Benjamin
Fulford – le 28 juillet 2014 : Mise à jour du reportage sur la société
secrète japonaise de la Yatagarasu ou de la Corneille à Trois Pattes.
Note
aux lecteurs : cette semaine marque le début de ma pause annuelle d’un
mois de mon activité sur internet. Pour cette raison, et jusqu’à l’édition du
25 août, les reportages ne couvriront que des sujets non sensibles.
La
Corneille à Trois Pattes est une ancienne société secrète japonaise basée à
Kyoto au Japon. La légende veut qu’une corneille à trois pattes ait guidé les
premiers habitants vers l’archipel japonais. C’est la raison pour laquelle la
corneille à trois pattes est un important symbole dans l’ancien Shintoïsme
japonais.
Les
dirigeants de cette société secrète se couvrent le visage de masques noirs
avant de donner leurs ordres aux gangsters Yakusa, aux politiciens et autres.
De plus, les gens appartenant à des lignées ancestrales associées au Yatagarasu
ne s’enregistrent pas à l’état civil gouvernemental. Ils reçoivent également un
enseignement particulier basé sur le Bouddhisme tibétain et le Shintoïsme
ésotérique.
L’écrivain
qui vous parle a été convié à une cérémonie d’initiation Yatagarasu jusque-là
réservée aux Empereurs. La famille impériale japonaise a cessé de participer à
ces cérémonies après que le Japon soit devenu une colonie sous l’ère Meiji*.
*Ere Meiji, ainsi nommée d’après l’empereur
Meiji Tenno (1852-1912) qui après l’écroulement du régime des shoguns, inaugura
une nouvelle ère en 1868, marquée par la volonté de réforme et d’occidentalisation.(NdT.)
Tous
les participants à la cérémonie sont vêtus d’un kimono tout blanc. Seul le
prêtre shintoïste présidant la cérémonie portait le pourpre en plus du blanc.
C’est intéressant parce que le pourpre est la couleur traditionnellement associée
aux Empereurs romains et aux Pharaons égyptiens. Les membres de la famille
impériale japonaise que l’auteur a rencontrée prétendent être d’origine
égyptienne. J’y reviendrai plus tard, mais revenons-en à la cérémonie.
La
cérémonie impliquait d’utiliser un silex pour produire des étincelles pendant
que nous psalmodions des passages d’un texte ancien. La psalmodie se composait
d’une série de règles sociales de base que l’Empereur devait faire respecter
contre l’inceste et d’autres formes de dégénérescence sociale.
Pendant que la psalmodie se poursuivait j’ai
entendu des voix qui me disaient en japonais ancien « Vous n’avez pas
d’ancêtres ici, qu’êtes-vous venu faire ? » Ma réponse a été :
« Je suis ici pour corriger les erreurs que mes ancêtres ont commises à
l’encontre de votre peuple ». Quelques autres personnes ont rapporté avoir
vu une lumière blanche briller pendant cette expérience. D’autres ont dit
qu’ils n’avaient vu que des gens qui psalmodiaient et s’inclinaient. Je suis
sûr que je n’ai pas imaginé ce que j’ai vécu et je crois que les entités qui
m’ont contacté ont accepté ma réponse.
Au
cours de la visite de l’institut de recherche où cette cérémonie s’est tenue,
on m’a dit que la famille qui dirigeait l’endroit avait été les enseignants héréditaires
d’un savoir millénaire. Les enseignements sont basés sur des mandalas. Chaque
mandala est constituée par de nombreux dessins liés entre eux et il faut au
moins deux ans pour l’apprendre.
Voici
un lien vers les photos de certains de ces mandalas et de l’institut de
recherche.
Lors
d’une autre occasion, j’ai été invité par les Yatagarasu à m’exprimer lors
d’une réunion à Kyoto. Lorsque j’ai pris un taxi à la gare de Kyoto, j’ai
remarqué que le conducteur avait une corneille à trois pattes sur son trousseau
de clés. Il m’a dit qu’il s’agissait d’une coïncidence. Avant de me rendre à
Kyoto, quelqu’un en relation avec la secte bouddhiste Sokka Gakkai m’avait
demandé d’acheter une veste japonaise traditionnelle munie du symbole makoto,
qui signifie sincère, d’un cœur honnête. Il s’agit du symbole utilisé par le
Shinsen gumi, le dernier groupe à s’être battu contre la colonisation du Japon
pendant l’ère Meiji.
La
secte Sokka Gakkai est derrière le Parti Komeito qui fait partie de la
coalition gouvernementale au pouvoir actuellement. Elle contrôle également la
police japonaise et est très présente au sein de l’armée japonaise. Elle
entretenait des liens avec l’école bouddhiste Nichiren qui a adapté certains
aspects du monothéisme tels que l’aide aux pauvres et aux malades dans sa lutte
pour défendre le Bouddhisme contre le Christianisme.
