Si Baghdadi était ce que nous pensons, il n’est pas
mort en pleurnichant, mais comme un héros d’Israël avec Netanyahou à ses côtés
… peut-être en 2015.
Par Gordon Duff,
Senior Editor, le 28 octobre 2019
On pourrait supposer qu’accuser
Israël de former des agents pour infiltrer les organisations Arabes est
« antisémite », sauf qu’ils reconnaissent que non seulement ils le
font en permanence, mais que c’est l’un des principaux buts du Mossad.
Les agents Israéliens abondent dans
les rangs du Hamas et du Hezbollah, de l’Etat Islamique et d’Al-Qaida. Dans
certains cas, des douzaines d’entre eux ont été exécutés, comme cela a été
révélé en 2014, mais l’un d’entre eux se démarquait de tous les autres : Abou
Bakr el-Baghdadi ou comme cela a été révélé, Shimon Elliot.
Veterans Today a publié l’histoire
le 4 août 2014, sur la base de rapports Français et d’une supposée confirmation
par Edward Snowden que Baghdadi était le fils né de parents Juifs en Grande
Bretagne, entraîné dès son enfance dans le cadre d’un programme du Mossad
destiné à infiltrer des agents dormants dans des pays Arabes clefs.
En l’occurrence, Shimon Elliot est
devenu « el-Baghdadi » en Irak sous une fausse identité et a été
blanchi en passant par une prison Américaine pour devenir l’acteur commandant
le faux « Etat Islamique » qui est arrivé en sortant de nulle part combattant
pour le compte d’Israël et de la droite néoconservatrice Américaine.
Au cours des années, des rapports, certains
fiables, d’autres non, nous ont informé que Baghdadi, ou M. Shimon, ce qui est
plus probable, faisait la navette avec Israël, et si l’on en croit des articles
des médias Arabes, est mort dans un hôpital Israélien en 2017.
Existe-t-il plus d’un el-Baghdadi ?
C’est possible.
Ce que nous savons c’est que :
nous avons publié un article sur cette histoire il y a plus de 5 ans et
qu’ensuite elle a été supprimée de nos serveurs, de nos archives, déréférencée
par Google, ainsi cette information a été la cible prioritaire du
contre-espionnage Israélien.
Ce qui signifie qu’elle est
probablement exacte.
Compte-tenu d’articles venant de
Russie, maintenant lus et repris dans le monde entier, selon lesquels la mort
d’el-Baghdadi le 27 octobre 2019 était un simulacre, qu’il n’y avait pas
d’avions ou d’hélicoptères Américains dans la région, l’histoire ci-dessous
commence à devenir plus crédible.
Nous devons nous rappeler que la
Russie a fait venir son système de missiles antiaériens S-400 en Syrie après
que la Turquie ait abattu un avion Russe et que des agents Turcs aient exécuté
le pilote. Cela se passait à peine à quelques kilomètres de l’endroit où les
Américains ont soit « tué à nouveau un mort » ou simulé la mort d’un
dirigeant du Mossad d’une organisation soutenue par les Etats-Unis pour
détruire la Syrie et l’Irak, nous parlons bien sûr de l’Etat Islamique (EIIL).
A partir des médias Russes basés sur
des articles de VT supprimés par les services de renseignement Israéliens.
L’histoire alternative c’est que les
Etats-Unis ont recruté Baghdadi dans une prison Irakienne.
Nous devons aussi vous avertir que
nous pensons que l’histoire ci-dessous était également une création du
renseignement Israélien, fuitée dans les médias Russes, et truffée à dessein de
formules stupides et de grossières accusations sur des « complots
Juifs ».
En fait, après tant d’années,
presque chaque histoire relatant un « complot Juif » s’avère provenir
de gens travaillant pour des organisations financées par un flot incessant de
groupuscules sous le contrôle de que ce qu’on appelle maintenant « l’Etat
Secret ».
