles et
il y a un lien sur l’écran. Je l’ai envoyé sur FB. Mon webmaster vient de télécharger ces
documents sur notre site il y a une heure, et le site a été fermé mais ce lien,
qui est dans le cloud (sur un site de stockage externe), s’intitule
« Project Camelot » sur le portail des données externalisées, public,
et c’est là que vous pouvez télécharger cette information. Cette information
concerne l’énergie libre.
A l’évidence, ils ne
veulent pas que cette information soit dans le domaine public. Sa vie a été
menacée. J’ai reçu un courriel de Ralph Ring (et beaucoup de gens connaissent
l’interview de Ralph Ring sur Project Camelot). Cela concerne son auditoire,
Ralph Ring étant un activiste de la première heure de l’énergie libre. Il
valide le travail de Keshe et envoie ce courriel pour le soutenir. Pour autant
que je puisse en juger, ce courriel est assez complexe.
Keshe, je veux que
vous voyiez ce courriel. Pouvez-vous le recevoir là où vous êtes ?
Mehran Tavakoli Keshe: Vous pouvez l’envoyer sur mon adresse privée. Ne le mettez pas en ligne. Mon site à la Fondation Keshe a été piraté il y a plus de trois mois. Ils ont téléchargé environ 30 000 courriels. Ils vont détruire les courriels sur notre site internet. Nous nous sommes demandés ce qu’ils vont en faire. Ils les lisent et vont essayer d’organiser ce que nous appelons un tribunal irrégulier, et en même temps mon enlèvement, la prise en otage de ma femme et aussi quelques choses qu’ils ont prévu pour mon enfant.
Nous surveillons tout
ce système. Les chercheurs de la Fondation Keshe seront tenus dans l’ignorance.
Apparemment je suis censé disparaître pour un bon bout de temps. Ma femme sera
torturée en ma présence et mon enfant … et je dois assister à tout cela. Nous
suivons cela de près, et nos responsables de la sécurité sont au courant. Ils
négocient ma vie avec deux ou trois gouvernements. Nous suivons cela de très
près. Il y a des gens au sein de l’organisation qui ne sont pas d’accord avec
le fait que nous vous ayons envoyé directement cette information.
Donc, nous sommes
pleinement conscients du danger, et si à un moment donné je n’apparais pas en
l’espace de 24 heures ou que personne n’entend parler de moi, alors il sera du
ressort des chercheurs de continuer à annoncer quand ils m’auront vu la
dernière fois et s’ils savent où je me trouve. Si je disparais et que vous
n’entendez plus parler de moi pendant 24 heures, cela signifie que mon épouse a
disparu et que mon enfant sera également tué. C’est ce qui est prévu et financé
par le roi des Belges en personne. Nous disposons de toute l’information. Nous
ne plaisantons pas. L’ex-roi des Belges a financé tout le projet.
KC: J’ai reçu un courriel de
Ralph Ring. Je vais le mettre en ligne ici. Il demande à qu’on le diffuse aussi
largement que possible. Je vais le copier ici si je peux. Alors allez sur mon
site web et paginez vers le bas.
MK: Pouvez-vous lire ce que dit le texte ?
KC: Oui. C’est assez engagé. Cela parle essentiellement de la clé USB qui a été diffusée dans le public et qui est disponible au téléchargement. Il met votre lien pour le téléchargement.
MK: Si vous retournez au Forum de la Fondation Keshe, la Fondation Keshe de Taïwan a renouvelé le lien. Apparemment il y avait un problème avec l’ancien lien, un mélange de différents formats zip. Ils l’ont corrigé, donc ce que nous avons dit que nous sur le forum (…) parce qu’ils les avaient déjà transmis à d’autres personnes. Rien ne provient de la Fondation Keshe. Tout provient de travaux de la Fondation Keshe de par le monde. Cela n’a rien à voir avec notre serveur. Nous nous contentons de les recevoir et de les diffuser. Nous ne savons pas combien de gens les écoutent ou les lisent. Ces derniers serveurs ne peuvent pas supporter la charge, m’a-t-on dit. Il y a trop de téléchargements. Cette clé USB est la révélation totale de toute la connaissance scientifique dont l’homme a besoin pour vivre dans l’espace. Elle a été transmise aux gouvernements il y a deux ans, et nous savions que tôt ou tard l’un des gouvernements la diffuserait. Si nous avions diffusé la technologie, il y aurait eu un danger que différentes organisations combattent cette technologie. Maintenant la technologie de la clé USB et tous les brevets et duplicatas ont été diffusés par le gouvernement taïwanais à des scientifiques taïwanais dans un format zip sur CD. La situation est littéralement le peuple au sein du peuple. Cela n’a rien à voir avec la Fondation.
Cependant, nous avons
montré une partie de ce processus à Fukushima. Nous montrons la production de
ce mécanisme cette semaine dans un séminaire. Le problème est que la
technologie se trouve maintenant aux mains des gens, partagée par les gens.
Vous n’avez pas besoin de mon site web ou de notre forum pour diffuser la
connaissance.
Mon conseil aux gens
est très simple. N’agissez pas à l’encontre de vos gouvernements. La
technologie est là pour amener vos gouvernements à un nouveau niveau. Nous ne
sommes pas là pour mettre en danger la crédibilité ou la vie de quiconque, au
point que j’ai adressé aujourd’hui – et j’en ai discuté avec d’ autres gens,
nos autres scientifiques au cours des sept derniers jours – une requête aux
fabricants de l’avion de ligne de Boeing (qui est censé avoir disparu en Malaysie
ou ailleurs) - A la Fondation Keshe, nous avons la connaissance ; si
Boeing, si quelqu’un chez Boeing a un contact avec les constructeurs des avions
de Boeing qui ont des spécimens de pièces originales de l’époque où cet
appareil a été fabriqué – que ce soit une partie de l’aile ou même un boulon ou
un rivet, mais il doit provenir de la production d’une pièce qui a été utilisée
dans l’appareil qui a disparu, envoyez-nous l’échantillon. A l’aide de la
technologie du plasma que nous avons développée, si nous pouvons déterminer
l’empreinte digitale de la structure, nous sommes capables de repérer
exactement l’endroit où l’avion a atterri ou bien l’endroit où il se
trouve : dans l’océan, sur terre, où qu’il soit. S’il est sur une autre
planète, nous pourrons malgré tout établir une connexion avec lui. C’est dire à
quel point cette technologie est évoluée.
C’est pourquoi
beaucoup de gens n’aiment pas ce que nous diffusons, mais en fait, un des
avantages qu’il y a maintenant, c’ est la possibilité que nous avons montré
avec Fukushima, nous pouvons extraire le césium et d’autres matières
radioactives. Nous avons un nombre de réacteurs actifs ici qui peuvent copier
l’empreinte digitale magnétique gravitationnelle du matériel qui se trouve dans
cet appareil. Si nous pouvons copier ce champ magnétique gravitationnel comme
deux aimants, notre système va le comparer et le relier à l’autre système. Donc
nous pouvons trouver où il est. Cet appareil a-t-il atterri ? Est-il
perdu ? Se cache-t-il quelque part ? Est-il au fond de l’océan ?
C’est une des percées majeures dans le domaine de la science.
J’ai développé cette
technologie pour le cas où à l’avenir un vaisseau spatial disparaîtrait par
erreur dans cette galaxie ou une autre, quelque part dans l’univers où on
pourrait le retrouver. Donc pour la première fois nous offrons cette
technologie à Boeing, ou au gouvernement chinois, ou au gouvernement de
n’importe quel pays où les passagers pourraient se trouver. Nous avons besoin
d’une copie d’une pièce substantielle afin que nous puissions en faire une
empreinte digitale magnétique gravitationnelle. En espérant que si l’avion
n’est pas retrouvé, nous puissions le localiser de cette manière. Au moins
maintenant nous avons la possibilité de faire des aimants dans n’importe quel
matériau. Aussi, si vous ou quelqu’un d’autre connaît quelqu’un chez Boeing,
nous chez Keshe avons un contact chez Boeing. Si nous pouvons le joindre lundi,
nous le ferons. Nous devrions pouvoir avec le temps – si nos systèmes
fonctionnent correctement ou si nous pouvons avoir l’appui de gouvernements
pour le faire fonctionner – localiser cet appareil au millimètre près.
Ce n’est qu’un
exemple de ce que cette technologie peut offrir en ce moment. Je dispose de
systèmes ici en Italie et nous les offrons aux habitants du monde à l’avenir.
Même les enfants qui ont maintenant disparu, avec leurs vêtements nous pouvons
établir comme des empreintes digitales, les empreintes de différents endroits,
et nous pouvons les localiser plus précisément qu’avec une localisation par
radio parce que c’est comme avec une mère et son enfant. Lorsque l’enfant naît,
peu importe où se trouve la mère ou combien de temps vit la mère, l’enfant
possède un lien magnétique gravitationnel avec sa mère. La même chose
s’applique à cet appareil. Nous aimerions être impliqués dans cette recherche.
Je suis sûr que nos chercheurs seront très intéressés par la réalisation de la
comparaison/copie de cet appareil. Peut-être même y-a-t-il un carburant qui
provient du même réservoir avec lequel l’appareil a été ravitaillé que nous
pouvons analyser. Nous avons besoin d’une partie/pièce du système.
Donc voilà quelque
chose que je voulais expliquer, et la technologie est disponible. Elle n’a pas
été conçue pour cet accident. Elle a été développée par moi il y a des années.
Elle ne fait même pas partie des brevets que j’ai rendus publics cette semaine.
Donc il s’agit de ce qu’on appelle un système de communication de temps zéro. Vous
pouvez l’utiliser pour vous connecter au champ magnétique gravitationnel de
votre appareil. A l’avenir, lorsque vous commencerez à construire des appareils,
vous conserverez une pièce dans ce but, si bien que si jamais l’un d’entre eux
disparaissait dans l’immensité de l’univers ou d’une galaxie, vous pourrez
toujours le retrouver et le ramener.
Donc pour la première
fois nous avons offert notre nanotechnologie à Fukushima. D’une manière simple,
cette technologie est à la disposition de ces 230 parents, enfants, pères qui
attendent le moment où l’appareil sera retrouvé afin qu’ils puissent en finir
avec ce qui leur arrive.
La connaissance se
trouve au sein de la Fondation Keshe. Elle appartient à l’humanité et nous
sommes prêts à la diffuser immédiatement ou à la partager ou demander aux
ingénieurs de Boeing de venir vers nous ou nous d’aller vers eux pour analyser
comment nous pourrions développer cette technologie directement en l’espace de
quelques jours afin qu’ils puissent localiser l’appareil.
KC : Nous avons compris que vous êtes menacé à présent, et je pense que pour les gens qui n’ont pas écouté votre autre émission, vous pourriez décrire dans quelle situation vous vous trouvez actuellement et quelle est l’origine de ces menaces ? Vous pourriez commencer par votre séjour en Belgique où si j’ai bien compris cela a commencé.
MK : La situation actuelle
résulte de l’accumulation de tout un tas de choses. Cela remonte aux années 80
lorsque j’ai quitté l’industrie nucléaire pour me lancer dans une recherche
indépendante, en m’autofinançant, et revenant dans le domaine des matériaux
nucléaires britanniques pour faire des essais sur les premiers systèmes
gravitationnels. Et c’est aux environs d’avril 2004 que nos problèmes ont
commencé lorsque j’ai demandé aux Britanniques si je pouvais acquérir du
matériel nucléaire pour tester le premier système gravitationnel. Et c’est
ainsi que nous avons abouti à un salon de l’aéronautique en Belgique …
nous sommes juste tombés entre les mains du mauvais interlocuteur. Et,
apparemment un tas de scientifiques qui arrivent en Belgique finissent aux
mains de ces mauvaises personnes.
Il faut que
j’explique quelque chose avant que je ne l’oublie. Nous avons trouvé et sommes
en possession d’un dossier qui concerne le meurtre d’une scientifique par le
même système qui en a après moi. J’y reviendrai un peu plus tard.
Lorsque j’ai atterri en Belgique (…) il y a deux semaines environ, en regard de notre technologie, elle a été évaluée et sa validité prouvée depuis 2004/2005, mais nous étions toujours menacés et sous pression sur tous les fronts et (il y avait beaucoup) d’information erronée jusqu’à ce nous quittions la Belgique. Et apparemment tout ce bazar nous a poursuivi maintenant jusqu’en Italie.
Il y a eu trois
tentatives d’attenter à ma vie par la police belge et le bazar autour de
l’assassinat d’une scientifique. Chacune fait l’objet de preuves
matérielles : paiement de dégâts et dommages d’une voiture qu’on a forcé à
quitter la route. Une deuxième fois, deux personnes ont été arrêtées par la
police belge lorsqu’elles ont essayé de nous renverser en fonçant sur nous à
toute vitesse. La dernière fois, ils sont venus à notre domicile, nous avons eu
le temps de faire trois valises et de fuir en voiture, mon épouse et mon enfant
étant parti en Italie pour échapper à un assassinat. (…)
Ce groupe au sein de
la police fédérale belge (…) qui émet des documents au nom de la police belge.
Les procureurs sont bien organisés. Ils disposent de soutiens dans tous les
domaines. Ainsi les policiers montent leurs dossiers et les procureurs
instruisent les affaires, pour assassiner les scientifiques ou les contraindre
à abandonner leurs recherches …
Toutes ces affaires
portent l’empreinte d’un même homme, et cet homme maintenant, comme vous le
savez, est venu en Italie. Malheureusement, l’ancienne reine des Belges est
italienne, donc nous sommes poursuivis jusqu’ici par la même lignée familiale.
Il est intéressant de noter que les organismes de sécurité nationale et les
gens proches de toutes ces organisations nous fournissent des renseignements.
Nous ne recherchons pas de renseignements, d’informations.
De différentes
manières, ils nous avertissent de ce qu’ils préparent. Il y a des gens bien à
l’intérieur de cette organisation, mais ils ont besoin de vivre et de nourrir
leurs enfants et de s’occuper de leurs maisons. On nous a proposé une
protection militaire et la protection de deux ou trois gouvernements. J’ai
dit : « Nous ne sommes pas des espions. Nous ne sommes pas comme ce
gars qui est allé en Russie et qui a diffusé un tas d’informations qu’il a volé
au gouvernement américain, ce qui est mal. Nous sommes des scientifiques. Nous
avons développé une technologie qui nous appartient et la diffusion de cette
technologie et de ces connaissances ne devraient pas être la cause de notre
mort. »
Mais peu importe,
voilà la situation, et maintenant je peux dire que mon arrestation est sûre à
100% parce que quand ils viennent chez vous peu importe sous quel prétexte, la
mort de mon épouse et de mon enfant est imminente parce qu’elle a été décidée
par l’ex-roi des Belges en personne. Nous n’avons aucun doute quant à ce qui se
passe. Selon ce que nous comprenons de ce que nous dit la police, mon enfant
sera exécuté devant moi. C’est ce que le roi a ordonné, l’ex-roi des Belges.
