Veterans
Today - La confirmation que Tianjin a subi une attaque nucléaire
Il
ne s’agissait pas d’un incendie d’origine chimique, mais du 11 septembre à la
Chinoise
(Note de l’éditeur : parfois nous
aimons avancer rapidement sur un sujet qui fait la une pour coiffer les grands
médias sur le fil, malgré tout leur argent et leurs ressources humaines. Et en
d’autres occasions notre sixième sens nous incite à prendre de la distance, à étudier
les premiers reportages à la recherche d’indices de ce qui n’est PAS dans les
articles, et de mettre en place une de nos équipes spéciales d’investigation.
L’année dernière, nous avions
malheureusement beaucoup de travail à confier à notre équipe spécialisée dans
les accidents d’avions, cette équipe étant constituée d’anciens pilotes
chevronnés et de spécialistes des enquêtes sur les accidents d’avions, liés
principalement par des contrats à long terme. Lorsqu’il s’agit d’enquêtes sur
des mini-bombes nucléaires, la liste est beaucoup plus réduite car il y a moins
d’experts disponibles sur ces sujets.
Comme vous allez l’apprendre rapidement
ci-dessous, à moins de savoir où regarder et de posséder des connaissances
approfondies sur la science délicate de ce qui fait exploser ces divers engins,
et sur les traces qui restent pour vous révéler ce dont il s’agissait, les
preuves accumulées devant vous ne serviront à rien.
Nous avons ajouté plus de documentation
technique que d’habitude pour un public généraliste car cet article a également
été rédigé pour les experts en armements et explosifs du monde entier, qui vont
rapidement s’emparer de ce sujet. Heureusement, les explosifs sont un domaine
largement étudié avec une multitude d’essais et de données collectées. Les
personnes qui étudient ces éléments dans le cadre de leur profession ont dû
assimiler des encyclopédies entières de recherches passées pour tirer la
moindre conclusion d’une photo de la destruction massive.
Nous sommes montés en puissance pour le
faire parce que nous en avons la possibilité et pour cette raison j’ai apporté
une contradiction au Dr. Jim Walsh du Programme des Etudes sur la Sécurité du
MIT. Dans un récent débat télévisé de Press TV, organisé à l’occasion de
l’anniversaire du bombardement nucléaire de Nagasaki, j’avais prévu de remettre
sur le tapis les mini-bombes comme l’éléphant dans le magasin de porcelaine des
menaces terroristes que le monde devait affronter.
C’est également un sujet sur lequel il
y a une démission totale des institutions sécuritaires, médiatiques et
universitaires pour prévenir le public, car il y a plus que quelques pays qui
en disposent et qui les utilisent. Cette démission n’est pas le cas de Veterans
Today et cela ne le sera jamais.
Notre sentiment est qu’il est de notre
devoir de révéler cette menace jusqu’à ce que le public s’éveille au fait que
s’il ne se bouge pas et commence à gueuler, il va assister à davantage de ce
genre d’incidents. Nous avions averti que ne rien faire ne ferait qu’encourager
ceux qui en sont les auteurs, et nous avions raison.
Donc je dédie cet article aujourd’hui à
« l’expert » M. Walsh qui était ému par mon évocation sur la menace
des mini-bombes au point d’attaquer mon argument en disant : « j’estime
que l’idée qu’on a testé des mini-bombes dans le monde entier relève d’un
discours conspirationniste débile. Aucune personne sérieuse ne peut croire cela
… il existe un traité d’interdiction des essais nucléaires qui dispose de
postes de surveillance dans le monde entier afin de détecter des explosions
nucléaires associées à des essais, et ils n’ont jamais rien révélé de tel. Je
ne connais aucune personne sérieuse qui croit à cela. »
J’ai affirmé cela dans le contexte, et
je suis sûr que Walsh l’a parfaitement compris, non aux essais formels, mais
aux tests « grandeur nature »
… vers des personnes et des cibles qui sont utilisées pour envoyer un message à
quelqu’un … et oui … pour terroriser les gens. Donc M. Walsh, excusez-moi si je
ne vous considère pas, vous et vos amis, comme des « gens sérieux »
car sous votre protection nous sommes en piteuse situation. Et puisque nous en
parlons, vous et vos semblables devriez vous ressaisir ou dégager, monsieur …
Jim W. Dean)
Il
y a deux semaines (le 12 août) une explosion dévastatrice s’est produite dans
la ville portuaire de Tianjin en Chine. Les rapports officiels prétendent
qu’une installation de stockage de produits chimiques a pris feu et a explosé.