Il semble qu’il faille
calomnier quiconque ose s’écarter du ridicule scénario fictif de l’Etat
Islamique et de son méchant de bande dessinée « Baghdadi », dont le
personnage semble sortir tout droit d’un sitcom …
Baghdadi est-il réellement Elliot
Shimon ou « Simon Elliot » ? Ce qu’il n’est certainement pas, c’est
d’être le dirigeant d’un mouvement Islamique. Voici un individu qui combat
seulement les ennemis d’Israël et qui le fait avec des mercenaires rémunérés,
entraînés et armés par Israël ou les alliés d’Israël, les Etats-Unis et
l’Arabie Saoudite, ainsi que la Turquie, quelqu’un qui a fait passer des
terroristes par un aéroport après l’autre contrôlé par l’ICTS* d’Israël.
*ICTS :
plus gros opérateur de sécurité aéroportuaire : 3000 collaborateurs, 160
millions d’€ de C.A., plus de 30 ans d’expertise, clients : 7 des 10 plus
gros aéroports mondiaux, 30 millions de passagers contrôlés.
L’Etat Islamique
n’aurait pu exister qu’avec un large soutien du Mossad, un dirigeant du Mossad,
et l’aide de la CIA et du MI6 et des tonnes d’argent Saoudien.
De plus les preuves abondent
que les services de renseignement Géorgien, Roumain et Ukrainien apportaient
également leur soutien à l’Etat Islamique.
En fait, ce qui nous
manque c’est un scénario crédible que l’Etat Islamique soit autre chose que la
création du Mossad et de la CIA. Toute autre assertion est absurde. Un article
de 3ème ordre de la presse Russe, c’est tout ce qui a échappé à la
censure par la purge d’internet effectué par Google/le Mossad/Jigsaw*.
*Jigsaw, anciennement Google Ideas, est un pseudo-incubateur technologique
qui dissimule des logiciels de censure sur internet et de filtrage des articles
de presse (NdT)
Annexe I
En route pour le « Grand
Israël* » : le dirigeant de l’Etat Islamique qu’est l’agent à plein
temps du Mossad, Shimon Elliot, qui s’appelle lui-même « Calife Abou Bakr
el-Baghdadi », est un agent du Mossad spécialement formé, nommé Elliot
Shimon. Plus nous recueillons d’informations, plus nous avons l’impression de
vivre dans un miroir sans tain. Alors que dans un « monde parallèle »
se déroulent des évènements sous l’influence de puissances dont les médias
« ont peur de parler ». Et, a fortiori de demander aux gouvernements
nationaux de leurs pays de faire en sorte d’éliminer la menace.
*Carte du Grand Israël
L’EIIL (maintenant
abrégé en EI) et la CIA coopèrent depuis longtemps
Le dirigeants de
l’EIIL el-Baghdadi (cerclé de rouge) en compagnie du Sénateur Américain John Mc
Cain* (photo prise le 27 mai 2013 à Bab al-Salam près de la frontière
turco-syrienne)
*Lors de la guerre civile
syrienne, John McCain prend position en faveur d'un départ de Bachar el-Assad et affiche son souhait de
voir le gouvernement américain fournir un soutien militaire aux rebelles
syriens. Il défend une stratégie visant à « affaiblir les capacités
militaires du régime de Bachar El-Assad, renforcer celles de l'opposition
modérée, permettre un tournant sur le champ de bataille et créer ainsi les
conditions d'une sortie négociée du conflit et l'éviction du pouvoir d'Assad et
de ses acolytes »117.
Le 27 mai 2013,
il se rend en Syrie, à Azaz,
une ville tenue par les rebelles de la Brigade de la
Tempête du Nord et y rencontre le général Selim Idriss, le commandant en chef de l'Armée syrienne libre
. Wikipédia
Donc, au cours de
l’été 2014, des sources indépendantes ont révélé que le véritable nom du
« Calife el-Baghdadi » - le chef de l’EIIL » (Etat Islamique en
Irak et au Levant) Simon Elliot (Eliot Shimon), né de parents Juifs, était un
agent du Mossad. Ci-dessous nous présentons des informations provenant de trois
sources différentes qui confirment cette assertion. Le véritable nom d’Abou Bakr
el-Baghdadi est Simon Elliot, qui a été recruté par le service de renseignement
Israélien Mossad et formé à l’espionnage et la guerre psychologique contre les
communautés Arabes et Islamiques.