J’espère me tromper. Mais l’information émane des officiers de sécurité.
Ce qui me trouble est
que nous l’avons annoncé en face du roi des Belges, de M. Hans Bracquené et de
M. Delanoy de la police fédérale belge, et que personne n’a réagi. Bizarrement,
aucun gouvernement n’a rien entrepris à ce sujet. Certains de ces gouvernements
sont au courant, et il semble normal d’attenter à ma vie, celle de mon épouse
et de mon enfant pour complaire à un roi ou une organisation. Nous n’avons pas
peur. J’ai parlé à mon épouse ; nous attendons juste le dénouement. S’ils
viennent et puis m’enlèvent ou me réduisent au silence … et on m’a dit
qu’on m’avait condamné à 20 ans de réclusion sans voir personne. Cela a été
ordonné et financé par le roi des Belges, l’ex-roi. Et les dossiers concernant
le roi ont été constitués. Nous avons constitué les dossiers pour trois procès
en justice, chaque dossier avec le (…) initié. Nous connaissons la date de mon
enlèvement par les Italiens en Italie et savons qu’ils vont présenter des
documents à mon épouse. Et si elle ne coopère pas, nous serons les témoins de
toutes sortes de sévices infligés à notre enfant.
Nous n’avons jamais
rien dit que nous ne pouvions prouver. Au cours des dix dernières années, nous
avons diffusé (des connaissances) étape par étape. C’est ce que nous avons
appris de la part de la sécurité nationale et de la police belge. S’ils pensent
que nous avons tort, nous allons vous dire des choses. Toutes les
communications sont faites en français, donc nous savons que nous sommes dans
notre droit. Ce sont des membres de la famille qui en ont assez de ces choses.
Maintenant j’aimerai revenir sur le sujet de l’assassinat de la scientifique. Elle a été tuée l’année dernière de la même manière que lors de la première tentative d’attenter à ma vie. Elle a été poussée hors de la route à grande vitesse de la manière forte, et quand elle est sortie de la voiture, on lui a tiré une balle dans la tête. Elle se préparait à breveter une nouvelle technologie deux jours plus tard. Et tout cela est passé par le même bureau de M. Hans Bracquené.
Alors nous demandons,
si vous connaissez un juriste international, s’il vous plaît aidez-nous à
déposer plainte devant n’importe quel tribunal au monde contre M. Hans
Bracquené, M. Delanoy, commissaire de l’arrondissement de Kortrijk (Courtrai)
et contre l’ex-roi des Belges. S’ils sont innocents, ils comparaîtront, mais
ils ne sont pas innocents. Parce que maintenant nous avons un cadavre. Nous
avons une jeune femme qui a été assassinée. Quelqu’un qui a été brutalement
assassiné en Belgique apparaît dans les informations. Et personne n’était au
courant.
Maintenant les
parents, familles et les amis nous demandent de cesser de leur parler. Nous
sont parvenues des informations selon lesquelles ils auraien été terrorisés.
Ils ne peuvent pas parler. Il y a des scientifiques en Belgique qui sont
terrorisés, qui ont peur pour leur vie et celle de leur famille et de leurs
enfants s’ils parlent. C’est plutôt une affaire pour un tribunal international,
quelque part à l’extérieur de la Belgique. Je ne pouvais pas aller à la police
et me plaindre d’eux à la police sur ce qui nous arrive car les agents de la
police fédérale sont corrompus. Ils nous ont raconté comment M. Delanoy
travaillait dans la police fédérale. C’est la police criminelle qui est bien
implantée dans les milieux aisés. Ils avaient l’habitude de (…) monter
l’affaire comme s’il s’agissait d’un braquage de banque dans les années 1990,
si vous feuilletez l’histoire de la police belge. A présent ils sont devenus
une organisation criminelle au sein de la police, et les bons officiers de la
police fédérale belge ne sont pas d’accord avec cela. Ce sont eux qui nous
donnent des informations. Donc nous ne sortons plus. Et, fait intéressant, M.
Delanoy utilisait malheureusement les services de ces gens, et ils nous ont
expliqué qui ils étaient.
Maintenant, revenons
à une chose qui est importante. Je n’ai aucun problème avec ce qui est dit sur
nous par le roi des Belges. Je peux être enlevé et mon épouse peut faire
l’objet de pressions ainsi que mon enfant, ce sont des choses qu’un
scientifique de mon niveau peut accepter. En tentant de nous discréditer, et
par chance et parce que nous savions ce qui allait se passer, le groupe
taïwanais a rendu public les documents. Alors maintenant ils voulaient faire
des allégations selon lesquelles je pratique la médecine sans avoir de diplôme.
Je ne pratique pas la médecine. Nous produisons des systèmes d’appareils médicaux
et j’ai l’autorisation de le faire en Belgique, j’ai obtenu le droit de les
faire produire par une organisation légale qui a l’aval du gouvernement. J’ai
deux documents qui disent que je dois former tout le monde. J’enseigne la
médecine à partir de la pratique sans diplôme médical ou formation médicale.
Donc si j’ai tort d’écouter, vous tous qui pouvez fabriquer ce système
d’appareil médical chez vous, je devrai aller en prison parce que maintenant
vous pouvez tous prendre soin de votre propre santé. Nous pouvons arrêter le
cancer si vous savez comment faire. J’ai facturé des honoraires pour tous les
systèmes d’appareils médicaux, et les honoraires ne me sont pas versés à moi. Ils
sont versés à ma fondation, pour lui permettre de fonctionner et de vivre.
Ils ont cherché un
moyen de m’accuser de … comme lorsqu’ils ont passé au crible tous mes comptes à
la fondation. Ce que j’ai fait il y a des années pour mettre fin à toute
accusation, j’ai clôturé tous les comptes privés. J’ai clôturé chaque compte
privé que je détenais dans le monde entier. J’étais un homme d’affaire pendant
20 ans à un très haut niveau. Je vais vous expliquer comment je travaillais
dans quelques minutes. Donc si j’achète un complet, si j’achète des chaussures,
je les achète à travers la fondation. Si je vais au restaurant ou si j’achète
une crème glacée, je l’achète à travers la fondation. Si je vends un livre, si
quelqu’un donne 5 euros à la fondation, je verse l’argent à la fondation. Tous
mes livres qui sont vendus, les revenus vont à la fondation. Je me suis assuré
qu’il n’y aurait aucune accusation de détournement de fonds, que je mets de
l’argent de côté pour moi. Mon électricité est payée par la fondation. Je fais
payer les systèmes d’appareils médicaux (car j’essaie de financer de nouvelles
recherches) et personne ne m’a jamais rémunéré. Ils ont payé la fondation.
L’argent est versé à la banque de la fondation. Tout est transparent.
Donc ils ont tout
essayé. Ce qu’ils ont fait quand ils ont téléchargé les 30 000 courriels,
ils ont piraté le site web, ils ont piraté tous les (…), ils ont accédé au
serveur et téléchargé 30 000 de mes courriels qu’ils ont mis trois mois à
lire sans savoir quoi en faire. Et donc ils reviennent sur cinq ou six
courriels – nous savons comment ils ont fait – ils voulaient m’accuser
d’entretenir une relation avec une femme. La femme en question – un tas de gens
de mon entourage savent de qui il s’agit – est une femme avec deux enfants, et
mon épouse et moi l’avons adoptée comme notre propre fille. Donc ils voulaient
utiliser les courriels que je lui avais écrits. Je n’avais aucun intérêt à une
relation charnelle parce que … Mon épouse a passé six, huit heures au téléphone
avec cette femme parce que nous avons perdu une fille et qu’elle n’a jamais pu
avoir de fille, alors nous avons adopté cette femme, qui a le même âge
qu’aurait eu notre fille et qui a tous les talents que nous espérions. Nous
avons essayé d’adopter une fille il y a dix, quinze ans. Cela n’a pas marché.
Et ils ont saisi les courriels et tenté de les utiliser contre mon épouse. Ces
courriels ont été tous lus par nos enfants parce que nous voulions que toute
notre famille le sache, donc nos quatre garçons devaient être mis au courant.
Ces gens ont essayé d’utiliser ces courriels contre nous, mais heureusement un
tas de gens dans la Fondation Keshe connaissaient cette femme. Donc voilà
comment sont ces gens (…)
Nous surveillons tout
cela. Je dois vous dire qu’il y a des négociations imminentes sur le sort qu’on
me réserve, pour passer en revue les sanctions à mon égard. Si ma protection
est revue par le gouvernement belge, mes gouvernements vont réduire certaines
sanctions ou faire autre chose. C’est dire à quel niveau élevé on s’occupe de
moi et que je vaux des millions.
J’ai un message pour
la Reine d’Angleterre et pour le gouvernement britannique. La paix en Irlande
du Nord, qui est maintenant permanente, aurait été impossible sans la
collaboration de mes sociétés à leur début. Nous avons conservé tous les
documents, tous les fichiers qui l’attestent. Le Sinn Féin et M. Gerry Adams
n’auraient pas serré la main de M. Bill Clinton dans les rues de Belfast. La
paix en Irlande du Nord entre le gouvernement britannique et l’IRA n’aurait pas
été signée, si je n’avais pas mis mes sociétés et mon organisation au service
de la paix pour essayer de travailler avec les Services secrets britanniques,
réorganisant les finances en garantie du gouvernement britannique pour priver
les organisations d’échange de leurs fonds. J’ai reçu un message de Tony Blair,
qui a signé les documents et les a approuvés, (…) millions de litres de
carburant en une journée. Nous avons tous les documents d’expédition à l’appui
de chaque litre embarqué. Ils savent de quoi je veux parler.
Si la pression n’est
pas relâchée de la part des Italiens, du gouvernement belge, ou par les
Britanniques, et que nous pouvons tous travailler en toute amitié à tous les
niveaux, nous allons rendre publique l’information sur la manière dont la monarchie
Britannique est devenue un sujet du Vatican. Nous avons même des photos des
pétroliers qui ont transporté le carburant. Nous avons tous les numéros
d’enregistrement. Nous avons tous les documents de transport du carburant
d’Irlande du Nord à Manchester et des pétroliers vers Bruxelles et la Belgique,
le tout réalisé par mes sociétés. La paix en Irlande du Nord n’aurait pas vu le
jour avant trois cents ans, si nous ne l’avions pas fait. La paix en Irlande du
Nord n’aurait pas pu être conclue avant trois cents ans s’il n’y avait pas eu
d’accord entre le MI5 et le MI6 et les sociétés dont je dispose à travers le
monde. Nous pouvions transporter des choses qui pouvaient être très
« sensibles ». Et maintenant ils essaient de me pourrir la vie avec
des sanctions à cause de gens qui sont au pouvoir uniquement parce que nous les
avons soutenus.
J’ai adressé un signe
très clair au gouvernement britannique : arrêtez votre action, nous savons
ce que vous avez l’intention de faire. J’ai dit au gouvernement britannique,
j’ai résidé dans votre pays pendant trente ans, mais comme je l’ai dit, mon
pays m’a laissé tomber. Nous rendons publics les documents qui montrent comment
la paix en Irlande du Nord a été obtenue. Cela ne se serait pas su avant 300
ans. J’ai conçu, exécuté, conclu ce plan. Les politiciens n’ont fait qu’en
parler. Ma contribution, mon travail a consisté à être sous la neige un
après-midi de Noël pour m’assurer que les carburants arrivant à Belfast depuis
les différentes parties de l’île étaient échangés contre des céréales et du
pain et payés et remboursés au Trésor du Royaume-Uni. Ils savent de quoi je
parle. Cette information est en trois endroits différents. Si quelque chose
m’arrive, elle sera rendue publique. J’ai acheté des assurances qui couvrent
tout.
Donc maintenant cela
se ramène à deux choses. C’est bien d’avoir la paix en Irlande du Nord ;
c’est bien d’avoir la paix en Angleterre et qu’il n’y ait plus d’attentats à la
bombe. Alors arrêtez de négocier ma vie ! C’est très simple. Nous avons
rendu publique la technologie pour l’humanité. Nous n’avons pas rendu publique
la technologie pour aboutir à ma mort ou celle de ma famille et les tortures et
le reste.
Je demande, si vous
écoutez cette communication, si par chance vous êtes un juriste, s’il vous plaît
ouvrez une instruction révélant la preuve du meurtre de la scientifique. Le
dossier a été classé en vitesse comme accident. Non ! Des scientifiques
sont assassinés comme cela, et M. Hans Bracquené est nommé à l’Agence Spatiale
Européenne (ESA) et a maintenant accès à la NASA et aux meilleurs scientifiques
américains.
Vous les Américains,
vous les Canadiens êtes devenus partie prenante à cette structure. Mon
arrestation au Canada n’avait rien d’accidentel. Elle a été planifiée une fois
de plus par M. Hans Bracquené, exécutée par le gouvernement Canadien avec
l’autorisation de la Maison Blanche. Personne ne toucherait à un physicien
nucléaire iranien de pointe dans un avion, sans l’approbation des plus hautes
autorités mondiales. Je ne suis pas un scientifique inconnu faisant du thé au
fond d’une impasse. Je ne peux être ignoré. Nous allons publier ces documents.
Je ne vais pas me cacher dans des ambassades. Je ne vais pas me cacher dans
différents pays. Je ne vais pas dissimuler mes connaissances. Nous savons
parfaitement qui a ordonné ma ou notre arrestation à l’aéroport au Canada. Et
pourtant j’ai toujours le cœur ouvert et je pardonne … et à la demande du
Président américain, nous leur donnons les clés de cette technologie, en tant
qu’ami, en tant que frère.
Donc rien ne nous
échappe. Non parce que nous ne pouvons pas trop parler. C’est à cause des gens
des services de sécurité, que j’aide bien, qui sont des amis proches. Je pense
aux gens qui écoutent cette émission et qui font partie du gouvernement belge
et qui pensent qu’ils font des choses que nous ignorons : « Les gars,
vous n’avez aucune (…) structure. Les gens qui vous nourrissent ne vous font
pas confiance mais ils doivent le faire parce que leurs enfants dépendent de
cette nourriture. Donc, ne tirez pas de plans sur la comète.
Et deuxièmement, j’ai
prié pour l’âme de l’ex-roi des Belges. Cet homme a besoin d’aide, et à travers
son âme il atteindra son corps. J’ai prié pour M. Hans Bracquené et son âme.