Des vidéos prises à l’aide de téléphones mobiles par les résidents montrent une
énorme explosion et une boule de feu.
En
l’espace de plusieurs jours, des photos aériennes ont révélé l’importance
stupéfiante des dégâts. Un cratère noir fumant marque le point d’impact de
l’explosion, alors que les environs livrent une vue apocalyptique de débris
carbonisés et rasés. Des rangées de voitures carbonisées et de conteneurs
maritimes tordus s’étendent au loin dans toutes les directions.
L’étendue de la déflagration qui a
dévastée la zone est telle qu’il a dû s’agir en effet d’une énorme explosion.
La
zone incendiée s’étend sur 20 000
mètres carrés et continue à être
dangereuse – d’autres explosions ont été révélées par les autorités chinoises
le 15 août. Les habitants d’une zone d’un rayon de 5 kilomètres ont été
relogés ; on dénombre au moins 85 victimes de l’accident.
Cela
nous a immédiatement paru suspect, des explosions aussi énormes doivent être
considérées comme suspectes ces temps-ci lorsque les armes nucléaires tactiques
peuvent être et sont utilisées à une fréquence alarmante : le 11
septembre, les Tours Khobar, le Tremblement de terre d’Haïti et plus récemment
des largages aériens au Yémen.
Une dévastation massive sur une zone
importante
Le téléphone mobile comme détecteur de
radiations
L’indice
révélateur qui a permis d’identifier l’utilisation d’une arme nucléaire au
Yémen était la présence de pixels scintillants – des points blancs qui sont
apparus puis ont disparu brièvement sur les vidéos de l’explosion prises par
des téléphones mobiles.
Le
capteur visuel CCD dans la caméra du téléphone est atteint par des radiations
qui provoquent une surcharge des pixels qui apparaissent en blanc ; de
cette manière un téléphone mobile peut remplir une double fonction de détecteur
grossier mais efficace de radiations.
Lorsque
l’explosion de Tianjin s’est produite, j’ai immédiatement regardé les vidéos
des téléphones mobiles de l’explosion en essayant de découvrir des pixels
scintillants ; je n’en ai pas trouvé, mais l’énorme boule de feu blanche
et l’importance de l’effet de souffle que révèlent les vidéos (bâtiments
effondrés, vitres brisées, etc.) n’évoquent certainement pas une explosion
conventionnelle à mes yeux relativement peu exercés.
J’étais
en fait contributeur à VT et expert sur tout ce qui est nucléaire, c’est Jeff
Smith qui nous a appris le truc des pixels scintillants et l’utilisation de la
caméra du téléphone mobile pour détecter les radiations ; c’est pourquoi
je l’ai consulté à propos du manque de scintillement sur les vidéos de
Tianjin :
Le
scintillement est fonction de la distance par rapport à l’explosion. Plus vous
êtes éloigné de l’explosion moins vous serez exposé aux neutrons qu’elle
dégage. Les caméras CCD détecteront le scintillement mais seulement à de
faibles niveaux. Elles ne sont pas sensibles à des modèles de radiations de
champs distants. Toutes les caméras CCD étaient trop éloignées pour pouvoir
faire apparaître clairement des scintillements.