Cette information a
été attribuée à Edward Snowden et publiée dans des journaux et d’autres sites
internet : le chef de l’Etat Islamique, Abou Bakr el-Baghdadi, collaborait
avec les services de renseignement – Britannique (MI6), Israélien (Mossad) et
Américain (CIA) pour créer une organisation capable d’attirer les terroristes
extrémistes du monde entier. (Source : Radio ajyal.com)
Une autre source a confirmé cette déclaration (site internet d’EGy-Press) : Sur la base de documents photographiques, les médias Iraniens ont découvert la véritable identité de « l’émir de l’EIIL », un agent Sioniste spécialement entraîné.
Le renseignement
Iranien a découvert la véritable et complète identité de « l’émir de
l’EIIL » appelé Abou Bakr el-Baghdadi ; son vrai nom est Elliot
Shimon. C’est un agent du Mossad* accomplissant une mission importante et
secrète pour le compte de l’espionnage Sioniste sous le pseudonyme d’Ibrahim
ibn Awad bin Ibrahim Al Badri Al Aradui Husseini.
* Le Mossad (nom complet : המוסד למודיעין ולתפקידים מיוחדים - Ha-Mossad le-Modi'in
u-le-Tafkidim Meyuhadim, ce qui signifie « Institut
pour les renseignements et les affaires spéciales », Mossad signifiant
« Institut ») est l’une des trois agences de renseignement d’Israël, avec le Shabak (plus connu sous le nom de
« Shin Beth », qui est le service de sécurité intérieure) et l'Aman (chargé
de la sécurité militaire).
Contrairement au gouvernement, au
parlement (Knesset), à l'Armée de défense d'Israël (Tsahal) et à l'agence de sécurité intérieure (Shin Bet), les objectifs, la structure et les
pouvoirs du Mossad sont exemptés des lois
constitutionnelles de l'État. Son activité est soumise à des
procédures secrètes qui n'ont jamais été révélées. Son directeur (appelé le
Ramsad, abréviation de « Rosh Ha-Mosad »), actuellement Yossi Cohen, relève directement et uniquement
du premier ministre.
(Devise :
« Par la ruse tu fais la guerre » Proverbes 24 :6) Wikipédia
Le plan consistait à infiltrer
les instances militaires et civiles des pays désignés comme étant une
« menace pour Israël » afin de les détruire et de ce fait, faciliter
leur absorption ultérieure par un état Sioniste s’étendant sur tout le
Moyen-Orient (voir la carte ci-dessus) ; afin de créer le Grand Israël. Ce
sont les frontières du projet Sioniste de « Grand Israël » ou
« Eretz Israël* » en abrégé. Ces faits, publiés en août 2014,
confirment que le « Calife à la Rolex » est chargé par Israël de
créer le chaos dans les pays voisins de l’entité Sioniste. Comparez les deux
cartes – celle de l’Etat Islamique et le plan publié de longue date du
« Grand Israël ».
L’agent el-Baghdadi est chargé de
mettre en œuvre l’ancien plan destiné à créer un « Grand Israël »,
connu sous le nom de son auteur présumé Oded Inon, publié pour la première fois
en hébreu dans le journal Kivunim (Moyens) : le Journal du Judaïsme et du
Sionisme » (Un Journal pour le Judaïsme et le Sionisme) dans le numéro du
14 février 1982. Editeur : Joram
Beck. Comité de rédaction : Eli Eyal, Yoram Beck, Amnon
Hadari, Yochanan Manor, Eliezer Schwaid. Publié par le Service
d’information / Organisation Sioniste Internationale, Jérusalem (pour plus de
détails, cf. O. Chetverikova, « Le Grand Israël dans l’ombre de la
géopolitique Américaine », Institute of High Communitarianism,
02/02/2013). Ce rapport d’experts laisse entendre que « tous les pays
Arabes devraient être réduits en petits morceaux par Israël » et que
« par la suite les restes de la Syrie et de l’Irak devaient être morcelés
en zones ethniques ou religieuses, comme au Liban ».