J’ai prié pour M. Delanoy et son âme, parce que quand l’âme en a assez du
corps, elle va faire en sorte que le corps déballe tout. J’ai fait la même
chose avec M. Obama. M. Obama, le 23 avril il y a deux ans, a émis un mandat
pour fermer tous mes instituts. Et moins d’une année après, le jour de son
élection, son propre maître a demandé la clé. Il (…) rendre publique la date et
l’heure de réception de la requête pour transmettre la clé USB, qui est
maintenant entre les mains du public. Il est indiqué 3H48 le 6 novembre, le
jour des élections. A 3H48 je suis prêt à diffuser une copie. Au même moment,
comme vous le savez, le 24 juillet de l’année dernière, je reçois une lettre
privée de Son Excellence le Président Obama. Une lettre privée qui est adressée
à « Cher Mehran » et signée « Barack ». Une lettre de deux
pages. Donc cet homme n’écrit pas une lettre juste pour dire bonjour. Il est
conscient de ce qu’il m’a fait en me mettant sur la liste des personnes à
exécuter pendant onze jours. Les Canadiens n’auraient rien fait de tel s’ils
n’avaient pas eu l’autorisation des plus hautes autorités. Mais je bénis et
prie toujours pour vos âmes afin qu’un jour elles trouvent la paix.
Des questions à ce
sujet ?
KC: Merci
beaucoup, Keshe. Je crois qu’il y aura des questions dans le forum. Là-dessus
j’aimerai que vous expliquiez la diffusion des informations concernant la
technologie. Est-ce que cela sera compréhensible pour le grand public ?
Est-ce quelque chose que seuls les gens qui auront assisté à vos séminaires
seront capables de comprendre ? Que suggérez-vous ?
MK : La technologie, les brevets
sont rédigés en langage de brevets. Les brevets sont rédigés par un de mes amis
les plus chers, M. Dirk Laureyssens. Il m’a été présenté lorsque je suis arrivé
en Belgique en 2005 par un gentleman de nom de Wim De Graeve. J’ai énormément
de respect pour lui. Wim De Graeve était l’un des directeurs de Capital-E et il
fait partie de l’IMEC (Inter-university Micro Electronics Centre de Louvain,
ndt), où il étudiait les matériaux. Il y a un tas de rumeurs qui courent à
propos de M. Wim De Graeve. Une des rumeurs prétend qu’il est le troisième
enfant de l’ex-roi des Belges dont personne n’a connaissance. Il lui ressemble.
Il ressemble également au deuxième enfant du roi. Donc Wim De Graeve a été un
ultime recours pour la Fondations et d’autres de nos établissements. J’aimerai
le remercier ici pour son aide. Sans lui la Fondation n’en serait pas là où
elle est au point de vue de la recherche.
Les documents sont
rédigés et établis dans un langage commun. Donc si vous ne comprenez pas les
brevets, ne les lisez pas de la manière dont vous liriez les brevets en
français. Lisez les brevets en langage plasma, pas en langage matière. Alors
vous révélerez toute la vérité à propos de chaque document individuel qu’ils
contiennent. C’est très important. Il y a une grande différence entre plasma et
matière. La matière, selon la compréhension usuelle, possède des champs
énergétiques. Le plasma possède des champs d’énergie gravitationnels et
magnétiques, d’attraction et de répulsion. Si vous lisez la totalité de mes
brevets, tous mes livres, dans la terminologie du plasma, vous comprendrez les
secrets de l’univers. Avec le temps, les gens ressentiront la même chose.
C’est pourquoi il y a
un tas de confusion sur la compréhension de mes brevets. Lorsque nous ne
comprenons pas et essayons de comprendre le comportement d’un ballon à
l’intérieur d’un autre ballon à l’intérieur d’un autre ballon, l’écart entre
chaque ballon est la différence de pression. Lorsque vous entrez dans le ballon
à l’intérieur d’un autre ballon, il y a un écart entre les deux, une distance
entre les deux parois du ballon. Alors dans mes écrits, j’appelle cet écart le
champ magnétique gravitationnel, la différence de force. Dans le système
solaire et le soleil, la même chose se produit. Le plasma ne s’étend pas dans
une seule direction. Il se développe comme un ballon. Et quand il atteint une
certaine force, il forme une nouvelle couche parce qu’il ne résiste pas à cette
force. C’est ainsi que vous obtenez des couches de champs magnétiques
gravitationnels de différentes forces. Et l’interaction du champ magnétique
gravitationnel, la force d’une couche en attire une autre, et elle crée son
propre champ gravitationnel et magnétique. C’est ainsi que se créent les champs
gravitationnels des étoiles.
Vous pouvez lire tous
mes brevets et nous pouvons réaliser tous mes systèmes d’un jour à l’autre.
Nous pouvons produire autant d’or que vous voulez. Nous pouvons produire autant
d’eau que vous voulez. Dans le séminaire de ce jeudi nous allons faire de
vraies annonces sur des réalisations à faire, et une d’entre elles sera à
propos de la fabrication des vidéos (ils feront davantage de vidéos pour
jeudi), comment transformer des gaz en solides à température et pression
ambiantes, et alors ces gaz, que nous appelons GANS, qui sont dans un état
solide ou liquide, si vous les mettez sur la langue (parce qu’ils ont une
énergie si puissante), vous recevrez toute l’énergie dont vous avez besoin pour
un jour en une goutte, et même moins. Si bien que vous n’avez pas besoin de
manger de la nourriture.
C’est ainsi que
fonctionne l’univers. Les garçons dans mon collège et mes chercheurs dans notre
institut ont déjà réalisé le premier prototype. Ils le fabriquent eux-mêmes. Ce
prototype va aller à Fukushima à la fin de la semaine, car le groupe japonais
TEPCO ou l’industrie nucléaire a donné à nos deux groupes accès à du matériel
nucléaire (le matériel que nous avons mentionné, comme le CO2). Ils pourront
immédiatement tester le taux de contamination des eaux, des villes et des
champs dans la région de Fukushima. Une de nos chercheuses est japonaise, et
nous disposons déjà des données lorsqu’elle s’envolera vers le groupe de chercheurs
au Japon qui va tester le matériel. Les chercheurs ici, qui sont des
scientifiques comme tous les autres que nous avons recrutés sur la base de leur
réputation, s’occupent de construire les systèmes et le système va fonctionner.
Ils vous diront comment le faire marcher. Vous verrez toutes ces vidéos jeudi.
Et le mercredi suivant, nous verrons ce qui se passe à Fukushima avec notre
chercheuse qui transporte le matériel. J’espère qu’elle sera en sécurité et que
personne ne lui fera ce qu’ils m’ont fait quand je suis allé au Canada. Mais là
il s’agit de sauver l’humanité des dangers des radiations. Nous verrons ce que
sera la prochaine étape.
Nous ferons une autre
annonce importante le 20, ce jeudi, parce qu’un tas de gens ont demandé un tas
de choses sur ma situation et comment je vais et où je suis, et il faut que j’y
réponde et que j’y revienne à présent. Je suis sûr que beaucoup de gens le
savent déjà. J’ai reçu au cours des années des centaines et des centaines de
courriels affirmant tout un tas de choses. Nous allons clarifier tout cela. Et
en même temps nous allons démarrer les vidéos en direct sur le fonctionnement
de divers réacteurs que les chercheurs ont assemblés ou apportés avec eux. Nous
verrons quatre ou cinq réacteurs dont nous pourrons observer le fonctionnement
en direct. Les vidéos couvrent chaque seconde, si bien que nous pourrons voir
tout ce qui se passe à tout moment à travers le monde. Parce que, comme nous avons
donné les brevets, nous les avons rendus accessibles au public et vous pouvez
les lire. Maintenant vous pouvez les voir fonctionner.
Nous n’avons pas peur
que cela ne marche pas. Nous n’avons pas peur si rien n’est fait. Nous n’avons
pas peur si le système ne répond pas. C’est de la recherche. C’est la réalité. Mais
à partir de maintenant, chaque scientifique, chaque personne intéressée aux
futurs développements de la médecine, aux futurs développements de la santé et
de l’espace, aux futurs développements des matériaux, pourra agir et interagir
directement.
Cela n’a jamais été
fait. Je m’en réjouis … le premier jour j’ai dit une chose aux
chercheurs : ce que nous apprenons doit être communiqué. Habituellement,
lorsque vous allez à l’université, vous attendez deux, cinq, dix ans avant de
pouvoir enseigner et utiliser vos connaissances en public. Ce sont des
étudiants le matin et ils deviennent des enseignants l’après-midi, enseignant
au monde entier, dans leurs propres langues ou dans des langues différentes à
leurs auditeurs de par le monde. La connaissance n’a jamais été transmise si
ouvertement, si clairement, dans toute l’histoire humaine.
Inconditionnellement. J’insiste auprès de mes chercheurs, n’hésitez pas, ne
cachez rien de ce que vous savez parce qu’à la minute où vous transmettez votre
savoir, au même instant vous recevez de nouvelles connaissances parce que la
connaissance est un don, c’est comme une jarre. Plus vous videz la jarre, plus
vous demandez à ce qu’elle se remplisse.
Cela consiste à
enseigner et en l’espace de quelques minutes, en un jour, non seulement le
cours, mais le plan du réacteur, le plan du système sont disponibles sur
internet. Parfois, au début j’étais choqué parce que vous devez comprendre
comment pendant 30/40 ans j’ai vécu une vie solitaire de scientifique. Personne
n’a vu ce que j’ai fait. Et je montre quelques choses à ces gens ; ils
prennent une photo et dans l’après-midi cela se retrouve sur internet. Ils
forment les gens, et c’est un plaisir de voir comment ils expliquent les
choses. Je continue à leur dire, que la manière dont ils expliquent, je ne
pourrai jamais le faire.
Donc, les gens
peuvent-ils construire mon système ? Oui. Les gens peuvent-ils construire
n’importe quel système ? Oui. Nous nous sommes fixés comme objectif de
construire le premier vaisseau spatial cette année. Nous l’avons annoncé. Il
est assez amusant de noter que personne ne s’est manifesté pour dire :
j’aimerai payer pour construire une partie de ce réacteur.
Donc, ce que cela
signifie est que les gens aimeraient avoir accès à l’espace, mais ils ne
veulent pas payer les matériaux qui servent à construire les vaisseaux. Ainsi,
cette attitude nous ramène dans les mains des instituts et organisations, des
banques, capables de les financer … ou de quiconque accepte de venir aider
à les construire à nos conditions ? C’est une situation très étrange pour
moi. Pendant 30/40 ans, j’ai subventionné cette technologie par mon travail
pour la mettre à la disposition des gens.
C’est très
intéressant. La chute. Nous avons diffusé le document exactement à 4H51 hier,
cela fait plus de 18 heures. Sur notre serveur, 12 186 personnes l’ont
consulté. Est-ce que l’un d’entre eux a effectué un seul paiement pour avec
reçu ce brevet ? Toute cette technologie, qui est brevetée et diffusée,
quelqu’un a-t-il fait un effort pour dire « D’accord, vous m’avez donné
cette connaissance. » Vous allez acheter un tournevis ou une clef, ce qui
est légèrement différent, et vous payez cinq ou vingt euros parce que quelqu’un
l’a breveté. Une telle technologie est-elle devenue à ce point sans valeur
qu’elle ne vous sert qu’à vous, et qu’elle ne peut plus être développée
davantage ?
Voilà ce que vous dis : toute la société est basée
sur le vol aussi vite que possible. Ce comportement me prouve de plus en plus
que rien n’a changé.
KC: Excusez-moi,
Keshe, les auditeurs de Camelot sont très généreux et ils apporteront leur
contribution si vous leur demandez. Si vous avez besoin de dons …
MK: Nous avons un énorme besoin de dons. Nous avons besoin de centaines de milliers de dons. Il existe une Fondation Keshe. Vous pouvez vous adresser directement à la banque de la Fondation Keshe. C’est ABN/AMRO aux Pays-Bas. Ce n’est pas pour nous. C’est pour vous. C’est pour l’humanité. Nous ne demandons rien. Nous l’avons défini, nous avons l’endroit. Pour construire ce réacteur au cours des trois prochains mois, nous devons lever 55 millions d’euros pour rester en-dehors de l’emprise des banques.
KC: Nous allons diffuser l’appel pour vous, Keshe, et faire savoir aux auditeurs : faites que cette information devienne virale. S’il vous plaît, si vous avez des liens pour diffuser cette information, si vous pouvez la mettre dans un groupe de discussion ou me l’envoyer sur ma page facebook.
MK: Il vous suffit d’aller sur le site de la Fondation Keshe. Allez sur « don ». Et utilisez le lien. Chacun sait comment faire. Tous nos liens sont connus internationalement. Nous avons besoin de lever 55 millions. C’est transparent. Je vous l’ai dit, j’ai fermé mes comptes personnels. Rien ne va dans ma poche. J’ai reçu un courriel ce matin d’un gars qui me disait : « nous aimerions être parmi les 500 premiers à voler dans l’espace avec le nouveau vaisseau spatial. A combien est le billet ? Il doit être à un prix raisonnable. » Je lui ai répondu : « A combien estimez-vous le billet pour aller dans l’espace ? Les gens paient actuellement 10 millions, 15 millions pour aller dans l’espace pendant quelques jours, ou ils paient 250 000 pour aller dans l’atmosphère supérieure pendant quelques secondes. A combien estimez-vous la technologie au développement et à l’évolution de laquelle vous voulez participer ? Vous payez pour vous-même, pas pour moi. Je suis déjà passé par tout cela. J’ai vu l’univers tout entier. Je n’ai aucun attachement à ces possessions terriennes et à cette époque. J’ai souvent dit à ma famille : j’ai honte d’être dans un corps d’homme en raison de ce que l’homme s’inflige à lui-même, mais nous devons être dans un corps d’homme pour comprendre le langage de l’homme, être capable de parler le langage que l’homme peut comprendre. Donc je n’ai aucun attachement. Si j’en avais, j’aurai crié dans le téléphone : « Ils veulent me tuer ! » Non, dites-leur que je prie pour leur âme. Je n’ai pas besoin d’être en eux pour les comprendre. Ils sont avec nous et nous savons ce qu’ils font.
Il n’y a pas
d’aspects cachés – et c’est une chose que je continue à enseigner à mes
étudiants au cours de la semaine dernière – je leur enseigne qu’ils n’ont pas
besoin d’être là pour comprendre. Vous comprenez parce qu’ils pensent à vous et
vous le savez. Le roi des Belges, son plus grand ennemi dans son âme réside
dans son corps. Je n’ai pas besoin de faire quoi que ce soit. Ces gens ne
comprennent pas notre état et notre situation. Rien ne nous est caché, rien.