Par
conséquent vous devez regarder le blanc au centre de la photo. C’est là que la
clarté est si intense qu’elle surcharge la puce réceptrice CCD en provoquant un
effet de surexposition. Le fait que la boule de feu ait été blanchie ou
surexposée indique que la température de la couleur était supérieure à 4000
degrés C°. Cette température ne peut être obtenue que lors d’une explosion
nucléaire. Le circuit qui gère la caméra définit le niveau d’exposition vidéo
comme étant trop brillant si bien que vous obtenez un blanc sur l’écran.
La boule de feu avec un centre blanc
chaud
On
ne constate pas de scintillement mais un indice évident indique une explosion
nucléaire sous la forme d’une énorme boule de feu blanche – une fois encore,
les vidéos des téléphones mobiles prouvent leur utilité dans le décryptage de
la vérité. (Voir photo au début de l’article).
Des parkings pleins de voitures
calcinées.
Lorsque
les reportages et les images ont afflué, nous les avons étudiés soigneusement à
la recherche de preuves de l’utilisation d’une arme nucléaire et
malheureusement, il ne nous a pas fallu longtemps pour les découvrir – le
premier indice important provenant des milliers de voitures calcinées qui
ressemblaient étrangement à celles vues à NY le 11 septembre.
Des milliers de coccinelles Volkswagen
calcinées proches du point d’impact à Tianjin.
Alors
qu’un profane comme moi peut reconnaître la ressemblance générale, il faut un
expert pour analyser dans leur totalité les preuves contenues dans les
photos ; heureusement à VT, nous disposons de ce genre d’experts à
commencer par Jeff Smith qui a fourni l’analyse suivante :
Les
gens ordinaires ne sont pas formés à rechercher les preuves, donc ils en
arrivent à ignorer l’évidence. Cependant, une fois que vous en avez observé
suffisamment de ce genre là, vous commencez à repérer les objets sur la photo
relativement vite. Malheureusement tous les gens qui connaissent le sujet
travaillent en général pour le gouvernement. Tout comme c’était mon cas.
L’indice
principal réside dans la cendre produite et les radiateurs qui ont explosé dans
les voitures. Ce sont eux qui montrent le mieux les caractéristiques des
radiations et du souffle de l’explosion. Du caoutchouc, du verre et de
l’aluminium fondus, mais pas d’acier fondu ? Cela vous indique que cela
provient des radiations et non de l’incendie par du carburant. Des températures
entre 1500 degrés C° pour la fusion de l’aluminium et moins de 3000 degrés C°
pour la fusion de l’acier. Tout ce qui est organique devient cendre à moins de
450 degrés C°
Cela
indique une boule de feu de plasma supérieure à 4000 degrés C° ! Seule une
explosion nucléaire peut provoquer cela. La preuve réside dans la cendre
blanche en surface laissée par l’explosion thermique.
La
cendre blanche provoquée par l’explosion thermique recouvre tout autour du
point d’impact.
- Les réservoirs
de carburant n’ont pas explosé.
- Les pneumatiques
en caoutchouc ont été réduits en cendres et non carbonisés, regardez les
résidus de poudre blanche autour des voitures.
- Les radiateurs
sont tous partis ; cela indique des explosions du Fréon ® (Gaz
climatisation).
- Toutes les
vitres ont été réduites en cendre ou ont fondu, le verre a été soufflé
vers l’extérieur, non vers l’intérieur.
- Toutes les voitures neuves blanches montrent les effets extrêmes de l’échauffement à de très hautes températures. La peinture est très endommagée en raison du taux très élevé d’oxydation.
- Les pneumatiques
en caoutchouc silicone fondent en cendres à 500 degrés C°. Les cendres de
verre à 1500 degrés C°. L’essence à 250 degrés C°. Les pneumatiques ont
fondu mais les réservoirs d’essence n’ont pas explosé ; tout comme
lors du 11 septembre à New York.