Tout cela donne une idée
de ce que l’EIIL dirigé par l’agent du Mossad avait à l’esprit en annonçant
qu’il voulait s’en prendre à ces « barbares de Juifs », aux Sionistes
qui assiégeaient Gaza. En fait, la déclaration sur l’attaque contre « la
terre d’Israël » permettait aux Américains et aux Israéliens de pointer du
doigt les terroristes barbares », pour tuer de plus en plus de gens afin
de « protéger l’état Sioniste ». Ils ont lancé la campagne « de
promotion à grande échelle » de l’EIIL dès le début de l’été, et le projet
lui-même a été préparé comme partie intégrante du « Printemps Arabe » permettant
de déstabiliser l’Irak, le Soudan, la Tunisie, l’Egypte, la Libye et le Mali
(entre autres).
Ecoutez les paroles du
célèbre provocateur Sioniste Bernard-Henri Lévy (BHL) sur le soi-disant
« Printemps Arabe » :
Nous avons déjà écrit
sur ce terroriste professionnel et intellectuel dont la mission est de susciter
des tensions dans des « points chauds » potentiels afin de provoquer
le chaos et des guerres civiles. B.-H. L. a joué un rôle crucial dans les
révolutions Arabes, ce qui représente un avantage stratégique pour Israël.
Il a sur la conscience
le soutien de mercenaires et d’extrémistes en Afghanistan, Bosnie, au Kosovo,
en Tunisie, Libye et Syrie, ainsi que l’escalade de la situation en Ukraine, à
laquelle il a imprimé son « empreinte sanglante ».
En même temps,
Bernard-Henri Lévy n’est pas seulement un provocateur du sang qui va être
versé, mais également un diagnostic caractéristique. Rappelez-vous qu’il y a
quelques années, lors d’une conférence organisée par le Conseil Représentatif
des Institutions Juives de France (CRIF), BHL a déclaré « qu’en tant que
Juif », il avait « pris part à l’aventure politique en Libye ».
Et il a ajouté : « Je ne l’aurais pas fait si je n’avais pas été Juif ».
C’est ce « champion
du B’nai B’rith* » qui est l’un des idéologues du chaos généré en faveur
de la construction du « Grand Israël », recrutant les fanatiques les
plus agressifs du monde entier dans « l’armée du diable » - un gang
qui tue de sang-froid sans aucune pitié pour ses victimes. Et les vidéos de
leurs atrocités sont publiées sur les réseaux sociaux pour susciter la terreur.
*Ordre indépendant du B'nai B'rith (בני ברית, de l'hébreu : « Les fils de
l'Alliance ») est la plus vieille organisation juive toujours
en activité dans le monde. Calquée sur les organisations maçonniques, elle a été fondée à New York, le 13 octobre 1843,
par douze personnes, dont Henry
Jones et deux frères, juifs émigrés d'Allemagne, qui avaient
appartenu à la Société
des Frères (Brüder Bund)
qui joua un certain rôle dans l'élaboration de la Première Internationale (Association
internationale des travailleurs).
C'est à partir de cette base, d'aide
humanitaire et de services, qu'un système de loges et chapitres fraternels
grandit aux États-Unis, puis dans le monde entier.
B'nai B'rith International est également affilié au Congrès juif mondial. Wikipédia
B'nai B'rith International est également affilié au Congrès juif mondial. Wikipédia
AXLE NEST (BERCEAU
D’ESSIEU) : TECHNOLOGIE POUR LA CREATION DE COUPS MONTES TERRORISTES SOUS FAUX
PAVILLON. L’essence de cette stratégie est de créer l’impression générale
qu’Israël est menacé par un ennemi près de ses frontières. En même temps,
l’ancien Ministre des Affaires Etrangères Israélien Moché Charett a mentionné
très clairement dans son journal personnel que les dirigeants politiques et
militaires Juifs n’ont jamais cru à une menace Arabe contre Israël, écrit Ralph
Schonman. « Ils cherchaient à manœuvrer pour contraindre les états Arabes
à s’engager dans des conflits militaires ».