KC: Keshe, je voulais vous rappeler que vous avez dit que vous nous parleriez de votre formation et de votre travail dans le monde des affaires. Voulez-vous le faire maintenant ?
KC: Keshe, je voulais vous rappeler que vous avez dit que vous nous parleriez de votre formation et de votre travail dans le monde des affaires. Voulez-vous le faire maintenant ?
MK: Oui, je vais vous parler de mon activité d’homme d’affaire. Je viens d’une famille bien connue en Iran, extrêmement connue en Iran du temps du Shah. Je ne me suis jamais reposé sur ma famille. J’ai commencé à travailler dès ma licence en poche. Je n’y connaissais rien dans les affaires mais je savais que je devais gagner de quoi financer mes recherches. Donc, je suis entré en formation, et ma formation était semblable à celle que je mène avec ma recherche scientifique actuelle, très ouverte et très franche. Dans mon travail, j’ai trouvé la paix et j’ai trouvé de la franchise partout dans le monde. J’ai étendu la partie affaires après deux ou trois ans, à plus à moins cinq agences sur trois continents. Sans partenaires, et j’ai fait du commerce et des voyages et géré des affaires à un très haut niveau, allant du commerce du pétrole aux diamants, à l’import-export, au financement de nouveaux projets par le gouvernement. Nous avons été très impliqués à une époque où l’Orient et l’Occident se séparaient. J’ai vu la pauvreté extrême et la richesse incommensurable. Nous portions des diamants sur les chaussures parce qu’il n’y avait pas d’autre endroit où les mettre. Tout le reste était déjà couvert de diamants. Je revois des gens dans mes agences en Afrique, en Gambie, à qui je devais payer 12 pence pour qu’ils ne meurent pas de malaria, parce qu’ils ne les avaient pas. Vous vous rendez compte que cela n’a pas de valeur si vous ne pouvez pas vous en servir pour soutenir l’être humain.
Donc, j’ai bâti des
organisations qui valaient des millions, totalement privées, inconnues de
quiconque. Vous devez comprendre, nous n’avons pas de relations avec les
gouvernements à ce niveau, ou le gouvernement britannique ne fait pas appel à
votre aide ou plus. En ce qui concerne la paix en Irlande du Nord, si (…). En
fait, l’infrastructure que nous entretenions, … et nous l’avons fait. Quand je
vous expliquais que c’était la position que nous avions acquise, ce n’est pas
juste parce que quelqu’un vous aborde dans la rue que nous en sommes capables.
Cela a été construit, les systèmes étaient en place, nous avions différentes
sociétés bien positionnées et sachant ce qu’elles avaient à faire. Il nous a
été demandé par les services de sécurité en Angleterre d’examiner le problème.
Et je me rappelle toujours, lorsque j’ai rencontré les gens du MI5 au Yard, ils
m’ont dit « Est-ce que vous savez dans quoi vous vous
engagez ? », j’ai répondu « C’est pour la paix ; certaines
choses valent la peine que je risque ma vie. » Ils ont dit « Le
message sera transmis à Downing Street. Nous allons faire avancer les efforts
de paix. »
Donc vous commencez à
comprendre à quel niveau élevé je travaillais. J’ai dû quitter la
Grande-Bretagne en raison de la situation qui résultait de la corruption du
système, et je suis parti. En même temps je pouvais comprendre ce qui se
passait. Nous sommes tombés de Charybde en Scylla avec ce qui s’est passé en
Belgique.
Donc j’ai vu la
richesse extrême. J’ai voyagé dans 65 à 70 pays à l’époque. J’ai fait des
affaires dans plus de 120 pays. Chaque race était dans mes livres de compte et
j’allais sur place … Je peux vous décrire les endroits jusqu’aux poignées de
porte. Vous ne pouvez pas faire cela si vous n’allez pas sur place. Cela a fait
partie de ma formation, de comprendre les gens, de comprendre comment faire
avec les gens.
J’ai un souvenir très
intéressant. Lorsque j’étais à Washington, vous connaissez la Maison Blanche, à
côté se trouve un endroit minable où j’ai vu un homme mort sur le boulevard. Au
coin il y a un hôtel avec un énorme centre commercial au rez-de-chaussée. Et
plus haut dans la rue il y a un hôtel Holiday Inn. J’ai vu un cadavre abandonné
dans la rue à moins 20 degrés dans la nation la plus riche. J’ai pensé :
« Quelle honte si depuis la Maison Blanche vous pouvez voir un cadavre
abandonné sur le boulevard ! » Et ils savent précisément où j’ai été
à Washington. J’ai été dans des palaces dans les pays africains. J’ai vu un
homme mourir de faim. Il n’y a pas de différence à cet égard entre les pays
riches et les pays pauvres. C’est pareil avec la faim.
Avec cette
technologie nous pouvons y mettre fin. Si vous pouvez trouver une bouteille
vide de Coca Cola, un morceau de fil de cuivre, et si vous pouvez mettre la
main sur deux vieilles batteries de téléphone, vous pouvez être sûrs d’avoir
assez d’énergie, d’eau et de nourriture pour survivre partout dans l’univers.
Voilà le brevet qui a été diffusé hier. Cela a été le pire cauchemar des
gouvernements et des multinationales. Cela fait maintenant deux, trois ans que
je répète que si vous avez deux ou plus téléphones mobiles, vous pouvez avoir
tout ce que vous voulez. Tout le monde espérait que bientôt de l’eau goutterait
du portable et que des gouttes d’or suinteraient du dos de l’appareil. Lorsque
j’en ai discuté avec les chercheurs il y a quelques semaines, j’ai dit
«Savez-vous ce qui va se passer avec cela ? je leur ai dit « Chacun
s’attend à voir de l’eau dégouliner du portable. J’ai dit : tout ce que
vous avez à faire est d’ouvrir l’arrière de l’appareil, et d’enlever la
batterie. Dans chaque batterie il y a environ 30 à 50 cm de plaques de cuivre
qui servent pour les phases positive/négative de la batterie, nous sortons la
plaque que nous transformons juste en ce que nous appelons une « couche
nano », ce qui a été récemment montré à Fukushima. Nous pouvons la placer
dans une marmite en céramique ou en acier ou autre, et nous vous montrons
comment produire de l’hydrogène atomique à partir d’une bouteille de Coca Cola
(ce que nous avons montré à Fukushima). Donc vous avez votre hydrogène, vous
avez une terre en rotation, vous avez le soleil dans votre main.
Qu’aimeriez-vous en faire ? Cela fera l’objet d’une démonstration par
notre scientifique belge ; il travaille avec de la céramique, de l’argile.
Il fabrique un réacteur en argile.
Nous avons maintenant
un citoyen américain qui est avec nous en tant que chercheur et un chercheur de
la République tchèque. Comme je l’ai dit auparavant, ils assemblent un réacteur, qui est construit par des
ingénieurs iraniens à Téhéran. Et c’est donc maintenant une société
internationale. Ils assemblent leur réacteur la semaine prochaine, et nous
voyons ce qu’ils construisent. Qu’ils créent du charbon, de l’or ou que nous
créions de l’eau.
Tous ces systèmes
sont utilisés à l’origine dans ces bobines de cuivre au dos du téléphone
portable qui n’ont de valeur pour personne, mais maintenant c’est une source de
vie. Vous pouvez apprendre comment utiliser ces bobines de cuivre. Nous le
montrons, ils l’ont expliqué sur l’internet. J’ai vu les chercheurs. Et si vous
oxydez ces bobines en cuivre des téléphones portables, vous n’avez besoin de
rien d’autre. Vous pouvez produire 100 kW ou 300 kW d’électricité pour
l’éclairage. Si vous n’avez pas besoin d’éclairage, vous pouvez créer du
chauffage, de l’eau, et si vous en avez fini, vous pouvez changer le bobinage
et réaliser le champ magnétique gravitationnel de n’importe quelle vitamine ou
sel minéral dont vous avez besoin pour vous nourrir. C’est la simplicité de la
technologie mise au service de l’homme. Donc l’homme en Afrique ne devrait pas
mourir de maladie et l’homme à proximité de la Maison Blanche sur le boulevard
ne devrait pas mourir de froid. C’est la beauté de la chose.
Au moins j’aurai
laissé en héritage qu’aucun homme ne devrait souffrir de la faim et j’espère et
je souhaite – c’est mon souhait le plus cher – que les gens qui fabriquent des
armes arrêtent de le faire parce que comme je vous l’ai dit, nous pouvons
trouver l’appareil peu importe où il se trouve en ce moment. Bientôt, ce ne
sera pas moi, mais les gens qui reçoivent maintenant mes brevets, qui pourront
changer la place du carbone ou de n’importe quel autre matière dans chaque
balle sur cette planète. Et ils pourront mettre fin aux guerres.
Comme je l’ai dit, la
semaine dernière, je leur ai appris à fabriquer de l’or. Je leur ai dit, pour
fabriquer de l’or, nous avons besoin de mercure et d’un neutron. Et ils m’ont
regardé « Mais l’or a un neutron de moins que le mercure ». J’ai dit
« Oui, si vous voulez enlever un proton, un neutron ou un électron au
mercure pour faire de l’or, c’est beaucoup de travail. Mais si vous ajoutez un
neutron au mercure, qui se change immédiatement en un proton et un électron,
alors vous avez du mercure instable, qui devient de l’or et de l’hélium, et
nous pouvons en faire de l’énergie.
Donc maintenant le
secret de la fabrication de l’or est sur la place publique. Et je pense que
cela coûte moins de un pour cent de fabriquer deux ou trois kilos de
nano-poudre d’or si vous comprenez comment faire. Et j’ai dit aux Britanniques,
combien de tonnes d’or voulez-vous que je place dans la Banque Centrale de Libye
pour que vous vous en alliez d’ici ? L’or n’a plus de valeur. Il y a eu
des secrets de fabrication de l’or. Ils se trouvent dans les écritures saintes,
et je l’ai dit récemment. La maturité de l’homme viendra quand il comprendra
comment changer la matière. Et maintenant nous le savons. L’homme est immature.
Et maintenant tout le
monde sait comment faire de l’or. Allez-y, procurez-vous du mercure. Au dos de
votre miroir, l’essentiel c’est du mercure sous une forme que vous ne
soupçonnez même pas. Le thermomètre de votre jardin contient du mercure. Si
vous savez extraire le neutron du carbone ou de la combinaison d’hydrogène et
de carbone de la bouteille de Coca Cola, alors le mercure peut se transformer
en or dans le même réacteur où vous avez produit l’énergie.
Donc l’or n’a plus de
valeur maintenant que tout le monde sait en produire à partir du mercure ou
vice versa. Pour changer un élément nécessaire, vous n’avez pas besoin de passer
par ces fusions élaborées. Les fusions sont un non-sens. Ils essaient de faire
… Il y avait une réunion de physiciens nucléaires au cours des trois dernières
semaines, et nous étions tous d’accord, ce projet de trente milliards dans le
sud de la France n’a aucun intérêt du point de vue de la fusion, qui n’a jamais
été réalisée, mais qui vaut des milliards du point de vue de la connaissance du
jeu scientifique.
Nous ne réaliserons
jamais la fusion. La fusion, de la manière dont l’argent est dépensé pour la
réaliser, j’ai expliqué très simplement : nous n’avons pas résisté aux 3900
degrés lorsque la navette Columbia est retournée sur terre. Elle a simplement
été carbonisée. Nous avons perdu deux navettes. L’une d’entre elles lors de la
rentrée dans l’atmosphère en raison de la haute température qui l’a détruite
parce que le bouclier thermique était endommagé. Comment ces scientifiques
envisagent-ils de faire cette fusion pour créer la chaleur du soleil, qui est
de 60 millions de degrés ? Nous n’avons pas la connaissance nécessaire
pour résister à 3900 degrés ! Nous avons perdu des personnes merveilleuses
dans cet appareil lors de leur retour sur terre. Comment allons-nous contrôler
de manière sûre 60 millions de degrés dans un réacteur, ce qui n’est
rien ? Ils disent qu’ils ont réussi la fusion, pendant quelques
millisecondes et la chaleur s’est dissipée. Vous essayez de maintenir la fusion
pendant deux jours. Cela ne tiendra pas plus d’une minute ou deux dans une
vraie fusion. De quoi parlent-ils ? Nous n’avons pas la connaissance pour
transférer de la chaleur à hauteur de 60 millions de degrés depuis le centre.
Le soleil est à tant de millions de kilomètres de nous. S’il se réchauffe un
peu plus, ou si vous vous en rapprochez un peu plus, il vaporisera toute l’eau
de cette planète. Maintenant vous allez
vivre en son centre, celui qui a été créé ici dans le sud de la France :
cela n’a aucun sens. Cela permet de mettre beaucoup d’argent dans la recherche.
Donc ce que nous pouvons faire, nous ne faisons pas la fusion ; nous
déstabilisons l’atome et puis il se scinde en ce que vous voulez. C’est
beaucoup plus simple. C’est ainsi que nous faisons fonctionner la physique.
Donc si vous voulez
de l’or dans les prochaines semaines, nous allons produire de l’or dans le
Centre de recherche de la Fondation Keshe. Nous allons vendre de l’or au même
prix qu’un banal métal parce qu’il n’a pas plus de valeur. Je ne le ferai pas
parce que j’ai appris à huit personnes comment le faire, et maintenant ils
l’apprennent à d’autres en ligne. Donc bientôt vous pourrez acheter de l’or au
prix du cuivre, ou même à celui de l’eau.
KC: Keshe, j’ai quelques questions qui sont arrivées dans le forum de discussion en ligne. Une personne demande pourquoi, si vous êtes capable de fabriquer de l’or, vous ne financez pas votre fondation avec de l’or ?
KC: Keshe, j’ai quelques questions qui sont arrivées dans le forum de discussion en ligne. Une personne demande pourquoi, si vous êtes capable de fabriquer de l’or, vous ne financez pas votre fondation avec de l’or ?
MK: Oh,
nous pouvons le faire sans problème. Nous l’avons fait il y a six ans à
Téhéran. L’or n’a pas de valeur. Nous n’enseignons pas à produire des choses
pour les vendre. Je peux produire un tas de choses. Vous ne savez jamais. Voulez-vous
mettre de l’or sur le marché ? Voulez-vous que nous mettions des diamants
sur le marché ?
Laissez-moi vous
poser la question : nous n’avons pas besoin de fabriquer de l’or. Je peux
aller en Afrique du Sud, je peux aller au Congo, acheter des diamants au prix
de 5 à 10$ le carat, les apporter en Europe, les faire passer dans un de nos
réacteurs, ce qui est fait parce que je devais expliquer ce processus à des
acheteurs de diamants en Belgique parce que les diamants arrivaient à des qualités
différentes, et je peux vendre ces diamants à 3000 à 5000$ le carat. Purs, en
utilisant ce processus. Je n’ai même pas besoin d’aller chercher du mercure et
m’exposer à une contamination. Et la chose est que vous réalisez la même
structure sur vos diamants et votre or.
