91.7 % du PIB de la France vampirisés
par des financiers sans scrupule
qui n'hésitent pas à vider les poches
des contribuables !
En France comme ailleurs, les intérêts d’emprunts
remplissent les poches des acteurs de banques privées,
véritables malfaiteurs, « escrocs-magiciens »,
qui ont hypnotisé et soudoyé nos politiciens !
Le peuple a donc été trahi !
C'est à Georges Pompidou,
président de la République française de 1969 à 1974,
ex-fondé de pouvoir de la banque Rothschild,
et à son ministre des finances Valéry Giscard d’Estaing,
que l'on doit l'inique loi du 3 janvier 1973.
Cette loi oblige l'Etat français à emprunter
auprès des marchés financiers internationaux à des taux usuraires !
En février 2008, sous la présidence de Nicolas Sarkozy,
le parlement français ratifie le traité de Lisbonne
dont l’article 123 reprend les mêmes dispositions
que la loi du 3 janvier 1973 !
A CHAQUE SECONDE qui s’écoule, la dette de la France s'accroît de 5 500 €,
soit 475 millions d'euros PAR JOUR, et près de 174 milliards par an !
Elle est actuellement de 1800 milliards € (27 000 € par Français)
dont 1400 milliards uniquement constitués des intérêts
que nous réclament les banquiers !
Il faut casser ces mécanismes qui détruisent notre économie !
Il faut abroger la loi du 3 janvier 1973 !
ll faut abroger l'article 123 du traité de Lisbonne !
Si Bruxelles refuse, il faut sortir de l'Union européenne !
Nous avons trop attendu pour dire STOP !
Signez la pétition :
« OUI à la FIN de la DETTE, NON à la FAIM des BANQUES»
Via ce lien
JE SOUHAITE l’annulation de l’article 123 du traité de Lisbonne,
JE REFUTE les dettes d’état faites auprès de banques privées
pour lesquelles je n’ai ni été consulté, ni donné mon accord,
et pour lesquelles je ne souhaite payer aucun intérêt,
sous forme d’impôts directs ou indirects.
JE VOTE pour le retour à la souveraineté financière de ma nation.
Voir aussi cette vidéo d’Etienne CHOUARD pour mieux comprendre :
Pour voir le compteur des intérêts de la dette publique :
MERCI DE FAIRE SUIVRE POUR CHACUN D’ENTRE NOUS COMME POUR LES GENERATIONS A VENIR
No comments:
Post a Comment