Mise en œuvre de l’opération
According to the Gulf Daily News in Bahrain, Al-Baghdadi “had been training
intensively at Mossad for a year, in addition to courses in theology and art of
speech.” In June, a Jordanian official confirmed to Aaron Klein from
WorldNetDaily that ISIS members were trained in 2012 by American instructors at
a secret base in the Jordanian city of Safavi. During the deployment
operation, al-Baghdadi was also placed in the Camp Bucca American Prison, near
Um Qasr in Iraq. Former US Air Force security officer and commander of the
Camp Bucca prisoner of war camp (2006-2007) James
Selon le Gulf Daily
News de Bahreïn, el-Baghdadi « a subi un entraînement intensif au Mossad
pendant un an, en plus de cours de théologie et d’art oratoire ». En juin
un officiel Jordanien a confirmé à Aaron Klein du WorldNetDaily que des membres
de l’EIIL avaient été entraînés en 2012 dans une base secrète dans la ville
Jordanienne de Safavi par des instructeurs Américains. Au cours du
déploiement de l’opération, el-Baghdadi a également été repéré à la Prison
Américaine de Camp Bucca, près de Qasr en Irak. L’ancien officier de sécurité
de l’US Air Force et commandant du Camp de prisonniers de guerre de Bucca
(2006-2007), Skylar Gerrond, a reconnu en octobre que le camp « était une
cocotte-minute de l’extrémisme ». Des preuves indirectes laissent supposer
que la conscience d’el-Baghdadi pourrait avoir été contrôlée.
La destruction des
états Arabes et Musulmans selon le « plan Inon » devait se conclure par
une implosion de l’intérieur, en utilisant leurs contradictions internes
religieuses et ethniques. C’est pourquoi l’EIIL (complètement contrôlé par le
Mossad, et sous la direction d’el-Baghdadi / Shimon Elliot) a été chargé de
vider les Arabes des territoires Syriens et Irakiens. Si le plan réussissait,
Israël deviendrait fabuleusement riche en contrôlant le flux de pétrole et de
gaz naturel à destination de l’Europe. C’est pourquoi les Israéliens soignent
les terroristes Islamiques dans leurs hôpitaux, leur font passer la frontière
entre Israël et la Syrie, nourrissent les terroristes, les arment et amplifient
leurs accords pétroliers par l’intermédiaire de leurs banques Sionistes.
CREATION DE VAGUES
D’ASSASSINATS.
La préparation par les Sionistes d’escadrons de la mort destinés à être lâchés dans les pays Arabes remonte à 2011. Ainsi, ils appliquent le principe kabbalistique de « l’ordre par le chaos ». Pour construire leur Nouveau Mordor* de sang et la souffrance du « Grand Israël ». Qui coupe les têtes des prisonniers au nom du « Grand Israël » - un membre du Mossad, un mercenaire ou un fanatique Islamiste déçu recruté par les Sionistes – nous ne le saurons sans doute jamais. Mais cette « chaîne du crime » se terminera devant une cour martiale, étant donné qu’il s’agit de l’organisation de génocides et de crimes contre l’humanité. Lesquels n’ont pas de « limites en termes de peine ». Tout le monde devrait contribuer à incarcérer et à neutraliser des criminels de guerre – les cerveaux, les organisateurs, les parrains et les exécutants.
* Le Mordor (« pays noir » en sindarin) est une région de la Terre du Milieu, univers de fiction créé
par J. R. R. Tolkien,
surtout décrit dans Le Silmarillion et
dans Le Seigneur des
anneaux, dont il occupe la moitié du livre VI.