KC: Et vous ne le faites pas pour des raisons politiques ? Pourquoi ne le faites vous pas ?
MK: Cela déstabiliserait la situation. Nous ne sommes
pas là pour déstabiliser la situation.
KC: Vous êtes préoccupé par le fait que les marchés pourraient s’effondrer si ces choses étaient vendues ?
MK: Les Américains comprenaient le potentiel de cette technologie. Ils ont dit que le monde avait déjà vécu un crash. Il ne peut pas se permettre une autre dévaluation. Nous ne sommes pas là pour perturber. Nous avions besoin d’or dans l’espace. Nous devions le produire quelle qu’en soit la raison. Cela montre immédiatement, lorsqu’une personne me pose ce genre de question, cela montre le niveau d’ignorance et qu’ils ne comprennent pas ce que nous essayons de faire. Je peux produire du plutonium. Aussi facilement que je peux produire de l’or, je peux produire du plutonium. Où est-ce que cela nous mène ? Aussi facilement que nous pouvons produire de l’or, nous pouvons produire de l’eau pour alimenter l’homme.
Le but au total est
d’en extirper la cupidité. L’or n’a aucune valeur au-delà des frontières de
cette planète. Je continue à dire, combien de millions de dollars pouvez-vous
vendre à un aliène dans l’espace ? Ce à quoi nous attribuons de la valeur,
est ce par quoi nous exerçons le contrôle.
Vous savez, celui qui
vient de poser la question, procurez-vous une bouteille de Coca Cola et un peu
de mercure. Suivez les discussions que les chercheurs mènent sur leurs liens
internet et les forums de discussion. Vous devriez pouvoir produire 2 à 3 kilos
d’or d’ici demain matin. Et si vous n’y arrivez pas, cela vous montre que vous
n’avez jamais compris la valeur de la vie. Notre enseignement est très simple,
donc vous feriez mieux de lire les livres.
KC: D’accord Keshe, qu’en est-il du CERN, le collisionneur de hadrons. Quelle est votre compréhension de ce qu’ils y font vraiment ?
MK: Eh bien, cela fait partie de la recherche ! Nous n’en sommes pas au bout. Nous faisons partie du processus d’apprentissage. La race humaine doit comprendre le spectre complet, même les choses qui sont écrites dans les livres que j’ai écrits, la connaissance que j’ai diffusée. Nous créons des millions et des millions de recherche dans le futur, parce que tout le monde cherche à comprendre. Ce n’est que maintenant que nous comprenons comment la recherche est faite et comment changer le mercure en or, combien il est simple de le faire.
Donc le CERN est
nécessaire. Les systèmes du Sud de la France sont nécessaires. Les réacteurs à
eau pressurisée en Amérique sont nécessaires parce que les physiciens actuels
ont à peine effleuré la surface de la science. Donc vous ne pouvez pas dire que
c’est une erreur. Certes ils font des choses qui sont erronées. Nous nous amusons
d’eux. Non pour les insulter, mais parce que vous savez ce qu’ils disaient, au
CERN ils cherchaient le Boson de Higgs. Comme je l’ai dit, j’ai vécu une
mésaventure. Une des plus grandes mésaventures de ma vie a consisté à être
assis à côté de l’ex-roi des Belges. Il m’a posé une question – il avait
l’habitude de prendre le café avec la reine là où je travaillais – et il m’a
demandé « Qu’en pensez-vous ? » Et j’ai dit « Ils
l’appellent la particule de Dieu », j’ai poursuivi « Si vous avez
compris ce que je vous ai expliqué précédemment (parce que je lui avais fourni
des explications sur le plasma, et ce que j’ai expliqué tout à l’heure à propos
des ballons), lorsque le champ magnétique est suffisamment affaibli il devient
de la matière, physique en ce qui nous concerne.
Donc, nous tous
sommes des particules de Dieu. Maintenant nous nous amusons du CERN, mais en
réalité c’est parce qu’ils ne comprennent pas, alors nous le formulons
autrement. C’est comme insulter votre enfant qui fait quelque chose qui vous
semble très stupide. Ils doivent le faire. Ils doivent comprendre.
Quelqu’un a marqué un
point, c’est celui que vous connaissez sous le nom de Stephen Hawking. Lorsque
j’ai écrit mon article en 2004 sur le fait que les trous noirs ont des fuites
et constituent la source de vie, il disait que les trous noirs sont (…) et puis
il a changé cela. Nous avons publié l’article dans mon livre. Nous l’y avons
intégré par coïncidence le même jour où il a changé d’avis lorsque nous avons
eu l’article, et nous en avons mis une copie dans une lettre de l’institut.
Donc le débat est clos. Stephen Hawking est fini comme scientifique, parce que
cette année, il a publié un article confirmant que ma théorie était correcte
depuis le début.
Donc, pour autant que
nous sachions, la revue par les pairs n’a aucun sens. Mes brevets sont là.
Pourquoi mes brevets devraient-ils aller en Europe pour que quelqu’un dont
c’est l’intérêt vous dise, oui, c’est correct ou pas. Vous testez mes brevets à
la file, et si c’est bon pour vous, c’est pour vous. Nous n’avons pas besoin
que quelqu’un spécialisé dans les brevets en Europe décide, en fonction de la
situation financière de votre pays, si votre brevet est valable ou non. Si vous
pouvez le faire fonctionner, cela sera breveté.
Donc, la question
n’est pas de savoir si vous pouvez breveter en fonction de la connaissance. La
manière dont Dirk Laureyssens a rédigé ses brevets couvre tout ce que l’humanité
n’aurait jamais aimé breveter. Maintenant la connaissance est dans le domaine
public, personne ne peut la breveter. C’est une connaissance libre.
Donc la situation est
très claire. Maintenant nous disposons de toute la connaissance. Nous avons
toute la connaissance en accord avec la manière dont je l’ai rédigée, donc nous
pouvons la réaliser. Nous pouvons fabriquer de l’or. Nous pouvons faire tout ce
que vous voulez. Nous en avons ôté la revue des pairs. Si vous l’avez compris,
vous avez déjà fait votre propre revue.
KC: J’ai
quelques autres questions qui sont apparues dans le forum de discussion.
J’aimerai vous les poser, à moins qu’il y ait un sujet dont vous voudriez
parler plus longuement.
MK: Pas de problème.
KC: J’aimerai remercier Sterling Allan de soutenir votre travail. Savez-vous qu’il a également mis vos informations sur son site afin que les gens puissent y accéder ?
MK: Je sais. J’attends de rencontrer M. Sterling Allan. Nous avons eu un différend l’année dernière parce qu’il a diffusé une information à propos de laquelle je ne pense pas qu’il était correct pour quelqu’un d’impartial de faire un commentaire parce qu’elle aurait pu être juste ou fausse. Je lui ai transmis l’information. Elle est ce qu’elle est. C’était une communication amicale qu’il a publiée, ce qui est correct. Il est généreux et défend nos intérêts, et je l’en remercie. Il a fait beaucoup de bon travail pour la fondation et un tas de scientifiques. Il est une sorte de port franc en quelque sorte, et la connaissance doit être transmise par des ports.
KC: Quelqu’un demande quel profil vous recherchez pour travailler avec vous sur le projet spatial ? En d’autres termes, vous recherchez des informaticiens, des spécialistes des réseaux, des électroniciens …
MK: Nous avons besoin de tout cela. Envoyez vos courriels au Spaceship Institute. Ce qui est bien, c’est que ce n’est plus de ma responsabilité. J’ai transmis l’essentiel du contrôle et de la prise de décision aux chercheurs. Les huit chercheurs du panel décideront de qui et de quoi ils ont besoin. Je réceptionne l’information. Je la regarde et la met inconditionnellement à disposition du panel. Et cette semaine ou la semaine prochaine nous discuterons de qui s’occupera de quelle partie du Spaceship Institute. Ils savent ce dont nous avons besoin. Nous avons besoin de tout.
D’abord nous avons
besoin de dons pour commencer à construire la chose. C’est le plus important.
Autrement nous pourrons toujours parler dans le vide. Ou nous pouvons partir et
vendre notre âme aux multinationales, quoi qu’elles fassent, ou veuillent
assumer une partie du projet.
Comme vous le savez,
le réacteur énergétique est maintenant aux mains des Italiens. Ils en font ce
qu’ils veulent, et bientôt nous montrerons l’unité avant sa commercialisation,
qui sera faite par les Italiens. Nous l’avons offert comme un don
inconditionnel aux Italiens. En fait, c’est un mensonge. Nous y avons mis une
condition. La seule condition à laquelle nous avons donné la technologie aux
fabricants italiens était que chaque élément du réacteur soit construit en
Italie, que cela crée des emplois en Italie et de la richesse en Italie pour
les Italiens.
La même chose vaut
pour les Chinois. Tout doit être fait dans le même pays ; autrement nous
aurons besoin de programmeurs. Nous avons besoin de métallurgistes. Nous avons
besoin de gens qui s’y connaissent en stockage et logistique et en stockage de
gaz parce que nous pouvons absorber l’énergie du champ magnétique
gravitationnel de l’univers … nous avons donc besoin de les stocker.
Si vous regardez le
brevet qui a été diffusé, il comporte une partie 4-2, c’est celle consacrée au
stockage. Nous avons besoin de gens que comprennent en profondeur les effets des
radiations sur la santé, parce que dans le cosmos, dans nos réacteurs, nous
créons des radiations dont nous devons comprendre la rapide mutation dans le
corps et leurs conséquences. Nous avons besoin de comprendre, d’avoir des
spécialistes de communication qui peuvent comprendre l’interaction de champs
magnétiques et de la communication de temps-zéro.
Nous avons des
contacts avec les chercheurs au Brésil et le gouvernement brésilien. Nous
sommes demandeurs, et je le dis publiquement, et nous entretenons des relations
étroites avec le gouvernement brésilien, nous espérons avoir quelqu’un du
Brésil dans notre équipe à cet effet. Nous savons qui s’en occupe.
Nous avons besoin de
gens qui ont de bonnes connaissances en protection et sécurité. Cela signifie
que les connaissances que nous développons ont été transmises préalablement aux
gouvernements afin qu’ils puissent élaborer des systèmes de sécurité, que la
connaissance et la technologie ne puissent être détournées au profit
d’activités terroristes et ce genre de choses. Ils ont besoin de collaborer
avec la Fondation. Cela doit être une collaboration avec tous les gouvernements
sous n’importe quelle forme et modalité, de manière à ce que la connaissance,
qui sera mise à jour, soit d’abord aux mains de la force de police mondiale (ou
peu importe comment vous l’appelez). Personne ne doit pouvoir en faire un
mauvais usage. Parce que, un tas de gens pensent qu’à partir du moment où nous
avons la technologie, nous pouvons aller de Chine au Moyen-Orient, ou du
Moyen-Orient en Amérique et en faire ce que nous voulons. Ces manières de
procéder doivent s’arrêter. La sécurité nationale, la sécurité internationale,
continuent à être une priorité. Donc nous avons besoin de ce genre de personnes
qui comprennent les enjeux.
J’ai déjà travaillé
avec les forces de sécurité. Je sais ce que cela signifie, mais mes
connaissances à ce sujet sont superficielles. Nous avons besoin de gens qui
comprennent ce mécanisme, et je vous l’ai dit, nous avons une expérience de
plusieurs années de collaboration étroite avec des officiers de sécurité
nationale en raison de mon travail, et je sais que ces gens font un travail
fantastique. Vous dans la société, marchez dans la rue sans vous faire voler.
Vous vous promenez dans la rue et vous dormez dans votre logement et le
lendemain vous vous éveillez – tous ces besoins, la sécurité ne peut protéger
complètement les gens. Ils disent qu’ils payent trop d’impôts mais ils ne se
plaignent pas de pouvoir laisser leur porte d’entrée ouverte et de se réveiller
le lendemain matin avec tous leurs meubles toujours en place.
Donc, à une plus
grande échelle, nous avons besoin d’officiers de sécurité pour nous conseiller,
pour conseiller les gouvernements de ce qui est à venir et de ce qu’il faut
préparer à l’avance. Nous n’avons pas besoin d’être les dépositaires de
l’information. Nous avons juste besoin d’un temps d’avance. C’est comme avec la
clé USB. Nous avons donné la clé aux gouvernements il y a un an et demi et
maintenant elle est aux mains des gens. Ce délai d’avance, a permis à ces gouvernements de mener des études et recherches, comme ce
qui est à venir. C’est nécessaire. J’ai le plus grand respect pour les forces
de l’ordre nationales, qu’il s’agisse de la police ou de forces nationales car
sans elles, il n’y aurait pas de pays, pas de nations et nous serions en
danger. Nous voyons ce qui se passe lorsque l’anarchie s’installe.
Donc nous avons besoin
de gens qui comprennent et possèdent de bonnes connaissances en plasma de
l’espace profond. Il y a peut-être 20 personnes de ce profil dans le monde. Pas
beaucoup. J’en connais deux. L’une d’entre elles est à la NASA et aurait adoré
se joindre à nous. Je sais qu’elle nous rejoindra si nous ouvrons la porte de
la bonne manière au gouvernement américain. Parce que dans le futur, la vitesse
sera tellement élevée que nous devons comprendre la situation du plasma au
point de destination, et ces personnes le comprennent. Il s’agit d’un talent et
de connaissances particulières. Nous avons un homme en Amérique, à la NASA, qui
détient le record de longueur et de sorties dans l’espace : 1:26:36. Il
est originaire d’Amérique centrale. Il sait de qui je parle. J’ai beaucoup de
respect pour lui. Il est responsable du programme de propulsion par plasma de
la NASA. Des gens comme lui qui collaborent à de tels programmes sont un
atout pour l’humanité – pas pour la Fondation car la connaissance appartient à
tout le monde. J’ai beaucoup d’admiration pour lui parce que je sais qu’il peut
nous apporter beaucoup de connaissances sur l’apesanteur.
D’un autre côté, nous
avons beaucoup besoin des Russes, parce que la technologie spatiale russe est
très, très évoluée. Elle a au moins 20 à 25 ans d’avance sur la NASA. Je les
connais. J’ai travaillé avec eux. J’ai travaillé en étroite collaboration avec ces personnes.
La réalité est que
nous avons besoin de tout le monde. Nous avons besoin de personnels qui savent
fabriquer des sièges. Nous ne pouvons pas asseoir 500 personnes par terre. C’est
ça la réalité. Nous avons besoin de talents dans tous les domaines de la
connaissance. Nous n’utilisons pas d’amortisseurs dans ces appareils. Nous
avons besoin de positionnement magnétique, de positionnement magnétique par
rapport à une surface. C’est un défi pour les Russes. Ils l’ont magnifiquement
développé.