- Des coccinelles
Volkswagen jaunes sont indemnes de radiations en raison de leur position
indiquant qu’elles ont été protégées par un bâtiment proche. Tout comme
lors du 11 septembre …
- Enfin et c’est
le plus important, toutes les cendres de la taille de nanoparticules
répandues partout sur le sol. La brume pourpre sur les photos indique des
niveaux toxiques de gaz fluoré, de chlore et de sodium.
Conclusion : les dégâts occasionnés sur les
voitures ont été provoqués par la radiation des neutrons et non par des
explosifs conventionnels ou par une explosion issue d’un mélange carburant-air.
La distance du point zéro est trop grande pour qu’une explosion classique fasse
fondre le verre et les pneumatiques. Il y a également le fait que les
réservoirs de carburant ont été protégés de la chaleur, de la source de
l’explosion.
La
brume pourpre indique la présence de niveaux toxiques de gaz fluor, chlore et
sodium.
Donc
la voilà, la preuve « flagrante » d’une explosion nucléaire se trouve
dans les débris fumants des voitures calcinées. Cependant, les photos des
voitures calcinées contiennent davantage de preuves à analyser avant que nous
passions à l’autre preuve.
Les radiateurs fondus et le rôle du Fréon®
Comme
vous pouvez le voir clairement sur la photo ci-dessous, le radiateur de ce
véhicule a été complètement détruit, réduit en cendres. Seul reste le capot en
acier, tout l’aluminium et le cuivre de l’intérieur du radiateur ont été
réduits en un tas de cendres. Une fois encore, notre expert interne Jeff Smith
a pu nous fournir une analyse approfondie de ce que nous avons sous les
yeux :
Restes calcinés d’une voiture proche du
point d’impact
Tous
les radiateurs ont explosé en raison d’une décomposition du Fréon® en méthane, en
fluorure de deutérium et en gaz phosgène ; provoquant ainsi l’incendie des
moteurs – remarquez les capots fondus et comment la surpression de l’explosion à
l’air a comprimé les capots des voitures.
Le
radiateur d’automobile avec un revêtement de cuivre/aluminium est transparent
aux radiations nucléaires. Il agit comme un corps noir creux réflecteur de
neutrons et fonctionne exactement comme son grand frère la bombe H à deux
étages de Teller-Uhlman. Cela signifie que si vous mettez du gaz deutérium ou
du Fréon (2HF) dans une chambre à vide telle qu’un radiateur de voiture, vous
réduisez sa densité donc cela prend moins d’énergie de soit la fractionner ou
de la faire fondre lorsqu’elle est exposée aux neutrons, aux rayons Gamma ou
même aux rayons-X issus d’une explosion nucléaire proche – si l’explosion est
assez importante ou assez rapprochée.
Cela
constitue la base d’une micro-bombe nucléaire, avec des dégagements de
températures suffisants pour faire fondre à peu près tout ce qui est à son
contact. La clé réside dans la densité inférieure du gaz rendant la compression
beaucoup plus aisée. Cela explique tous les radiateurs de climatisation fondus
et les successions d’incendies qu’ils provoquent. Et aussi le manque de
retombées.
Vous
pouvez voir sur la photo que les radiateurs à l’avant des voitures sont en feu alors
que l’arrière de la voiture est intact.
Le Cratère au point zéro
Une
fois de plus, Jeff Smith a pu nous fournir des analyses détaillées des photos
disponibles du cratère de l’explosion au point zéro et des dégâts causés aux
environs immédiats. Jeff ainsi que Jim Stone et d’autres ont déclaré :
Il
ne s’agissait PAS d’un accident, le schéma des failles entourant le cratère
prouve qu’il s’agissait d’une explosion souterraine de faible profondeur. S’il
s’agissait d’une explosion souterraine de faible profondeur, alors une petite
arme nucléaire est la meilleure explication, parce que, étant donné que
l’explosion nucléaire doit repousser la terre, l’éclair aveuglant ne se verra
pas. Une légère détonation souterraine expliquerait pourquoi les capteurs des
caméras n’ont pas enregistré de faits étranges. Et s’il ne s’agissait pas d’un
engin nucléaire, c’était quelque chose d’incroyablement énorme, mais pas une
bombe issue d’un mélange carburant-air, parce que ce genre de bombes ne provoque
pas de cratères. Elles laissent également un résidu de carbure graisseux
partout.