Dans ce troisième tome du Seigneur
des anneaux, Le Retour du roi, Frodon et Sam doivent en traverser les étendues
arides pour accomplir leur mission : détruire l'Anneau unique en le jetant dans les
flammes de l'Orodruin, volcan qui domine le nord-ouest du Mordor.
Fief inhospitalier du Seigneur des Ténèbres Sauron, l'histoire et la géographie de cette
région, encore appelée terre obscure, lui sont étroitement liés. Wikipédia
Annexe II (La « première
mort » de Baghdadi telle que publiée dans les informations Arabes)
Le dirigeant de l’EIIL el-Baghdadi dans un hôpital Israélien disant adieu à
ses frères d’armes
TEHERAN (FNA) : le
dirigeant du groupe terroriste de l’EIIL, Abou Bakr el-Baghdadi est mort et les
membres du groupe Takfiri en Irak ont déjà fait serment d’allégeance à son
successeur Abou Ala Afri, selon des reportages des médias Arabes de dimanche.
Selon les agences de
presse Irakiennes, Alghad Press et Al-Youm Al-Thamen (le 8ème Jour), ainsi que
de sources de la ville Irakienne de Mossoul, Baghdadi est mort dans un hôpital
Israélien des Hauteurs du Golan occupé où il a été hospitalisé à la suite de
graves blessures subies lors d’une attaque conjointe de l’armée Irakienne et
des forces populaires.
Les sources ont ajouté
qu’el-Baghdadi avait été déclaré « cliniquement mort » par les
médecins et les chirurgiens Israéliens.
Le dirigeant
terroriste a été ciblé par une frappe aérienne dans l’ouest de l’Irak le 18
mars.
Al-Youm Al-Thamen citant
des sources du renseignement ont affirmé que l’EIIL avait enregistré
précédemment plusieurs vidéos de son dirigeant avant les frappes aériennes de
mars et après la première fois qu’il ait survécu à de graves blessures un an
auparavant, pour prouver qu’il était vivant jusqu’à ce que le groupe puisse lui
trouver un successeur qui serait unanimement accepté.
La source a ajouté que
les membres du groupe Takfiri opérant en Irak avaient déjà prêté allégeance à
un nouveau dirigeant appelé Abdoul Rahman el- Sheijlar, alias Abou Ala Afri, en
tant que successeur de Baghdadi.
Il y a également des
rapports non confirmés que des dissensions internes avaient éclaté et que des
différends entre un certain nombre de factions de l’EIIL en Syrie et en Irak
s’étaient creusés sur la désignation d’un nouveau dirigeant, étant donné que la
branche de l’EIIS (Etat Islamique en Irak et en Syrie) avait rejeté la
candidature d’Afri, et divergeaient quant au successeur de Baghdadi. La chaîne
de télévision de langue espagnole Hispan TV a également présenté un reportage
le 25 avril dans lequel elle a confirmé la mort du dirigeant de l’EIIL.
Un article du 21 mars
du Guardian a affirmé que Baghdadi avait subi des blessures graves au cours
d’une attaque en mars et « mettant sa vie en danger ».
Le rapport avait bien
sûr conclu que Baghdadi avait survécu à ses blessures.
Les blessures de
Baghdadi ont provoqué des réunions d’urgence des chefs de l’EIIL, qui croyaient
d’abord qu’il allait mourir, et ont commencé à préparer sa succession.
Un officiel Irakien a
confirmé que la frappe aérienne avait eu lieu le 18 mars dans le district
d’el-Baaj de Ninive, proche de la frontière Syrienne. Il y avait eu deux
précédents rapports en novembre et décembre sur le fait que Baghdadi avait été
blessé, bien qu’aucun des deux ne se soit avéré exact.
Hisham al-Hashimi, un
officiel Irakien qui conseille Bagdad sur l’EIIL, a déclaré : « Oui,
il a été blessé à el-Baaj près du village d’Umm el-Rous le 18 mars avec un
groupe qui l’accompagnait ».
Traduction Patrick T revu
Isabelle
No comments:
Post a Comment