Nous avons besoin de
tout. Il ne s’agit plus de nous. Maintenant avec la diffusion de ces brevets,
c’est à l’humanité de décider comment ils veulent fabriquer le premier Vaisseau
de Noé. Nous l’appelons le Vaisseau de Noé. En l’honneur du premier vaisseau
spatial qui peut nous emmener à travers et au-delà de l’espace. Peut être
est-ce à cause de la cupidité humaine qu’il y a tant de choses que nous ne
savons pas. Nous nous battons pour rien.
Nous avons besoin
d’une structure très rapidement qui passe par les gouvernements et les
Nations-Unies – je ne sais pas qui ou combien de gens peuvent quitter cette
planète. Ce sera un cauchemar.
KC: Que
voulez-vous dire ? Je ne comprends pas. Vous voulez savoir combien de gens
peuvent quitter la planète ?
MK: Très bientôt. Je peux voir l’avenir. Dans les prochains 10 à 15 ans … Comme je le dis toujours, le père au fond du village africain est heureux là où il est. L’homme dans les rues de New York est heureux d’avoir un toit sur la tête. Ce sont les gens riches et les scientifiques qui veulent voir ce qui se passe aux Bahamas et ce que cela fait d’être dans la jungle amazonienne, et ils dépensent de l’argent pour cela. Maintenant, les jungles de l’Amazone et les Bahamas vont devenir Vénus et d’autres systèmes planétaires. Ce n’est pas un conte de fées. C’est ce qui va devenir une réalité à la fin de cette année si l’humanité travaille ensemble. Nous rassemblons les chercheurs. Nous demandons l’aide de 25 chercheurs supplémentaires qui sont essentiellement des théoriciens. Nous pouvons rassembler notre travail sous forme digitale dans un laboratoire, sous une forme mathématique afin que chacun puisse répéter le même processus.
Alors que ces
scientifiques feront de plus en plus de découvertes, nous pourrons mettre un
réacteur dans la voiture et finir sur Mars demain matin. Ce ne sera plus un
vaisseau spatial. N’importe quelle voiture peut voler si vous la mettez sur un
tapis volant. Vous connaissez les tapis volants ; ils sont maintenant une
réalité. Le tapis volant est une réalité. Nous allions faire la démonstration
de la première voiture volante le 26 novembre à Eindhoven il y a deux ou trois
ans, mais nous en avons été empêchés par les mêmes personnes, dont M. Hans Bracquené.
Ils sont venus chez moi. Ils sont venus dans mon laboratoire en Belgique.
Lorsque je leur ai montré, je leur ai dit : « J’ai un problème. Je
dois montrer cette voiture volante demain à Eindhoven. » Et il m’a
répondu « Avez-vous un permis de pilotage ? Sinon, vous ne
pouvez pas le faire. » Ils ont confisqué tout le matériel de mon
laboratoire.
Personne n’a saisi
l’importance de ce qu’ils essayaient de faire. Ils n’étaient pas venus
simplement pour confisquer le matériel. Si vous confisquez de la drogue
illégale, vous la saisissez, vous mettez la drogue à l’abri et arrêtez le gars.
Vous ne venez pas dans le laboratoire d’un scientifique pour confisquer et
mettre à l’abri son matériel nucléaire, vous le laissez dans son laboratoire et
vous vous en allez. Donc à l’évidence, c’était un coup monté. J’ai tous les
courriers à ce sujet du centre nucléaire belge. Et la police, quand elle est
partie, elle le savait. C’était juste pour nous discréditer, m’ont-ils dit.
Nous leur avons montré tous les plans d’affaires qui ont été établis à la
demande du gouvernement flamand par Price Waterhouse en Belgique pour la
construction des premiers réacteurs spatiaux et les réacteurs médicaux en 2009
dans l’usine General Motors en Belgique. Et j’ai même quelque part une lettre
de M. White qui était alors le président par intérim de General Motors pendant
la crise de la faillite de GM, pour la reprise de l’usine. Nos réacteurs, notre
technologie a déjà été rendue publique en 2005 et 2006. Et cela ennuyait le
gouvernement belge que la partie flamande voulait les produire. Et quand M.
Hans Bracquené l’a découvert, il l’a bloqué. Ils ont menacé un tas de
ministres. S’ils voulaient continuer avec nous, ils auraient été démis de leurs
fonctions.
Et maintenant ils font la même chose en
Italie. Je ne vais pas me réfugier dans des ambassades, mais j’ai envoyé un
message directement à Sa Sainteté le Pape : faites de ma maison une
église. Personne ne va dans une église pour y faire le mal. Vous savez, les
prêtres qui violent des enfants ou autre, ils se réfugient dans l’église et
personne ne vient les y arrêter parce que c’est une demeure de dieu. Cette
maison est une maison de dieu. Les gens y viennent pour expérimenter et
apprendre comment sauver l’humanité. Je suis en Italie. Je demande au Vatican
de faire de ma maison une église afin que je sois intouchable. Nous en avons
besoin. Le pape le sait.
Laissez-moi vous dire
à quel point la fondation de l’église est puissante. Le Vatican peut le nier.
Nous n’en avons jamais parlé publiquement, mais laissons le Vatican le nier. A
l’heure de l’intronisation du pape actuel, au cours de la cérémonie où il est
devenu pape, le Traité de Paix de la Fondation Keshe a été transmis. Donc, le
pape actuel a lu le traité de paix, le traité de paix mondial. Et dans ses
communications, nous l’entendons mentionner des parties du traité de la
Fondation Keshe qui ont fait l’objet de discussions et de commentaires écrits.
Donc, notre travail est déjà dans la structure du pouvoir. Et le Vatican sait
où nous sommes et qui nous sommes. La Fondation Keshe dispose de soutiens au
sein des gouvernements. Les quatre parties du traité de paix, du traité de paix
mondial, qui a été transmis à Son Excellence le Président Obama, a également
été transmis en Iran au président iranien, à Son Eminence Ali Khamenei, ainsi
qu’au Premier Ministre japonais. Il a été transmis par ses proches
collaborateurs au pape, alors qu’il était déjà intronisé. Il n’a pas attendu de
voir venir. Nous avons des gens hautement influents.
Donc le pape est au
courant. Faites de ma maison une église. Une église, une maison de dieu, est
intouchable parce que nous enseignons l’unité, l’amitié et la paix. Donc c’est
une maison de dieu. Si j’étais musulman, nous ferions de même. Faites-en un
endroit sacré parce que nous enseignons aux chrétiens, aux juifs, aux
musulmans, aux bouddhistes.
Donc d’une certaine
manière, au point où nous en sommes avec nos chercheurs, nous sommes devenus la
maison des nations. Nous déjeunons ensemble. C’est très étrange. Vous savez, mes
chercheurs peuvent vous en parler. Personne n’a jamais vu une telle
organisation. Nous n’avons pas de tableau noir. Mon épouse fait en sorte qu’ils
se sentent chez eux. Ils cuisinent, ils déjeunent. Nous devons leur dire :
« Pouvez-vous s’il vous plaît rentrer chez vous ? » Ils restent
ici jusqu’à 10 ou 11 heures du soir, et ils commencent à 9 heures du matin. Ils
apprécient l’unité de l’homme dans la science et la technologie. Ils n’ont pas
d’inhibition. Ils ne dissimulent rien de ce qu’ils apprennent et de ce qu’ils
pensent et comment ils apprennent les uns des autres. Notre chercheuse
japonaise cuisine pour eux tous comme une mère. Quand elle n’est pas là, ils
cuisinent les uns pour les autres. Et ils s’occupent les uns des autres, comme
nous vivons dans l’espace. Ils sont littéralement dans un espace à eux. Nous
fermons les portes et personne n’entre. Ils vivent, ils travaillent. C’est
comme cela que cela doit se passer. Nous devons accepter cela comme une éthique,
nous devenons l’éthique de l’homme dans l’espace. Dans l’espace, quand vous
êtes dans un vaisseau spatial et que vous voyagez et que vous arrivez dans
différents endroits, vous ne pouvez pas vendre un palace et vous ne pouvez pas
vous acheter une Rolls Royce, même pas une rose fanée. Il y a à peine assez de
place dans un vaisseau spatial pour y vivre. Voilà les réalités que nous
voyons. Mon épouse cuisine pour eux. Dans quel institut existe-t-il une chose
pareille ? La semaine dernière, ils étaient à court d’oreillers et de
couvertures. Elle a fait en sorte qu’ils aient le confort nécessaire lorsqu’ils
sont rentrés chez eux. Nous nous en occupons comme de nos propres enfants, même
s’ils sont grand-pères et pères et mères. Nous avons apporté l’essence de
l’unité dans notre travail. Et ils le sentent. Nous devons les maintenir hors
d’ici parce que nous avons besoin de temps pour réfléchir et pour développer.
Ceci est une maison
du savoir. C’est devenu La Mecque de la paix, de l’unité, et de la connaissance,
et nous la conservons comme telle. A ceux qui veulent nous nuire et à ceux qui
savent comment nous protéger : vous permettez à un prêtre ayant abusé d’un
enfant de rester dans une église parce que c’est une église dans laquelle
personne ne peut entrer. C’est la maison de dieu. Je demande au pape de nous
écouter. Nous savons qu’il nous entend ; (« Nous écoutons ce que vous
dites habituellement. ») Faites de cet endroit un endroit sacré. Faites-en
une église. Et alors la connaissance sera libérée. Nous avons donné la
technologie du réacteur spatial et du réacteur du vaisseau gratuitement aux
Italiens. Sans conditions. J’ai donné la technologie pour Fukushima à tester
par le laboratoire, gratuitement. C’est ma demeure. Je vis ici et je ne fais
aucune différence entre ici et Téhéran ou quand j’étais en Belgique. En
Belgique, ils nous ont trompés. En Iran, ils utilisent la technologie comme ils
veulent. Nous avons offert la technologie pour trouver l’avion qui a disparu.
Je pense à cet enfant qui attend son papa qui était à bord de cet appareil.
Nous ne savons pas où il se trouve. Je pense à la mère qui attend que le père
de ses enfants rentre à la maison pour les retrouver. Il n’y a pas de
différence. Je suis un père ; je suis un fils. Je suis le même. Je suis un
parent, et c’est ainsi que cela doit être.
Cette cupidité doit
disparaître et la seule manière qu’elle disparaisse est la manière dont nous
acceptons les abus. Je regardais (…) à la télévision nationale japonaise hier.
J’ai dit à ma femme : « J’ai honte de regarder ce programme mais je
dois le regarder pour comprendre comment l’homme abuse de l’homme. » Une
des principales entreprises – comme vous le savez au Japon il n’y a pas eu
d’augmentation de salaire depuis douze ans parce qu’ils ne peuvent tout
simplement pas se le permettre. Et la grande entreprise en question écrit à son
sous-traitant : « Nous aimerions que vous baissiez vos prix de 2,5%
en 2014. » Et ce gars avec ses 25 ouvriers doit trouver un moyen de ne pas
augmenter les salaires de ses employés bien que les prix augmentent, pour être
capable de faire juste 0,5% de bénéfice annuel pour satisfaire la grande entreprise,
qui veut maintenant lui imposer une réduction pour garantir ses profits. Et la
même entreprise annonce des profits de plusieurs milliards au marché. Qui vole
qui ? Voilà la stupidité de cette situation. L’homme qui produit la chose
doit crever de faim, est incapable d’éduquer ses enfants comme il le désire.
Dans la grande entreprise, le dirigeant dit : « je suis un homme intelligent.
Je n’ai pas besoin de répondre au marché. J’ai besoin de répondre au marché et
de faire un milliard de profit en plus. Mais en faisant un milliard de plus,
j’ai privé un homme de son travail. »
J’ai un très bon ami,
un homme que je connais très bien, et d’un côté il est bon de le connaître, et
de l’autre il n’est pas bon de le connaître du point de vue des affaires, il
s’appelle Philip Green. C’est un conseiller de l’actuel Premier Ministre anglais.
En 1990 Philip Green possédait en Angleterre une société appelée WW. Les
actions de la société étaient cotées en Bourse. Il a annoncé qu’il allait faire
tant de profit et il a raté l’objectif d’un demi million, et ils l’ont viré en
lui disant : « Vous avez dit que vous alliez faire un demi-million de
plus et vous avez fait moins, donc vous n’êtes pas assez bon. » Et il est
parti en se faisant une promesse après avoir été viré (il a fait un excellent
profit) : « Je ne vais plus me mettre entre les mains du marché où
les gens font la loi et abusent de moi. » Il est maintenant un des hommes
les plus riches d’Angleterre ou d’Europe, parce qu’il a tenu le marché et la
bourse à l’écart de ses affaires. Il possède tout ce qu’il a. Il est arrivé au
point maintenant où il est un conseiller du Premier Ministre.
Donc ces exploiteurs
ont été habitués aux gens intelligents comme Philip Green. Il s’en sort et se
met en situation de ne plus être maltraité. (…)
Il est très
intéressant de noter comment l’homme dit : « Si je pouvais gagner 15
dollars par semaine de plus, je pourrais mettre mon enfant à l’école ou acheter
une paire de chaussures de plus. » Cela lui est refusé parce que
l’entreprise ne peut pas le payer à cause des 2,5% de réduction des prix, et le
dirigeant de la grosse société est fier d’annoncer une augmentation des profits
en volant son propre personnel.
Et cela c’est au
Japon. Vous pouvez voir cela partout, en Amérique et en Afrique ; et c’est
pareil partout.
KC: Nous
avons quelques questions supplémentaires que j’aimerai vous poser. Etes-vous
d’accord ?
MK: Sans problème. J’ai un peu de temps – au moins tant que je reste en vie ! Et alors il sera trop tard pour les questions. Vous savez où vous adresser. Vous demanderez au roi des Belges et à son entourage.
KC: Nous
faisons cette émission pour vous protéger, ainsi que votre vie et pour informer
sur ce que vous faites, et nous voulons vous remercier pour tous les services
que vous rendez à l’humanité.
Quelqu’un demande si
vous ne pouvez pas protéger votre famille en l’envoyant dans l’espace avec le
système Magravs ?
MK: Je peux envoyer ma famille dans des endroits que vous ne pouvez même pas imaginer ! Nous sommes libres de nous déplacer. Mon épouse connaît exactement notre responsabilité ; j’ai annoncé à la fin des années 1990 quelle était ma situation et ce que je devais faire. Nous ne faisons pas les choses parce que je suis obstiné. Nous faisons les choses parce que notre souffrance libérera l’homme de toutes les difficultés qu’il a rencontrées dans sa vie.