Même
mes yeux de profane peuvent immédiatement conclure que l’explosion qui a causé
ce niveau de dégâts dévastateurs était bien au-delà d’une explosion de produits
chimiques stockés. Il y a également le fait qu’il n’y avait pas de bâtiments de
stockage au point d’impact de l’explosion, rien que des rangées de conteneurs
maritimes. De plus il est évident à mes yeux qu’il y a eu un immense dégagement
de chaleur – il n’y a qu’à regarder les cendres grises-blanches qui recouvrent
tout. Jeff a été capable d’expliquer ce que je voyais sur ces images
troublantes.
Quelques
explications un peu plus détaillées : si l’explosion s’était produite au
niveau zéro, presque toute l’énergie se serait dissipée vers le haut et
l’explosion n’aurait pas provoqué un grand cratère profond, tout particulièrement
un cratère assez grand et assez profond pour contenir ce lac.
Si
vous regardez sur la droite du lac, vous pouvez voir des schémas de failles du
terrain, qui ont été provoquées par la compression latérale et non en
profondeur de la terre. Cela ne peut résulter que d’une explosion souterraine.
Après l’explosion, la terre a été projetée à nouveau vers le centre du lac, ce
qui a provoqué les failles.
Observez
attentivement le terrain autour du lac. Ceux qui ont prétendu qu’il ne
s’agissait pas d’une explosion nucléaire ont mentionné le fait que si c’était
le cas, tout ce qui entourait le cratère serait vaporisé et nettoyé. Maintenant
que nous disposons des images réelles du cratère provoqué par l’explosion, oui,
cela correspond parfaitement. Regardez les conteneurs qui se trouvent dans le
coin inférieur gauche de la photo – ils ne comportent pas de peinture ou de
couleur, ce qui signifie que leur surface a été carbonisée par une chaleur intense
que seule une arme nucléaire ou une super-arme pourrait provoquer. S’il s’agissait
d’une explosion de carburants, ils seraient noirs ou ils auraient conservé une
partie de leur couleur d’origine, un changement complet de couleur en gris
uniforme prouve que cette explosion était d’une CHALEUR EPOUSTOUFLANTE.
Ce
type et cette dimension de cratère dû à l’explosif ne se produisent que si une
énorme bombe explose à quelques mètres de profondeur, telle qu’une bombe
nucléaire tactique placée dans une canalisation d’écoulement qui ne laisse que
peu d’alternatives. Aucune explosion chimique n’a pu provoquer cela, POINT
FINAL. Le bâtiment qui est toujours debout sur le côté droit du cadre est un
exemple typique de ce qui reste après un essai nucléaire, les constructions en
béton sont rarement rasées, mais elles sont nettoyées par les explosions
nucléaires. Regardez des images des tests nucléaires soviétiques et vous le
verrez. Conclusion ? Les vestiges
sont complètement cohérents avec une explosion nucléaire.
Même
pour un œil non exercé, la vue des vestiges de cette terrible explosion ne peut
être qualifiée autrement que d’une vision d’horreur ; si vous avez en plus
un témoignage d’expert qui démontre la véritable nature de ce que vous voyez,
les images n’en deviennent que plus choquantes et troublantes. Des destructions
de cette échelle deviendront courantes si les auteurs peuvent s’en tirer
impunément, car cela indiquera à tous ceux qui détiennent des armes nucléaires
qu’il est possible de les utiliser sans que les médias le divulguent.