Une
autre rencontre que j’ai eue avec les Yatagarasu est venue d’un contact avec un
gentleman d’un certain âge qui résidait dans le Parc Inokashira à Tokyo.
C’était un professeur d’évolution en retraite qui avait choisi de vivre dans le
parc afin d’être proche de la nature. Il connaissait toutes les corneilles du
parc et disait qu’elles étaient réparties en cinq tribus. Il était capable de
reconnaître les meneurs de chaque tribu. Il s’est aussi lié d’amitié et s’est
fait le protecteur d’une corneille qui n’appartenait à aucune tribu.
Il
était également capable de communiquer avec un martin-pêcheur. Il m’a dit que
l’oiseau était incapable de trouver une femelle et qu’il allait bientôt
s’envoler pour en chercher une. Peu après il m’a dit que l’oiseau avait cessé
ses apparitions à l’endroit habituel.
Cette
sorte de lien profond avec le monde naturel et la capacité à communiquer avec
des êtres non humains constitue une partie essentielle de l’ancien savoir du
Shintoïsme. Certains prétendent pouvoir utiliser les aigles pour voir depuis
les airs en contactant télépathiquement leurs esprits.
Une
personne que j’ai rencontrée prétendait que sa tante, qui sortait d’un divorce
difficile, avait décidé de tuer son ex-mari en utilisant une ancienne
malédiction. Pendant deux mois elle a récité une certaine psalmodie à une heure
précise et au moment prévu son oncle est mort.
D’autres
héritiers de cette tradition ont prétendu avoir la capacité de voir des entités
que la plupart d’entre nous ne peuvent pas voir. Les gens qui ont ces prétentions,
ont des yeux jaunes, semblables dans leur couleur à la pierre semi-précieuse
appelée œil de tigre. Il serait intéressant de tester scientifiquement de
telles personnes pour étudier s’ils sont capables de voir des parties du
spectre électromagnétique que la plupart d’entre nous sont incapables de
percevoir.
Lors
d’une occasion différente j’ai été invité à participer à une cérémonie destinée
à invoquer la Déesse Amaterasu*. (*Déesse
du Soleil et de la Fertilité du panthéon shintoïste dont descendrait l’empereur
du Japon, NdT.)
Les
participants portaient tous sur le front des bandeaux de papier jaune couverts
de caractères anciens et psalmodiaient. A un certain moment, j’ai entendu une
voix féminine avec un accent très singulier dire qu’elle était trop timide pour
se manifester physiquement mais qu’elle souhaitait que les japonais se comportent
bien. Une fois encore, alors que beaucoup de gens prétendaient avoir entendu
cette voix, un de mes amis qui était présent n’avait rien entendu.
Ce
qui est singulier, à propos de la famille royale japonaise qui se prétend
d’origine égyptienne, c’est
que leurs membres pratiquent certaines cérémonies pour invoquer des entités
d’une manière qui rappelle les anciens cultes européens/égyptiens/babyloniens
tels que les pratiquent les Francs-maçons de la loge P2* et les Illuminati.
*Loge maçonnique P2 , encore
appelée « la loge ecclésiastique » à laquelle appartiennent ou
appartenaient de nombreux évêques et cardinaux du Vatican, voire des papes (on
pense notamment à Jean XXIII et Paul VI)
Le
Shintoïsme japonais pratique également des cérémonies du genre de celles qui se
sont éteintes depuis l’Egypte antique. Par exemple, dans l’Egypte antique, des
reliquaires spectaculaires reposaient dans les temples et une fois l’an ils
étaient promenés en public lors d’une cérémonie avant de regagner les temples. Cette
pratique a cessé lorsque l’empire perse a envahi l’Egypte et détruit tous les
reliquaires. Les Japonais continuent à pratiquer ces rituels ainsi que les
Catholiques.
C’est
pertinent si vous y réfléchissez. Les pharaons égyptiens avaient de nombreuses
épouses et de nombreux enfants mais un seul pouvait hériter du trône. Maints
puinés ont dû entreprendre avec l’aide de quelques centaines de fidèles de
fonder leur propre royaume. Il semblerait que certains d’entre eux soient
arrivés jusqu’au Japon. Ils ont perpétué cette ancienne technique dite
« magique » non scientifique. Etant donné que j’ai été formé à la
méthode scientifique, j’aimerais bien voir une enquête scientifique rigoureuse
sur ce sujet.
Traduction
Patrick. Rev Isabelle
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