KC: Quelqu’un demande s’il y a un endroit où on peut acheter un générateur Keshe aujourd’hui pour alimenter une maison en énergie ?
MK: Oui, il s’appelle “Allez au Forum de la Fondation Keshe et fabriquez-en un vous-même ». Ou vous attendez qu’un modèle sûr soit distribué par les Italiens, qui en assurent la production, ou vous attendez qu’ils le distribuent en masse parce que le générateur n’est plus entre nos mains. Nous l’avons offert aux Italiens. Quand ils l’ont produit, nous leur avons donné environ 50 à 60 exemplaires et le reste vous devrez l’acheter à votre propre gouvernement.
Il y a quelque chose
que je continue à dire et que les gens ne comprennent pas. Chaque vente de
générateur à une fondation Keshe ou à toute autre organisation sera déclarée à
votre gouvernement pour être taxée. Il doit en être ainsi. Il n’y a pas
d’énergie gratuite. Qui va payer l’école de votre enfant ou les médecins des
hôpitaux et l’entretien des routes ? L’énergie qui est utilisée
actuellement paie en partie ces dépenses. Lorsque nous achetons de l’essence à
une station-service, 52 cents de chaque dollar dépensé est de la taxe qui paie
quelque chose, même si nous ne le voyons pas. Vous dites que le gouvernement
nous vole et fait ceci et cela, qu’ils achètent leur yachts privés – et
pourtant vous payez. A la fin, quelqu’un doit venir pour nettoyer la chaussée
pour qu’elle soit propre quand vous y marchez et y roulez.
Donc nous payons pour
chaque unité, nous ne voulons pas devenir une organisation-voyou qui fait de
l’évasion fiscale ou autre. Les gouvernements seront au courant et vous pourrez
venir le constater. Les gens iront à la banque et verront que j’ai tant
d’unités. Que devrais-je payer ou que devrais-je faire de plus pour compenser
ce que j’ai reçu ?
Vous savez quoi ? Vous parlez d’énergie
gratuite. J’aimerais voir dans 20 ou 30 ans lorsque vous voudrez avoir un
hôpital gratuit et qu’on ne pourra pas rémunérer les médecins et les infirmières
qui vont s’occuper de vous lorsque vous serez atteint de la maladie
d’Alzheimer. Rien ne sera gratuit à moins que vous ne soyez prêt à apporter
votre contribution à la société parce que le bénéficiaire c’est vous. Ce mot
d’énergie gratuite (jeu de mot sur free qui signifie à la fois libre et gratuit
en anglais, ndt), tout gratuit est un mot fantastique. Mais savez-vous ce qu’il
cache ? Vous achetez l’esclavage en quelques mois ou quelques semaines,
parce que s’il n’y a plus d’argent public pour payer le médecin, alors les
médecins sauront que vous devrez payer 300 000 ou 400 000 dollars
pour une opération. Où trouverez-vous cet argent ? Vous pouvez fabriquer
de l’or. Cela vous pouvez le faire également.
Je pense que les
choses vont changer lorsque l’homme comprendra sa vie, très bientôt. Très, très
bientôt ! Le service à l’humanité et être au service de l’humanité
deviendront la fierté et la joie de l’homme, non le nombre de voitures que vous
conduisez. Très bientôt, l’humanité aura assez d’or, assez de diamants, assez
de palaces où que vous alliez. Cela va changer.
KC: Quelqu’un demande si le gouvernement japonais est impliqué dans l’utilisation de la technologie pour Fukushima que vous leur offrez.
KC: Quelqu’un demande si le gouvernement japonais est impliqué dans l’utilisation de la technologie pour Fukushima que vous leur offrez.
MK: Le matériel pour Fukushima part pour le Japon le week-end prochain. Les chercheurs le produisent et si je suis bien informé et que j’ai bien compris notre collègue chercheuse japonaise, ils ont donné les matériaux contaminés à deux groupes au Japon. Ces deux groupes vont tester indépendamment le matériel que nous leur envoyons. Donc nous allons le surveiller d’ici, et là-bas ils vont le faire indépendamment au Japon.
Vous devez
comprendre, nous produisons des nanomatériaux qui sont vérifiés par des
instituts qui vont en déterminer le rythme de production, et en même temps les
scientifiques du monde entier, et particulièrement en Russie, ont publié des
articles au cours des deux ou trois derniers mois sur la manière dont les
nanomatériaux créent la séparation du matériel radioactif. En raison des coûts
des expériences, cela s’est avéré impossible à vérifier. Nous leur avons montré
comment cela pouvait être réalisé à peu de frais. C’est la seule différence
entre nous et les autres. Nous allons réaliser les essais au cours des deux
prochaines semaines et je suis sûr que nos chercheurs vont leur montrer ce qui
ne va pas.
KC: D’accord, mais vous nous dites que le gouvernement japonais ne travaille pas avec eux en ce moment, n’est-ce-pas ?
MK: Nous ne pouvons pas obtenir de matériel nucléaire à tester, de matériel contaminé, sans autorisation du gouvernement. C’est fait de la manière qu’ils ont prévu, non de celle que nous préconisons. En même temps, nous atteignons le même but. Je pense que les 24, 25, 26 et 27, nos chercheurs vont organiser des séances avec les deux groupes qui sont définis et pourvus en matériel par TEPCO ou le gouvernement japonais pour tester indépendamment le matériel qu’elle emporte avec elle. S’il est correct et qu’ils annoncent leurs résultats, ils sauront plus ou moins en direct s’il marche, ou si nous devons remplacer le matériel si l’effet est inférieur ou supérieur. Alors nous verrons si la prochaine étape se passera avec le gouvernement japonais et TEPCO. Il s’agit d’une collaboration entre le gouvernement, le privé et l’institutionnel.
Laissez-moi vous
expliquer, il y a 700 soumissions différentes à TEPCO pour aider à la
décontamination de Fukushima. Nous ne sommes pas le seul groupe. Donc, ils ne
peuvent pas plaisanter avec cela. Ils doivent faire un état des lieux. Si c’est
correct, alors le prochain ( ?).
KC: Y
a-t-il des réacteurs en Iran qui utilisent votre technologie, et croyez-vous
que c’est pour cette raison qu’Israël veut les attaquer ?
MK: C’est
une vieille histoire. C’était il y a 20 ans. Vous savez ce que j’ai dit, et
cela a été bien compris à Tel-Aviv, j’ai dit que du point de vue iranien, et
les Israéliens et Washington l’ont compris très clairement, nous sommes tous
amis et frères. Si un ami vous offre un cadeau et que vous avez déjà le même
cadeau chez vous ou que vous n’avez pas besoin du cadeau parce que vous n’avez
pas de place, que faites-vous ? Parce que c’est un ami vous le rendez en
disant que vous n’avez pas la place dans la maison ? Peut être en
avez-vous l’usage dans votre propre maison. Merci beaucoup pour votre cadeau.
C’est la même chose.
Lorsque les Israéliens ou les Américains ou toute autre nation envoient des
missiles intercontinentaux sur l’Iran, nous n’en avons pas besoin, mais nous
disposons de la technologie pour les capturer de la manière dont nous avons
capturé un drone espion il y a deux ans. Qu’allez-vous faire ?
Vous le renvoyez à
l’ami parce que nous n’en avons pas besoin chez nous. Nous n’avons pas de place
pour des têtes nucléaires, mais nous pouvons les capturer.
La question est, où
aimeriez-vous les recevoir, à Washington ou à Tel-Aviv ? Ils doivent retourner
chez l’ami. Donc des attaques de têtes nucléaires sur l’Iran, vu la manière
dont nous montrons combien il est facile de capturer ces ogives très évoluées
dans l’espace. Ces drones sont surveillés par huit satellites et contrôlés
uniquement par le système interne d’autodestruction et personne ne peut les
capturer. Les drones capturés en Iran comportent des systèmes bien moins évolués
qu’eux.
Donc quand nous en
capturons, nous n’en avons pas besoin. Nous sommes une nation pacifique. Où
aimeriez-vous qu’elles aillent ? Elles retournent chez l’ami. Si vous
montrez quelque chose à quelqu’un ou vous donnez quelque chose à quelqu’un, si le
gars n’en a pas besoin, où puis-je le mettre chez moi ? Où aimeriez-vous
avoir les têtes nucléaires ? Si elles viennent de Tel-Aviv, elles
retournent à Tel-Aviv. Si elles viennent de Washington, elles retournent à
Washington. Maintenant est venu le temps de la paix. Nous avons la technologie.
Nous l’avons montrée et nous n’avons pas besoin de guerre. Tous ces jeux de
guerre sont terminés. Les gouvernements mondiaux le réalisent de plus en plus.
KC: Keshe, êtes-vous au courant du programme spatial secret ?
MK: A
la Fondation Keshe, nous n’en avons pas. Pour les autres, c’est leur problème.
KC: Donc vous n’êtes pas au courant ou vous ne voulez pas en parler ?
MK: Chaque nation a un programme. Cela dépend si vous voulez l’appeler secret. Je sais que quand je travaillais en Russie, au Kazakhstan, avec leur service de sécurité et leurs programmes. Ils voulaient que nous le sachions à cette époque. Je suis sûr que les Américains font pareil. Je suis sûr que les Chinois font pareil. Notre ami japonais du gouvernement est parfaitement au courant de mon point de vue sur l’explosion des réacteurs 1 et 2 de Fukushima. J’ai très clairement exposé mon point de vue et j’en ai discuté avec un physicien nucléaire dans ce domaine très récemment au cours des dernières semaines. Nous sommes d’avis que l’explosion nucléaire des deux toits, en particulier du réacteur numéro 2, a été provoquée parce qu’il y avait du plutonium dans ces réacteurs. Le problème se pose comme : produisaient-ils du plutonium pour la technologie spatiale ou pour d’autres raisons ?
KC: Eh bien, quel est votre avis ?
MK: Je ne sais pas. Je le laisse à votre réflexion. En tant que physicien nucléaire, je sais exactement ce qu’il en est.
KC: D’accord, mais vous comprenez qu’il y a une situation politique sur la planète. Comprenez-vous également qu’il y a diverses races ET, à la fois sous et sur terre et des visiteurs d’autres planètes qui influencent nos gouvernements ?
MK: Il y a de la vie dans tous les coins de cet univers. Et la communauté universelle est assez semblable à la communauté humaine. Nous avons ce que vous appelez « les nations terribles » et nous avons ce que vous appelez « des nations évoluées ». Nous avons des familles qui ont des enfants à la maternelle, et nous avons des fermiers, des professeurs et des médecins. Donc, il y a ceux qui en comprennent davantage, qui nous en ont appris plus et d’autres qui ont eu besoin de nos conseils. Et il y a ceux qui maltraitent et ceux qui essaient d’apporter leur aide à tous. La compréhension, comme je ne cesse de l’expliquer à mes chercheurs, n’est pas l’apanage de cette planète ! Nous faisons partie de cette structure.
Donc, comme je l’ai
expliqué dans une de mes interventions, ceci est la troisième tentative que
nous faisons sur cette planète et ce sera la dernière parce que la race humaine
a assez gagné en maturité intellectuelle pour être capable de franchir le pas
vers la communauté universelle. Dans le passé il régnait une mentalité de
fermiers durant des milliers d’années. Maintenant la compréhension parmi un
grand nombre de membres de la race humaine est suffisante pour faire ce pas. Le
reste suivra. Un homme en Afrique ou un homme en Chine ou un homme dans les
villages du Royaume-Uni n’a aucun intérêt à ce qui se passe dans les
galaxies. Mais certains scientifiques
oui et c’est ce qui donnera le droit d’entrée au peuple, et une partie de notre
travail à la Fondation Keshe est ce processus, de fournir la technologie qui
permet maintenant à l’homme de comprendre dans le langage de l’homme.
KC: Keshe, êtes-vous en contact avec des êtres d’autres planètes ? Vous aident-ils dans votre fondation ?
MK: Pas
vraiment, mais nous faisons partie d’un même tout. La connaissance que nous
transmettons et celle que nous avons diffusée fait partie de cette structure de
l’organisation plus large. Nous comprenons l’organisation, et qu’il y a des
enseignants pour ce temps, et que ceci fait partie de l’enseignement. Nous
l’appelons « Le Messie va venir et il y aura abondance de tout. »
Nous l’appelons « Le Messie va venir et apporter du miel et de la
nourriture et la justice. » Ils l’ont déjà reçu, ils n’ont qu’à ouvrir les
yeux, particulièrement au cours des dernières 24 heures.
KC: Quelqu’un pose une question sur la bio-accumulation. Cela vous dit-il quelque chose ?
MK: Non, je n’y connais rien en biologie. En fait, je comprends beaucoup de choses sur la biologie, mais du point de vue nucléaire, plasmatique et non physique.
KC: Quelle est la réaction du gouvernement américain ? A-t-il été en contact avec vous ou êtes-vous en contact en coulisse avec un membre du gouvernement qui vous aide ?
MK: Il y a eu un contact de la part de l’Ambassade américaine en janvier de cette année pour me dire « M. Keshe, votre demande de visa (qui a été faite pour moi par la NASA pour que j’y fasse une conférence) a été refusée. Le gouvernement américain ne veut pas vous voir sur son territoire. » De façon assez étrange, très, très étrange, j’ai reçu une lettre personnelle du président des Etats-Unis. Je vais vous la lire, elle est très intéressante.
La lettre dit – c’est
une lettre personnelle car elle ne porte pas l’emblème de la Maison Blanche –
elle dit « Cher Mehran, merci. » Et à la fin elle dit encore une fois
« Encore merci d’avoir écrit. Sincèrement vôtre, Barack Obama. » Et dans
la lettre, il indique quelle sera la position du gouvernement américain dans
son rôle de Président de protéger sa nation, et comment il définit plus ou
moins la manière dont les pourparlers de paix avec l’Iran doivent se dérouler.
La lettre est datée du 24 juillet 2013.
Donc le gouvernement
américain et le président américain savent exactement où nous sommes. La lettre
ne comporte pas de référence parce qu’il s’agit d’une lettre à titre privé.
Donc, savez-vous ce que les Américains veulent faire à présent ?