Peut-être
est-il encore plus préoccupant que la Chine ait gardé le silence sur le
caractère nucléaire de cet énorme crime – ils s’en tiennent à la thèse de
l’incendie ayant provoqué l’explosion de produits chimiques stockés à cet
endroit. Comme nous l’avons démontré, cette histoire est à peu près aussi
crédible que le piratage d’avions de ligne avec des cutters ; étant donné
le contrôle exercé par l’état sur les médias en Chine, cela pourrait prendre du
temps avant que le peuple n’apprenne la vérité.
Identification du type d’arme et
sismologie de l’évènement
Maintenant
que nous avons établi qu’une explosion nucléaire s’était produite, examinons de
plus près la nature de cette explosion. Une question importante est la méthode
d’acheminement – s’agissait-il d’un missile de croisière ou d’une bombe
dissimulée dans un conteneur maritime ? Ou y a-t-il une autre réponse à
cette question ? Le cratère suggère fortement que l’explosion était
souterraine ce qui semble écarter l’hypothèse de la bombe introduite en douce à
Tianjin à bord d’un conteneur maritime. Cela n’écarte cependant pas l’hypothèse
d’une frappe d’un missile de croisière – le sol dans cette zone est assez
meuble, constitué de dépôts d’alluvions de limons et d’argiles issus de la
rivière proche. Un missile de croisière heurtant la surface à plus de 800 km/h pénétrerait
sûrement à une certaine profondeur ; avec un mécanisme à retardement
connecté à la charge nucléaire, cela créerait une explosion souterraine à
faible profondeur. Jeff Smith nous fournit l’analyse suivante :
Notez
que le cratère mesure environ 120 mètres de large par comparaison avec les
conteneurs de taille standard de 12 mètres . Le cratère est un cratère complexe
en forme de cœur indiquant une explosion à très basse altitude ou au contact du
sol. Les compressions latérales du sol indiquent une certaine pénétration dans
le sol. La profondeur de la pénétration dépend de la nature du sol et de la
hauteur de l’explosion. La dimension horizontale du cratère est en gros égale à
30 mètres
par kilotonne. Cela nous donnerait une puissance explosive en fonction de
l’altitude de l’explosion comprise entre 3 et 5 kilotonnes.*
*La
puissance d’une explosion nucléaire se mesure en poids équivalent d’explosifs
classiques, en l’occurrence le TNT, 5 kilotonnes équivalent donc à 5000 tonnes
de TNT. Par comparaison les bombes d’Hiroshima et de Nagasaki ont été estimées
à environ 15 kilotonnes. NdT.
S’il
s’agissait d’une explosion à faible altitude, l’association avec la sismologie
montrerait une réaction moins importante sur l’échelle de Richter que
d’habitude. La seule question est celle des retombées radioactives. Y en a-t-il
eu et de quel genre ? Etant donné qu’il a plu après l’explosion, la
plupart des retombées radioactives se sont produites en mer, ce que prouve
l’hécatombe de poissons dans la baie. La zone de sécurité a été établie à 3 kilomètres . C’est la
valeur correcte pour des retombées d’une petite arme nucléaire tactique. 1 kilomètre par
kilotonne. La seule autre question est de savoir s’il s’agissait d’une bombe à
uranium ou à plutonium ou d’un autre type, c.à.d. d’une bombe à fusion ?
L’uranium ne peut être très bien retracé mais pour une arme au plutonium on
peut remonter au réacteur qui l’a produit et au processus de séparation
chimique qui a été utilisé. On a vu des pompiers munis de détecteurs de
radiations et de gaz toxiques.
Etant
donné la zone d’évacuation de 3
km , nous pouvons partir de l’hypothèse d’une puissance
de 3 kilotonnes. Une tête nucléaire de missile de croisière tel que le
« Popeye » israélien emporte 6 kilos de plutonium ; en faisant
un calcul sommaire de 1 kilotonne par kilo de plutonium, l’importance de
l’explosion correspond aux possibilités d’une tête nucléaire classique de missile
de croisière.
Jeff
a également noté qu’une explosion secondaire avait eu lieu ; c’est un
indice supplémentaire de la nature nucléaire de cette explosion, comme
l’explique Jeff :
Il
semble bien qu’il y ait eu deux explosions majeures et non pas une seule. Il y
a deux parties sur la vidéo où l’explosion provoque un blanc sur toute la
caméra. Il s’agit de l’explosion initiale à neutrons ; tout le reste est
une explosion secondaire ou l’atmosphère qui se réchauffe et brûle.
Remarque :
la réaction a provoqué une lueur soutenue dans le ciel qui est un indice bien
connu d’une explosion nucléaire. Les armes non-nucléaires ne provoquent pas une
illumination soutenue « semblable au soleil » parce qu’elles n’ont
pas assez d’énergie pour mettre feu à l’oxygène et l’azote de l’atmosphère.
Un
autre aspect qui demande d’être examiné est la lecture des tracés sismologiques
de l’explosion. Une fois de plus, Jeff nous fournit quelques idées pénétrantes :
La
première explosion a été enregistrée à 2,3 sur l’échelle de Richter et la
seconde à 2,9. Des témoins oculaires ont décrit ce qui ressemblait à un
tremblement de terre. Le géophysicien du Service géologique américain (USGS)
John Bellini affirme que les sismographes détectent tout le temps des
explosions d’origine humaine dans les mines à ciel ouvert, mais qu’en général
les explosions en surface ne sont pas bien détectées parce que l’essentiel de
l’énergie se dissipe dans l’atmosphère. Effectivement, les explosions de
Tianjin ont provoqué un évènement sismographique qui avait autant d’énergie
qu’un petit tremblement de terre. On peut en déduire à raison, qu’à la
différence d’une explosion de produits chimiques en surface, l’énergie
cinétique libérée sous terre a été provoquée par une puissante pénétration de
la surface.
Dans
cet article, nous avons essayé de fournir une analyse soigneuse mais claire et
concise des preuves disponibles et pour démontrer qu’à l’évidence il ne
s’agissait pas d’un simple incendie dans un dépôt de produits chimiques qui a
provoqué une explosion, mais plutôt de la détonation d’une arme nucléaire d’un
type inconnu par des auteurs inconnus. Nous étudierons qui et pourquoi dans un
article ultérieur.
Il
s’agit d’un évènement très significatif qui va indiscutablement s’avérer d’une
grande importance dans les évènements mondiaux qui vont suivre. A plusieurs
égards, c’est le 11 septembre de la Chine.
Espérons
tous qu’à la différence du 11 septembre, l’attaque nucléaire de Tianjin ne
deviendra pas un casus belli pour une série de conflits injustifiés, brutaux et
sanglants.
(Voir les annexes A, B et C sur VT pour
les graphiques et données scientifiques)
Une
chose est déjà très clairement illustrée par cet évènement tragique – on a
définitivement ôté les gants quant à l’utilisation d’armes nucléaires
tactiques ; nous vivons dans un nouvel âge nucléaire où un grand nombre de
pays possèdent les moyens de créer et de déployer des armes nucléaires
tactiques et le plus préoccupant de tout, c’est que ces armes de faible puissance
peuvent être utilisées et l’ont déjà été sans courir le risque d’une
destruction mutuelle ; référence à la doctrine qui a empêché la Guerre
Froide de dégénérer en guerre nucléaire. Cela fait de notre monde un lieu
beaucoup plus dangereux et cela signifie indubitablement que nous allons
assister à d’autres explosions nucléaires à l’avenir.
Il
y a une vieille expression chinoise qui dit : « puissiez-vous vivre à
une époque intéressante » ; c’est certainement une époque « intéressante »
pour quiconque s’intéresse aux évènements qui se produisent en Chine.
©
Veteran Today. Traduction Française Patrick T rev Isabelle
Dernière minute :
Quatrième
Explosion hier dans la province de Shandong :
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