Savent-ils où nous sommes ? Parce que la Maison Blanche voulait la clé
pour le 28 novembre. Elle était devant lui. Le conseil américain. La lettre est
datée du 6 novembre 2012 et c’était la date de l’élection américaine. Elle
émane de l’Ambassade des Etats-Unis en Belgique. Donc ils savent exactement où
nous sommes et ils savent que notre main est tendue pour la paix. Ils doivent
juste respecter l’Iran et respecter toute notre technologie. (un froissement du
papier couvre la voix)
Dans cette pile de
documents j’ai un courriel qui dit « je peux vous confirmer que la clé
USB … a été livrée au bureau administratif de la NASA pour examen. Vos
connaissances sont égales à celles de la technologie spatiale de la
NASA. » Je l’ai reçu au cours des dernières 24 heures de la part des
personnes de Taïwan. Si vous aviez diffusé l’information, ils l’auraient fait
suivre pour vous créer des problèmes. A présent c’est fait par la population
mondiale pour vous, les uns les autres, donc elle doit être aux mains du monde.
Nous devons attendre et voir ce que fait la NASA. J’ai envoyé une lettre
d’invitation au patron d’une partie du laboratoire de propulsion, M. Nelson,
qui par hasard est le titulaire … je n’ai pas publié son nom parce que le point
introductif sur ce côté de la conférence, qui était la raison de son
organisation, était fait par Sterling Allan, et dans la dernière interview il a
mis la photo de M. Nelson du laboratoire de propulsion, dont il est un des
chefs. Nous avons dû la publier dans une deuxième édition, mais il a gardé la
première édition. La NASA sait exactement où nous sommes.
J’ai besoin que vous
compreniez pourquoi nous ne pouvons pas travailler avec la NASA. Nous leur
avons envoyé un courriel qu’ils affirment ne pas avoir reçu. Il disait :
« Vous avez raison ; je n’ai pas reçu les courriels à mon adresse
professionnelle. Nous avons rencontré des problèmes de courriels spam qui ont
fort probablement éliminé votre courriel. Je vais le vérifier demain. » Et
dans les courriels suivants il dit qu’ils ont découvert que quelqu’un a lancé
de fausses accusations à l’encontre de personnes à la NASA, de bloquer toute
communication vers la NASA envoyé de la Fondation Keshe. Donc quelqu’un de
haut-placé dans la hiérarchie de la NASA – ils ont trouvé qui c’était, et la
femme qui était supposée être à l’origine des accusations a dit « Je n’en
avais aucune idée. Quelqu’un a dû faire une saisie erronée. » Tout est
noir sur blanc.
L’arnaque se poursuit
à travers tout le système, mais je pense qu’il est prêt maintenant. Donc je
pense que nous allons utiliser la NASA dans un but différent, plus comme une
bibliothèque que pour la technologie spatiale. Parce qu’ils ont tellement
d’informations sur l’Espace, et que la propulsion par fusée est devenue
obsolète. Mais nous allons les utiliser comme bibliothèque et je pense très
bientôt … Je ne sais pas si vous saviez que le Vietnam a maintenant un
ministère de l’espace et je les ai rencontrés lors d’une réunion en Belgique
très récemment.
KC: Keshe, excusez-moi, mais il y a un tas de bruits de papiers qu’on déplace qui couvrent votre voix. Je ne sais pas d’où ils viennent, mais ils sont captés par votre micro. Pourriez-vous répéter quel est ce ministère de l’espace dont vous parliez ?
MK: Le gouvernement vietnamien a maintenant un programme spatial et j’ai rencontré les scientifiques à l’Ambassade vietnamienne à Bruxelles avant que je parte, donc il se peut qu’ils soient dans l’espace profond avant la NASA parce que la NASA nie et continue à nier, et ne bougera pas, mais les Vietnamiens vont se mettre au travail. Nous avons les ministres et les responsables parlementaires de l’espace des pays asiatiques qui viendront au centre avec une délégation de 22 personnes, et pour (…) Je pense que bientôt le continent asiatique aura plus de personnes dans l’espace que la NASA.
KC: Nous sommes très conscients que la NASA n’est pas vraiment le programme spatial. C’est ce que vous appelez une organisation de façade. Mais j’apprécie les gens qui …
MK: Ils ont beaucoup de valeur ! Ils ont vraiment de la valeur. Ils ont un tas de connaissances.
KC: Oui, c’est certain.
MK: Ils ont un tas de connaissances. J’ai beaucoup de respect pour eux.
KC: Je comprends.
MK: Vous savez quoi ? Je suis le seul physicien nucléaire impliqué dans la recherche spatiale qui soit exclu du forum de la NASA. Ce sont eux qui m’ont exclu. C’est dire leur degré d’évolution. Aussi longtemps qu’ils maintiendront leurs scientifiques dans l’ignorance, cela ira bien pour eux.
KC: C’est vrai. La NASA comprend le JPL (le Jet Propulsion Laboratory, ndt) et aussi CalTech (California Institute of Technology, ndt) et également d’autres organisations. Vous connaissez certainement l’œuvre de Nikola Tesla. Etes-vous inspiré par certains de ses travaux ?
MK: Cela
peut sembler ignorant de ma part de l’avouer: je n’ai jamais travaillé sur ou
étudié les travaux de Tesla. J’ai bien sûr entendu parler de lui au cours de
mes études. J’ai donné une conférence en Allemagne et un monsieur est venu vers
moi en se présentant comme le professeur Meyl, qui est un promoteur bien connu
de Tesla. Il m’a invité en Allemagne le mois suivant. J’y suis allé et je suis
resté deux jours avec lui et son épouse. Il m’a expliqué l’œuvre de Tesla, et
je lui ai expliqué la mienne. Et ensuite nous l’avons rencontré au Centre de la
Fondation Keshe. Tesla rencontre Keshe. C’était une conférence très connue au
Centre de la Fondation Keshe, et si vous regardez du côté de Sterling Allan, il
a tout laissé tomber en Amérique pour assister à cette conférence, mais il est
arrivé en retard. Il y a une photo sur son site web avec moi, Sterling Allan et
le Professeur Meyl.
C’est ce que j’ai
compris de ce que faisait Tesla. Je dis que je comprends le travail de Tesla et
le travail de Tesla concerne la matière. Mon travail concerne le plasma. C’est
totalement différent. C’est à une échelle inférieure ; lorsque vous
arrivez à la base de l’échelle du champ magnétique, vous arrivez à la matière.
Tesla a compris le fonctionnement du niveau matériel du champ magnétique, où
nous travaillons avec le champ gravitationnel et magnétique, qui consiste en
répulsion et absorption. Le professeur Meyl l’appelle onde scalaire. Tesla
travaillait avec le champ magnétique, qui est ce que nous appelons répulsion,
et que le professeur Meyl appelle une onde scalaire, et que nous appelons gravitationnelle.
Chacun travaille sur différents aspects, mais avec le plasma nous travaillons
avec ce qui crée tout cela. En un sens, le travail de Tesla est comme un enfant
construisant une voiture lorsqu’il a un ou deux ans ou à la maternelle. Nous
travaillons au niveau des docteurs en physique et des professeurs parce que
nous envisageons tous les aspects du spectre.
Mais Tesla a fait un
travail énorme. J’ai jeté un œil à certains des ouvrages de Meyl et certaines
des choses qu’il a réalisées. Et en un sens, j’ai même besoin d’aide. J’ai
consacré 8000 euros de l’argent de la fondation pour acheter deux unités Tesla
au professeur Meyl, en les réservant aux gens qui viennent ici pour comprendre
la différence entre les Tesla et ce que nous faisons en tant que plasma, parce
qu’ils doivent comprendre la différence. Nous avons un générateur d’énergie et
un transformateur d’énergie. Donc je comprends Tesla, mais je n’ai jamais rien
lu de lui, mais j’ai travaillé avec ses systèmes.
KC: Merci pour cette réponse. Nous discutons depuis un bon bout de temps ici et je voudrais vous remercier énormément. Je pense que nous devrons bientôt arriver à la fin de cette émission. Y a-t-il quelque chose que vous aimeriez dire que vous n’avez pas eu l’occasion d’aborder ou ajouter quelque chose à ce que vous avez dit ? Pourriez-vous également communiquer l’URL du site et l’adresse courriel pour que les personnes qui vous intéressent et souhaitent vous écrire sur votre programme d’exploration spatiale ? Et pourriez-vous parler aux personnes de vos plans dans un proche avenir ?
KC: Merci pour cette réponse. Nous discutons depuis un bon bout de temps ici et je voudrais vous remercier énormément. Je pense que nous devrons bientôt arriver à la fin de cette émission. Y a-t-il quelque chose que vous aimeriez dire que vous n’avez pas eu l’occasion d’aborder ou ajouter quelque chose à ce que vous avez dit ? Pourriez-vous également communiquer l’URL du site et l’adresse courriel pour que les personnes qui vous intéressent et souhaitent vous écrire sur votre programme d’exploration spatiale ? Et pourriez-vous parler aux personnes de vos plans dans un proche avenir ?
MK: Premièrement, si vous voulez devenir membre de la Fondation Keshe, en tant que chercheur ou que vous vouliez devenir chercheur, nous recherchons 25 chercheurs entre mai et juin de cette année, nous recherchons des spécialistes dans le domaine des sciences spatiales théoriques capables de transcrire le travail en langage scientifique afin qu’il puisse être recopié.
Notre site web est www.keshefoundation.org
. Vous pouvez lire les livres que nous avons publiés. Vous pouvez acheter les
livres sur notre site. Nous sommes un programme de vaisseau spatial. Nous ne
sommes pas un programme spatial, ce qui signifie que nous n’avons pas besoin de
carburant en raison de la nouvelle technologie. Nous avons besoin de dons pour
construire le premier appareil spatial ou vaisseau spatial. Nous avons estimé
les coûts de la première production à environ 50-55 millions. Les chercheurs
qui le construisent et l’organisation qui le construit opèrent au sein de la
structure de la Fondation Keshe.
Nous avons besoin du
soutien total de personnes autour du monde pour livrer à la justice les gens
qui menacent actuellement la fondation. Nous disposons maintenant des preuves
du meurtre d’une scientifique, dont nous pouvons littéralement désigner les
auteurs. Si vous êtes un procureur, vous pouvez nous aider à commencer à ouvrir
un dossier d’instruction pour le monde et pour le reste, il s’agit de M. Hans
Bracquené qui fait partie de l’Agence spatiale européenne, de M. Delanoy qui
fait partie de la structure de sécurité de la police fédérale belge, et de
l’homme qui les couvre et qui a donné l’ordre de me tuer et finance l’opération
de ses propres deniers (nous disposons d’informations en ce sens), l’ex-roi des
Belges, dont l’épouse est par hasard italienne. Nous devons le faire. S’ils
sont (…) cela sera fait.
Il existe une grande
probabilité que je sois arrêté ou tué ou qu’il semble que je le sois ou que je
sois séparé de mes chercheurs et de mon épouse, et ensuite ils prévoient de
m’extorquer ce qu’ils veulent et dire que nous avons tort, je n’ai jamais
réfuté ce que j’ai fait. Donc, s’ils reviennent jamais et présentent leurs
excuses, ce n’est pas la peine. Il s’agit de la manière dont ils l’ont fait et
c’est celle avec laquelle ils procèdent.
Donc nous avons
besoin de la protection de tous ceux qui sont en capacité de le faire pour
rester libre en tant que fondation. Il y a une grande probabilité pour mon assassinat.
Il y a eu trois tentatives, et maintenant ils sont tellement frustrés que nous
ayons publié les noms, mais cela n’a pas d’importance pour eux. C’est devenu
leur objectif.
Mon message est très
simple. Nous avons besoin d’amener l’humanité à un stade, qui est la paix sans
aberration. Et si ma vie en est le prix, alors c’est en ordre. Ce n’est pas un
problème pour nous.
KC: Merci beaucoup, Keshe. Cela a été une excellente discussion et je suis très heureuse que vous ayez trouvé le temps de nous parler. Pourriez-vous annoncer le séminaire de jeudi afin que les gens puissent y assister si possible ?
MK: Le séminaire a lieu comme d’habitude. Chaque jeudi matin nous organisons un séminaire. Nous allons sur le Forum de la Fondation Keshe, et ils vous fourniront la plupart des liens ou vous contactez Rick Crammond, qui fait partie de la Fondation Keshe. Il organise tout ce qu’il faut pour les séminaires. Tout se passe en direct, donc vous pouvez poser des questions. Cette semaine le sujet sera le CO2, qui est développé et sera montré essentiellement par des vidéos réalisées par nos chercheurs. Ce matériel ira à Fukushima pour être testé pour l’absorption de la radioactivité. Et le prochain séminaire de jeudi prochain traitera des aspects médicaux des systèmes de santé que nous utiliserons dans l’espace.
La seule chose que je
dois répéter à nouveau : toutes ces choses que nous développons ne le sont
pas pour la terre. C’est pour l’espace afin d’être capable de produire du
matériel et veiller sur les gens. Et comme toujours, nous sommes là pour
terminer la construction du vaisseau de Noé cette année, le vaisseau spatial.
Nous devons faire les choses sur une base humaine.
KC: Merci pour tout cela. J’aimerai annoncer que si quelqu’un a une bonne idée de ce que Keshe a dit, en d’autres termes si vous avez un bagage scientifique, et que vous êtes capable de faire une transcription ou une rédaction écrite de ces procédures dont nous venons de parler, Camelot l’apprécierait énormément. Merci de m’écrire à kerry@projectcamelot.tv et dites-moi si vous êtes en mesure de le faire. Les gens demandent toujours la transcription. Il y a des gens qui les trouvent difficile à comprendre, à cause des accents et ainsi de suite. Mais je trouve que Keshe a été très clair ici, mais juste au cas où les gens auraient des difficultés à comprendre certaines de ses affirmations, nous pourrions les y aider.
MK: Puis-je ajouter une chose, s’il vous plaît ? Le traduire dans d’autres langues afin que cela ne reste pas dans les limites des groupes anglophones.
KC: Oui,
nous allons commencer par la transcription anglaise, et à partir de là nous procéderons
aux traductions dans les autres langues. Si quelqu’un veut traduire
immédiatement dans d’autres langues et en est capable, merci également de nous
contacter et de nous les envoyer. Nous vous remercions de nous y aider.
S’il vous plaît
envoyez des dons à la Fondation Keshe pour soutenir le travail de Keshe et leur
espoir de construire un vaisseau spatial. Vous l’appelez un navire de
Noé ?
MK: Un vaisseau de Noé.
KC: Un vaisseau de Noé. En outre, je désire vous remercier. S’il y a davantage d’informations que vous désirez communiquer au public, Keshe, vous êtes toujours le bienvenu. Nous pouvons toujours organiser une émission en direct à n’importe quel moment. Donc merci à vous.
MK: Merci beaucoup Kerry. Merci beaucoup pour votre temps et votre soutien.
[Transcription
anglaise révisée et noms vérifiés par Rick Crammond, organisateur des Keshe
Knowledge Seekers Workshops, les Séminaires de chercheurs de Keshe]
Traduction: Patrick/Isabelle
Membres du Galactic Channellings Translator Group.
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